On peut y trouver des représentations théâtrales, des projections cinématographiques, mais aussi des conférences de diverses personnalités.
Il existe aussi une imposante bibliothèque qui ravira les lecteurs avides de livres.
Heure de Lunont : (GMT+1) | |||
Laurent était en déplacement à Cantrac, dans le même centre que celui dans lequel Julien Chastain, son candidat, avait tenu un meeting l'avant veille. Il ne voulait pas un discours long mais seulement proposer la réforme de la contestée loi médias.
Lavaud : Mes chers amis,
Merci à tous d’être ici pour dire d’entrée de jeu au MUR que nous ne nous laisserons pas abattre. Nous nous battrons pour mettre le candidat de la majorité en ballotage, je vous en fait le serment. Votre présence, votre énergie et votre détermination aujourd’hui donne de la force au message clair que nous voulons envoyer à la majorité.
Car élections après élections, la gauche progresse. Des municipales désastreuses, des présidentielles décevantes, des législatives convaincantes puis de nouvelles municipales qui nous ont placé comme l’incontestable force de l’opposition. Alors si une force politique peut mettre le président en ballotage, c’est la gauche!
Et pourquoi la gauche? Tout simplement parce ce qu’elle a le meilleur projet. Prenons un exemple : la loi médias. Durant cette législature, le gouvernement Brétigny a fait voter une loi sur les médias. Ce texte, malgré ses nombreux défauts pointés par l’opposition de gauche, a été largement voté par l’Assemblée Nationale.
Des défauts dangereux, je peux vous en citer quelques-uns. Dangers certains pour la liberté de la presse et notamment du journalisme d’investigation, mainmise de la justice sur des médias ou encore tentative de mise à l’écart du journalisme d’opinions, cette loi était truffée de défauts. Pourtant, le gouvernement n’a accepté que de corriger les plus mineurs, se montrant sourd aux revendications de l’opposition. La seule réponse que la majorité a voulu apporté, c’est celle du mépris. L’opposition n’est pas constructive, les communistes ne peuvent pas participer au débat parlementaire, voilà ce que l’on a entendu!
Alors nous proposons de revenir sur ce texte mais en écoutant chacune et chacun, pas en se contentant de beaux discours laissant croire que le gouvernement est à l’écoute alors qu’il n’en ai rien! Alors pour un débat parlementaire à l’écoute des inquiétudes de l’opposition, il n’y a qu’un vote : le vote de gauche.
Dans la même optique de défense de la liberté de la presse, nous veillerons à ce que la presse ait accès facilement aux informations de la présidence. Nous voulons une présidence transparente et donc, de fait, ouverte à la presse.
Alors pour que la presse ostarienne soit libre et indépendante, le vote de gauche est la meilleure option! Julien Chastain a prouvé à l’assemblée qu’il était engagé sur le sujet et qu’il veut agir!
Vive la République! Vive Ostaria!
Laurent se joignit ensuite au pot organisé par les militants.
Marcel Piniolle intensifiait la campagne avec un nouveau déplacement dans la région de Brifalle. Il savait que ces chances de retourner à l'Assemblée Nationale était nulle et misait donc tout sur une percée dans le parlement régionale de Brifalle. Il avait donc réunis 5 000 militants à Cantrac pour un nouveau meeting de campagne. C'est sous un tonnerre d'applaudissements que Marcel entra sur scène.
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Chers compatriotes,
Quel plaisir de me retrouver ici dans cette belle région de Brifalle, et bien sûr dans cette belle ville de Cantrac à l’ombre de sa cathédrale, de ses monuments et de son histoire. L'épouvantail Leclerc a en effet attirée à elle les gens de droite et de gauche qui se retrouvent sur un fanatisme visant à ouvrir en grand nos frontières et ce soumettre à l'Union Phoécienne sans broncher, des gens qui adhérent à l’ultralibéralisme et qui appellent de leurs vœux une déréglementation généralisée. Ceux-là qui pensent que la nation est un concept dépassé. Ils défendent une vision que nous qualifions avec lucidité eu égard à l’histoire d'Ostaria, comme « post nationale ». Ils vous expliquent à longueur de journée sur toutes les antennes que nous ne pourrons rien faire et qu'Ostaria est trop petite. D’après eux, son drapeau est un signe de repli sur soi-même, sa culture n’existe pas, son histoire une parenthèse. En clair, ces gens-là, Ostaria, ils n’y croient plus. Ce sont souvent les centristes de droite et de gauche, ce sont les opportunistes qui considèrent que le mot « identité » se classe parmi les gros mots surtout quand il s’applique aux Ostariens, que le mot « peuple » serait inconvenant, ou que l’expression « valeurs de civilisation » serait imprononçable. Ces gens-là ont placé la marchandisation au-dessus de tout. Ce qui compte c’est le rendement, la productivité à bas coût bien sûr, leur seul critère d’appréciation c’est l’argent, la seule loi qu’ils légitiment c’est celle du plus fort. Ils ne croient pas dans la transmission parce qu’ils méprisent le passé qui les encombre et parce qu’ils se fichent de l’avenir qui les contraint ; la seule chose qui compte c’est eux et l’avenir c’est aujourd’hui ; Ils ne croient pas qu’un intérêt collectif que nous appelons l’intérêt national doive primer sur les intérêts privés, Ils se satisfont de l’individualisme ou du communautarisme qui dissout l’esprit national et les solidarités naturelles, cette solidarité nationale que nous inspire naturellement un sentiment d’appartenance à une même histoire et une même communauté de destin. Et tous ceux qui ont voté pour l'épouvantail Leclerc pensent être des « winners », ils pensent que dans cette compétition généralisée, ils seront les champions, les grands gagnants de la mondialisation. Ils vont tous être leaders, auto-entrepreneurs, start-upers.
Ont-ils seulement conscience que dans le petit monde de l'épouvantail Leclerc, l’entrée dans la Caste est très selecte, que dans l’ascenseur social de l'épouvantail Leclerc il n’y a que peu de places. Mais qu’en revanche, de la place, il y en aura vraisemblablement dans les ascenseurs qui descendent au sous-sol. On l’a vu avec les premières mesures fiscales de l'épouvantail Leclerc qui ont profité aux deux pour cent des contribuables les plus fortunés. Nous, nous croyons à quelque chose de supérieur à l’argent, c’est le sentiment et notamment le sentiment d’appartenance ; et nous croyons que le lien qui unit les hommes d’une même nation est un formidable levier pour gagner dans la mondialisation. Nous savons, parce que l’expérience nous l’enseigne, que la nation est la structure qui permet le mieux la protection de nos familles, de notre société, de nos libertés. Nous nous sentons respectueux parce que redevables du passé ; Nous nous sentons humbles parce que vulnérables dans le présent ; Nous nous sentons inquiets de l’avenir parce que soucieux de laisser à nos enfants un héritage que nous aurons enrichi, un héritage dont nous pourrons être fiers. Comme cela s’est fait depuis des siècles, nous sommes des héritiers qui rendront à leur tour héritière la génération qui suit.
Nous pensons que la propriété n’est pas un droit absolu et que sa libre disposition doit se plier à l’exigence de l’intérêt public et doit s’harmoniser, en l’occurrence, avec le principe fondateur de toute civilisation qui est celui de la transmission ; Nous pensons que la résidence n’est pas a priori créatrice de droit au point de renverser les principes du droit et tout particulièrement du droit de la famille attaché à la nationalité ; cela correspond à une vision nomade dont on voit bien qu’on essaie de nous l’imposer. Nous pensons que les enfants Ostariens doivent être protégés par l’application de la loi Ostarienne ; on voit ce que pourrait donner l’application de ce principe pour des petites filles Ostariennes si on laissait à leur père Eibadiste intégriste le choix d’un pays qui applique la charia ; Les Ostariens doivent se voir appliquer les principes successoraux de droit ostarien et aucun autre. On sent bien que, par petites touches, « être ostarien » ne doit plus être un critère, nulle part. Nous voyons là la conséquence d’une déconstruction, une déconstruction dont l’actualité nous donne d’autres exemples.
Dans l’espace public, l’état disparaît : dans certains quartiers, au bénéfice des voyous et des eibadistes pour la rue, dans certaines stations de métro au bénéfice des drogués et des dealers, en surface et en sous-sol, et pour le stationnement au bénéfice des grandes sociétés bénéficiaires de juteuses concessions. Nous vivons une inversion des valeurs. Inversion des valeurs et déconstruction. Nous sommes, vous le voyez, en pleine improvisation, en pleine incohérence dans un mouvement qui va vers le démontage mécanique de tous les repères de notre société. Cette inversion des valeurs qui, subrepticement, veut remplacer la liberté d’expression par la censure préalable. Les « fake news » vous savez, ce sont les informations fausses. Nous remarquerons d’abord que les journaux sont pleins de fake news et que le gouvernement en diffuse régulièrement. Quand on voit la mauvaise foi des dirigeants sur l’immigration et les trucages systématiques des chiffres officiels. Nous, nous défendrons la liberté d’expression et nous défendrons la liberté sur internet. Internet est un média sans médiation, sans intermédiaire. Les personnes sont responsables et discutent librement. Est-il légitime que le gouvernement se mêle à leur conversation ? Je vous le dis, la réponse est NON !
Dans quelques jours vous serez appeler à élire vos nouveaux représentants. Je vous invite à vous déplacez pour aller glisser un bulletin en faveur d'un changement radicale de gouvernance. Et qu'ensemble, debout, nous puissions changer ce pays en ruine.
Vive la République ! Vive Ostaria !
C'est sous un tonnerre d'applaudissements que Marcel Piniolle s'approcha du devant de la scène et salua la foule.
Pascal Zimmerman était au second tour. Alors qu’en début de campagne peu de cadre du Parti Populaire croyait sincèrement en leur capacité d’atteindre ce second tour ils avaient une nouvelle fois défié tous les pronostics en réussissant à affaiblir encore plus l’ADN et en éliminant le parti Présidentielle. La défaite de Laure Morelli était une défaite également pour la Président Aya Leclerc qui s'était personnellement impliquée dans la campagne. Pascal Zimmerman avait réuni 5 000 militants du Parti Populaire au centre culturel Maurice Rollis à Cantrac dans sa région. C’est dans une ambiance électrique que Pascal arriva sur scène. Les militants étaient électriques de joie et de bonheur. Avec le sentiment de devoir accompli, c’est en véritable champion que Pascal fut salué par la foule. Il salua la foule longuement puis se plaça derrière son pupitre pour prendre la parole.
Bonjour Cantrac ! Quel joie de vous voir aussi nombreux cet après-midi pour mon premier déplacement de campagne de ce second tour. Hier soir, nous avons fait exploser le plafond de verre qui nous empêchait d'atteindre le second tour. Pour la première fois de son histoire, les électeurs Ostariens auront la possibilité de voter pour une candidature nationale et patriote. Avec notre qualification, une vague de soutien pour le Premier Ministre Edouard s’est déferlée. Les masques de tous ces politiciens ringards et corrompus sont tombés. Pire ennemie il y a encore 48h, ils deviennent aujourd’hui les super-héros de la République que les électeurs ont balayé pas plus tard qu’hier. A commencé par Madame Morelli, totalement absente de cette campagne elle ne parvient pas à réunir suffisamment de voix pour passer au second tour. Avec ce vote franc, c’est la politique de la Présidente Leclerc et l’Union Phoécienne qui ont été rejetés.
Le second tour qui s’ouvre sera l’occasion pour chaque citoyen de pouvoir se positionner sur la politique menée par ce gouvernement de gauche depuis 4 ans. Car oui, ce second tour est un référendum pour ou contre la politique gauchiste du gouvernement. Je sais que dans notre pays une majorité de citoyens ne sont pas satisfait du bilan de ce gouvernement. Chaque Ostarien ou Ostarienne qui est en désaccord avec la politique du gouvernement aspire à nous rejoindre pour porter un réel projet de rupture.Ce projet de rupture doit permettre à notre pays de retrouver sa place dans le monde en se libérant des chaînes de l’Union Phoécienne en sortant de celle-ci ou en la réformant de l’intérieur. Nous pourrons tisser notre nouveau tissu d’alliés en Phoécie mais également en Idylénie. Le projet de rupture que je porte vous permettra également de mettre un terme au hold-up fiscal mis en place par le gouvernement Edouard. Le dernier braquage en date étant sa volonté d’instaurer un code de l’environnement venant taxer ceux qui travaillent et qui n’ont donc pas le choix d’utiliser leur voiture. Le gouvernement de l’écologie punitive doit se prendre une sanction électorale digne de ce nom et doit se confronter à un contre-pouvoir fort et qui défendra les Ostariens et les Ostariennes des zones rurales comme des zones urbaines qui utilisent leur voiture non pas par choix, mais par nécessité. A tous ces gens qui n’ont pas d’accès à la santé, à l’éducation, à la culture ou encore au monde du travail sans leur voiture vous les condamnez à payer le prix de votre incompétence.
Le projet que je porte est un projet qui vise à redonner de l’oxygène à nos entreprises qui sont en pleine détresse depuis des décennies. Notre pays doit retrouver une politique visant à encourager l'entreprenariat et cela dès le plus jeune âge en accompagnant les jeunes dans ce monde via des aides et des procédures simplifiées. Les jeunes sont l’avenir de notre pays et sont plein de ressources. Arrêtons de les assister et à les abreuver d’aides et donnons leur les moyens de s’émanciper dans la société par les valeurs du travail et de l’entreprise. Nous devons accompagner nos jeunes notamment ceux dans les formations professionnelles en faisant venir l’entreprise dans le lycée pour que les formations proposées à ces jeunes leur permettent de davantage répondre aux besoins des entreprises en ce moment et donc rendre nos jeunes encore plus compétents dans leur domaine de spécialisation. Cette nouvelle génération portera en elle des savoirs faire exclusifs qui feront la fierté et la renommée de notre pays dans le monde entier.
Ovation du public en faveur de Pascal Zimmerman.
Le projet que nous portons dans cette campagne ne peut plus être ignoré par les politiciens old school de notre pays en commençant par le gouvernement Edouard. Cette qualification est le signe que nous ne sommes plus une minorité bruyante mais belle et bien la deuxième force politique de notre pays. Depuis le début de cette campagne et encore plus depuis le début de ce second tour nous sommes la cible de toutes les pires insultes possibles. Diviseur, autoritaire, anti-parlementariste ou encore raciste ! Et encore, je vous ai fait une courte liste. La question que je me pose face à cette déferlante de haine contre nous est de savoir qui porte réellement la haine entre eux et nous. Notre campagne n'a insulté personne et rassemble chaque jour des nouveaux militants qui font la fierté du projet que nous portons. Ils disent que je suis un homme autoritaire et anti-parlementariste. Il n’y a rien de plus risible que d’entendre de telles choses de leur part. La gauche gouverne notre pays depuis 4 ans avec une majorité résultant d’un système électoral profondément défaillant. Nous avions déposé un projet de loi pour réformer ce système défaillant en instaurant la proportionnelle intégrale. Une mesure figurant dans notre projet mais également dans celui du candidat Edouard et de la gauche. Le gouvernement ne l’a pas voté car elle provenait du Parti Populaire. Qui divise dans cette situation ? Qui fait preuve de sectarisme ? Là où nous tenons nos promesses et faisons preuve de pragmatisme nous nous heurtons à la trahison de la parole donnée et au sectarisme gauchiste. Je me rappelle également des mots de la Ministre Rossignol qui a passé ces 4 dernières années à insulter l’opposition dont nous faisons partie en nous insultant d’ultra minorité et en ne répondant ni à nos questions ni à nos demandes. J’assume donc, et sans complexe, préféré me passer d’un vote au parlement pour directement demander l’avis au peuple. Que ce soit pour l’Union Phoécienne ou encore la peine de mort, le peuple doit avoir son mot à dire pour que le débat de fond que mérite les Ostariens et les Ostariennes est lieu. Enfin, raciste, n’est-ce pas là leur plus grand aveu d’échec ? N’ont-ils rien trouvé de plus convainquant ? Cette vieille rengaine qui vise à coller l’étiquette de raciste à son adversaire ne marche plus et notre score hier soir le prouve. Les Ostariens et les Ostariennes ne sont pas des lapins de trois semaines et savent lire un projet. La gauche ferait bien d’en faire autant avant de se ridiculiser comme ils le font depuis hier soir et des semaines.
Jamais notre pays n’avait eu la possibilité de choisir entre deux visions de notre société et de notre pays lors d’une élection présidentielle. La démocratie c’est avant tout cela. Le combat de plusieurs visions pour un pays et son peuple. Mais au final, ce sont les citoyens qui auront le dernier mot. J’appelle donc la gauche et en particulier le Premier Ministre Edouard à faire preuve d’un peu plus de courtoisie républicaine et à accepter le choix de millions de citoyens Ostariens qui ont voté en conscience et par conviction en faveur de ma candidature et du projet qui s’y rattache. Je crois que les électeurs méritent beaucoup mieux que le débat stérile consistant à insulter et à diffamer son adversaire que vous semblez vouloir installer.
Applaudissements nourris des militants face au réquisitoire de Pascal Zimmerman contre le gouvernement de George Edouard et la gauche en générale.
La campagne de ce second tour doit nous permettre de mettre une fois de plus en avant le programme que nous proposons pour Ostaria. C’est dans cette optique que je reprendrai dès demain mon tour en Ostaria pour continuer de rencontrer tous les citoyens et citoyennes de ce pays. Dans cette campagne, nous allons déocnstruire les mensonges de la gauche en prouvant une fois de plus aux Ostariens et aux Ostariennes que nous sommes une force politique comme toutes les autres. La division de la société n’est pas instrumentalisée par nous mais par la gauche qui cherche à diviser les citoyens entre les électeurs du Parti Populaire et les autres. Quand Monsieur Edouard et la gauche aspirent à n’être le Président que des électeurs de gauche, j’aspire à devenir le Président de tous les Ostariens sans aucune distinction. Depuis le début de mon engagement politique j’ai à cœur de défendre notre pays contre les dérives sectaires de la gauche et contre la soumission des centristes à l’Union Phoécienne. Je suis resté fidèle à mon idéal qui est aujourd’hui l’idéal de millions d’Ostariens et d’Ostariennes. Je n’ai jamais fait de compromis avec ceux qui ont échoué. Je n’ai jamais vendu mes convictions pour une quelconque union. Je ne suis pas comme Monsieur Edouard l’amoureux de l’Union Phoécienne qui a accepté dans sa coalition Kosmostaria qui est un parti parmi les plus anti Union Phoécienne qui existe en Ostaria. Qui de ces deux partis à trahis ces valeurs pour cette union ? L’Union de la gauche est une union sans boussole et sans valeur. Cette mascarade doit prendre fin. Les défis qui attendent le prochain Président de la République sont nombreux et forts. Notre pays ne peut pas se permettre d’élire un homme qui a créé une union sur des bases brinquebalantes. Notre pays à besoin de sérénité et de savoir vers où ils se dirigent. L’improvisation permanente du gouvernement Edouard ne peut pas se poursuivre et se retrouver dans notre politique diplomatique. Face à un monde en pleine mutation, Ostaria doit avoir un chef fort à la feuille de route précise et claire pour emmener tout le monde vers l’avenir et la liberté à laquelle nous aspirons.
Ce second tour nous laisse une semaine pour convaincre encore plus d’Ostariens et d’Ostarienes à nous rejoindre derrière le projet le plus complet et le plus fort pour assurer un avenir serein pour eux, pour leurs parents, pour leurs enfants. Comme Président de la République, je ne mènerais aucune action sans votre aval. Je vous dirais les choses telles qu’elles sont. Cela ne sera peut-être pas toujours facile ni plaisant mais notre pays mérite une politique pragmatique et des grands changements. J’ai le courage et la volonté de mener tous ces changements. Partout dans le monde, les voix nationales patriotes montent au pouvoir et réforme avec brio leur pays en leur restaurant toute leur grandeur. Regardons la Fédération-Unie depuis la Présidence Caldwell. Nous pouvons également faire émerger à nouveaux le rêve Ostarien, celui de s’élever dans la société par le travail et le mérite. Je crois en notre pays. Je crois en vous !
Vive la République ! Vive Ostaria !
Pascal fut comblé d’applaudissements par la foule visiblement conquise par ce premier meeting de campagne du candidat Zimmerman. Après avoir salué la foule pendant un long moment, Pascal s’offre un bain de foule auprès des militants pour fêter sa qualification au second tour.
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