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Marché de Dusaux

Ville IRL : Aix-en-Provence
Population : 296 990 hab.

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État d'Ostaria
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dim. 11 juil. 2021 15:43

Marché de Dusaux
Grand marché de la ville qui regroupe des dizaines de commerçants chaque jour.

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Julien Boulanger
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Parti politique

dim. 11 juil. 2021 16:43

Pour cette deuxième journée de campagne Julien Boulanger avait décidé de se rendre à Dusaux afin de participer à un tractage et d'encourager les militants présents sur place. C'est donc dans un marché noir de monde que la tête de liste de la Ligue Républicaine échangeait des poignées de mains avec les passants et les commerçants. L'équipe de campagne du candidat avait réussi à faire venir des médias locaux qui couvraient l'événement. Bien que les réactions des personnes croisant Boulanger et son équipe étaient hétéroclites, certains étant très heureux de le croiser et d'autre allant jusqu'à l'insulter. Aux insultes et autres attaques Boulanger répondait souvent avec humour afin de se moquer de ses adversaires les plus véhéments. Poursuivant dans le marché Boulanger croisa un vendeur de fromage qui interpella la tête de liste.

Vendeur de fromage : M'sieur l'député, moi j'suis pas un type qui s'intéresse trop à la politique d'habitude mais la j'en peux plus. J'suis fromager et j'essaye d'acheter toujours des bons produits mais la loi qui plafonne les prix plombe mon commerce. Tous les produits ont le même prix et pour nous c'est catastrophique car on s'retrouve avec des produits comme le lait qu'on paye bien trop chère pour ce que c'est. Ca fait 13 ans que ça dure et avec votre loi je peux pas développer mon commerce comme je le voudrait.

Boulanger s'approcha du commerçant à son stand et se plaça devant lui en l'écoutant attentivement. Une fois l'argumentaire de l'homme finit le candidat s'adressa a lui avec compréhension toujours sous l'œil des journalistes locaux.

Julien Boulanger : Mon Chère Monsieur votre situation est caractéristique de l'absurdité du fonctionnement économique d'ostaria depuis plus de 10 ans. Les Communistes en prenant le pouvoir ont mis en place des lois démagogique et pleine de non-sens dans l'unique objectif de s'assurer le soutient de leurs bases militantes, et cela, à provoquer des situations comme la vôtre. La Loi portant Planification des prix des productions agricoles est un des nombreux exemples et vous avez tout à fait raison de vous en plaindre. Je pensais sincèrement que cette loi serait supprimée avec la fin du communisme, mais il semblerait que la majorité présidentielle y soit très attachée, car elle ne fait rien contre celle-ci. Nous nous supprimerons cette loi si nous gagnons les élections et nous le ferons le plus rapidement possible. Cependant, il s'agirait de ne pas laisser les producteurs agricoles dans des situations précaires du jour au lendemain et c'est pourquoi nous organiserons des réunions régulières entre les syndicats agro-alimentaires et les syndicats agricole pour s'assurer que chacun y trouve son compte et s'il se trouve qu'il y a un déséquilibre trop net qui met en danger l'un ou l'autre alors l'État devra prendre son rôle à cœur et interviendra pour rééquilibrer la situation. Cette solution voyez-vous est une solution de pragmatisme et permettra, j'en suis persuadé, de répondre à votre problématique.

Le vendeur de fromage et surtout les journalistes attentifs suivirent avec attention la réponse du candidat. Après quelques échanges supplémentaires entre les deux hommes et l'achat par Boulanger de fromage pour son équipe de campagne et lui-même. Après cela, il poursuivit sa petite balade pendant un peu plus d'une heure jusqu'à ce que Boulanger donne rendez-vous.
Aux journalistes pour une conférence de presse. Un petit stand avait été préparé pour l'occasion et le candidat avait reçu quelques fiches. Une fois tout le monde présent la tête de liste LR débuta.


Julien Boulanger : Bonjour à tous et toutes,

J'aimerais dans un premier temps affirmer mon soutien au candidat LR de Dusaux, monsieur Gribiole, qui aura, j'en suis persuadé, la force de battre la gauche comme les Centristes dans cette magnifique ville. Je veux aussi saluer chaque militant et chaque militante LR qui font un travail exceptionnel pour que notre parti et nos idées l'emporte dans ces élections. Une fois, cela dit, je suis parfaitement disposé à répondre à vos questions.

Journaliste 1 : Dusaux est une ville symbolique, c'est celle ou se présente l'actuel premier ministre monsieur Le Floch, est-ce que votre objectif est de le faire battre ?

Julien Boulanger : L'objectif de mon parti ici à Dusaux comme partout ailleurs et de faire gagner nos idées avant tout, et si cela implique la défaite d'un Premier ministre qui n'a rien fait durant 10 années pour débarrasser le pays du communisme et des lois liberticides tant mieux. De plus Monsieur le Premier Ministre à quitter son parti pour s'assurer son fauteuil de maire prouvant son opportunisme et son arrivisme et surtout démontrant son incapacité à gagner par lui-même dans cette ville qui considère comme lui appartenant.

Journaliste 2 : Donc il n'y aura pas d'alliance au second tour avec les listes centristes même si c'est pour faire battre la gauche ?

Julien Boulanger : Soyons clair, il serait stupide de rester diviser en cas de possible victoire des socialistes mais cependant, les alliances devront être négocier et je serais intransigeant. Si alliance il y a elle devra s'ancrer dans une logique pragmatique et dans le respect des principes républicains. Mais non, je ne suis pas fermé à la négociation et aux alliances, LR est un parti qui a les capacités de devenir un parti de gouvernement et cela est notre objectif.

Journaliste 3 : Si les sondages se confirment dans les urnes, on remarque qu'une alliance de la droite et du centre obtiendrait la majorité absolue éloignant la gauche du pouvoir. Est-ce que vous seriez prêt à intégrer la majorité présidentielle alors même qu'on vous à écarté de celle-ci aux dernières élections au profit du centre-gauche et que vous êtes plus que critique envers le bilan de LCS ?

Julien Boulanger : Il est vrai que nous avons beaucoup différent madame la présidente et moi et votre question n'est pas à prendre à la légère. Je vais donc vous dire que je préfère attendre les résultats qu'auront décidés les citoyens pour vous transmettre mes décisions. Vous verrez d'ailleurs, au vu du travail qui est mené sur le terrain, que LR arrivera en tête au soir des résultats.

Les questions réponses continuèrent un petit peu et finalement au bout de quelques minutes la conférence se termina. Boulanger continua un petit peu de tracter et repartit dans sa voiture pour poursuivre la campagne.


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George Edouard
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Parti politique

ven. 1 juil. 2022 23:31

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INTERVENTION SYNDICALE
16 Juillet 203






En plein déplacement vers son futur meeting, le candidat de l’Union des Gauches croisa la route d’un cortège complet de grévistes, rassemblés au Marché de Dusaux et bloquant à la fois un entrepôt, mais également un magasin qui s’apparentait à une confiserie. Intrigué par cet évènement, George Edouard qui était en pleine rédaction de son intervention demande au conducteur de s’arrêter, dans l’objectif d’aller à leur rencontre et pourquoi pas d’obtenir une séquence médiatique favorable.

George Edouard savait cela ; friand des grands meetings préparés et avec une logistique au point, la presse l’accusait parfois d’être un roi de la mise en scène, mais de manquer à la fois de spontanéité et de sincérité. Cette accusation avait une part de vérité ; en tête dans les sondages et dans une campagne où il subissait des attaques indécentes venus de tous les camps, le candidat à la Primature s’était recentré sur les fondamentaux, en optimisant les gains pour un coût minimal.

Aller à la rencontre de citoyens pouvait être un parti réussi et qui lui permettrait de changer son image, mais c’était aussi la possibilité de le voir s’effondrer, d’autant plus face à des grévistes – qui étaient majoritairement soutenus par son électorat -. Mais quelque part, c’est aussi ca qui finit de le convaincre ; les grévistes étaient dans son camp, sa cible électorale ! Les rejeter et ne pas aller à leur rencontre était perdre une occasion en or de les mobiliser, et concrétiser ses discours sur son attachement à la cause des travailleurs.

Et puis hormis la presse locale présente sur les lieux et qui accompagnait George Edouard dans la couverture de son précédent meeting, c’était lui qui avait le loisir de filmer cette rencontre. Si cela se passait mal, le risque de polémique est donc réduit ! Alors, avec un certain trac, le candidat écosocialiste s’arrêta, et scruta ce cortège pour observer qui en était le chef. Lui qui voulait « que le pays renoue avec les corps intermédiaires », en voilà une occasion rêvée !

Durant son observation, il fut rassuré par un détail assez important : les couleurs du syndicat signifiaient qu’il ne s’agissait ni d’un syndicat patronal, ni défendant la droite ou les réactionnaires ! Cette auscultation faite, il trouva celui qu’il avait identifié comme le potentiel leader de la grève et alla à sa rencontre.

Cet homme était assez grand, se tenait particulièrement droit et malgré les traits manifestement tirés par l’âge et le labeur, laissez transpirer chez lui un certain charisme, une posture triomphale. Par son attitude, il avait tout l’air d’un guerrier prêt à vaincre son ennemi ! Le candidat à la Primature était assez intimidé par cette figure forte et de robustesse, mais fit comme si cela ne le troublait pas et engagea la discussion.

Après quelques minutes d’échange, George Edouard comprit vite à qui il avait affaire ; il s’agissait bien d’un leader syndical, ayant ces dernières années subi revers sur revers, et comptant bien cette fois-ci l’emporter. Et la situation de ces lieux était terrible ; comme il l’avait imaginé au premier abord, les salariés de la confiserie et de l’entrepôt – usine s’étaient joints à une même lutte, dont l’objectif leur était vital et était net : survivre, ne pas se retrouver au chômage !

En effet, ces deux lieux de la ville représentaient le cœur des emplois, le savoir-faire artisanal et ouvrier d’une ville un peu « à l’ancienne » mais dans le sens de trésors aujourd’hui perdus. Une ville qui n’avait pas encore perdu le sens du travail et qui ne tombait pas dans la spirale des délocalisations, il fallait la protéger ! En manifestant, c’est justement ce territoire que les membres, syndicats et salariés défendaient. Car aujourd’hui, comment avait évolué la situation – au point de causer une mobilisation aussi massive et suivie - ?

En quelques années et après l’arrivée de la droite au pouvoir, la réduction fiscale avait eu pour conséquence de permettre à des multinationales de s’installer, en favorisant l’arrivée de gros actionnaires et de nouvelles « stratégies de développement ». C’est ce qui arrivera à l’entreprise qui utilisait l’usine ; fabricant de composants informatiques, ce qui était une affaire familiale se transforma en machine à profit – tout ca à cause d’un simple rachat -. Un rachat qui – à en croire les anciens propriétaires et le nouveau directeur – devait permettre de s’ouvrir à l’international !

En réalité, cette « ouverture » fut la première pierre vers un plan de licenciement assez important, et contre lequel ce leader syndical avait « fait l’erreur » de ne pas vraiment réagir. Lui comme les salariés le pensaient à ce moment : peut-être que l’entreprise était en grosse difficulté, il fallait du temps pour véritablement juger l’action de la nouvelle direction. Mais très vite, les choses allèrent de pis en pis ; le rendement attendu était plus gros encore qu’avant le plan de licenciement, obliger de produire plus avec toujours moins d’employés.

La logique « managériale » soi-disant apaisante était en réalité une machine de destruction ; restant très hypocrite et plein de sous-entendus, les managers ne faisaient que menacer les salariés d’être virés à la moindre baisse de productivité. Et très vite, le modèle s’essouffla : subissant des conditions de travail déplorables, les démissions accélèrent au point où l’entreprise ne disposait plus d’une main-d’œuvre suffisante pour maintenir l’activité. Et une fois vidé de tout son talent, cet entrepôt fut récemment fermé pour délocaliser dans un pays à la fiscalité plus avantageuse !!

De l’évasion fiscale et une absence de considération pour les travailleurs, c’était tout ce que haïssait le candidat de l’Union des Gauches.

Ensuite, se posait le sujet de la confiserie, bientôt fermée alors que celle-ci était une boutique emblématique et même visitée à l’occasion de la période estivale. Ici, le patron de la boutique n’était pas mis en cause ; c’est en revanche notre société de l’hyper consommation et du profit permanent qui couta progressivement la vie à cette entreprise.

Cette petite boutique familiale avait progressivement recruté plusieurs salariés, mais avec le respect que tout employeur devrait avoir pour eux. Des contrats longs, un salaire à la hauteur de leurs tâches et surtout un climat de sérénité y régnaient ! Cette gestion exemplaire attira vite les regards, leur permettant de croître et de devenir ce pilier historique.

Mais il y a deux ans environ, une boutique de grande distribution s’installa à quelques centaines de mètres seulement, accaparant vite les clients et tout en exploitant sans vergogne leurs employés, leurs quasi « esclaves ». Et pour les produits de confiserie, cette boutique avait fait appel au secteur industriel, qui ne se situait même pas dans la région !
La trésorerie diminuant à mesure que la boutique perdait en parts de marché, le patron ne se résigna pourtant pas à licencier et tenta tant bien que mal de perdurer. Tant bien que mal, mais sans succès ; il y a un mois, l’annonce du dépôt de bilan fut un choc pour tous les habitants, qui se mobilisèrent – avec ceux de l’usine – pour que leur ville ne perde pas deux gros viviers d’emplois et de dynamisme.

D’ailleurs et à en discutant avec le leader syndical, il comprit vite que celui-ci était dans son camp, où tout du moins croyait en ses chances de changer les choses. D’ailleurs, la conversation devint très vite amicale !

Longtemps membre de l’UTAC, cet ouvrier accumula des regrets, de la frustration en remarquant qu’à cause du prisme idéologique ultra radical, le parti ne tolérait pas la moindre avancée sociale sous prétexte que cela est « une miette pour faire passer la pilule bourgeoise ». Lui avait grandi dans une autre logique ; tout ce que nous pouvons acquérir et obtenir, nous le prenons et nous nous battons pour le conserver ! C’est à coup de luttes diverses, de mesures arrachées aux ultrariches que le mouvement syndical a pu s’implémenter.

Alors un jour, la coupe fut pleine ; coupant avec le milieu politique, son espoir fut anéanti en voyant l’évolution des Ecosocialistes – qui se tournaient alors vers l’Alternative et le centre -. Mais il y a quelques semaines, un évènement lui fit reprendre un peu espoir : en annonçant l’Union des Gauches entre les communistes et les écosocialistes, cela signifiait le retour à une politique sociale et ambitieuse. Mais une donne avait changé ; grâce à la campagne de ces élections générales, cette union était en pole position !

Assez satisfait mais toujours marqué par ses « traumatismes » politiques, le leader syndical attendait maintenant des gestes forts, et surtout l’application d’un Programme Commun qui l’avait évidemment convaincu. La venue de George Edouard était dans son cœur l’évènement qu’il attendait pour refaire confiance au monde politique, et le chef écosocialiste lui assura de son engagement à leurs côtés, qu’une fois Premier Ministre il ferait tout ce qui est en pouvoir pour maintenir les emplois.

Et pour l’occasion, le candidat à la Primature eut l’autorisation d’effectuer un petit discours, se plaçant sur une palette traditionnellement réservée aux syndicats mais devenant exceptionnellement un « pupitre » de campagne.


Mes amis, mes camarades,

J’ai eu l’occasion d’échanger longuement avec le leader de cette belle et importante mobilisation, ce qui m’a permis de comprendre vos préoccupations et la situation terrible dans laquelle cette société vous a plongé. Car je le dis ; les seuls responsables de votre situation sont ceux qui profitent des salariés, qui pervertissent le monde du travail par l’exploitation et l’hyperconsommation !

Le monde libéral mené par la droite n’a cessé en étant au pouvoir de favoriser ces logiques, et c’est vous qui désormais, en payez le prix. Les délocalisations ? Un évènement qui n’a plus de barrière, et qui nous fait perdre petit à petit le savoir-faire qui caractérisait notre République. L’évasion fiscale ? Un fléau contre lequel j’ai pu m’exprimer, et sur lequel j’ai développé un Volet très fourni dans le Programme Commun.

Et le monde de la grande distribution, parlons-en ! Un ramassis d’horreur, d’exploitation de caissiers et caissières et un « turn over » synonyme de précarisation. Par ce modèle du profit tout puissant, ce système devient un modèle destructeur ! Avec une flopée de réglementations pour protéger les travailleurs et soutenir les artisans, les petits commerces, nous mettrons fin à cette hégémonie. Et nous protégerons votre savoir-faire !

Je ne souhaite pas profiter de cette belle mobilisation syndicale pour faire de la récupération politique, et je suis venu pour vous défendre, pas pour me faire élire. Alors, je vous le dis et si je suis dès après demain le Premier Ministre de la République d’Ostaria, votre dossier sera un sujet prioritaire pour Gouvernement et le pays.
Il est important qu’une ville disposant de tant de trésors ne les perde pas ! Les travailleurs sont les alliés des syndicats et de la Gauche, je compte bien travailler avec vous pour la mise en place de toutes les mesures de Progrès Social et de nouvelles avancées pour vous, travailleurs et travailleuses de ce pays.

Alors merci aux corps intermédiaires pour leur engagement de tous les instants, dans des moments où la droite massacrait notre système de protection sociale et où sans vous, les syndicats, la pauvreté n’aurait eu aucune limite dans ce pays ! Vous faites partie de notre filet social, vous empêchez le monde du travail de devenir fou. Et je regrette qu’au moment où vous aviez le plus besoin de nous, la gauche n’ait pas été à la hauteur des enjeux. Désormais je suis là, et nous serons là !


Après cette déclaration d’amour au personnel syndical et au monde des travailleurs, George Edouard est chaleureusement applaudi, des « Vive la Gauche, et Vive les Travailleurs » résonnent partout dans les rues de la ville. Le candidat pourtant écosocialiste avait réussi une prouesse : convaincre un leader syndical, des grévistes souvent bien plus radicaux et critiques ! Mais l’Union des Gauches était un signe clair envoyé dans leur sens, qui ne pouvait que les rassurer.

Après une dégustation officieuse de bières et des produits locaux, George Edouard remercia les travailleurs pour leur accueil, invita la presse à écouter les témoignages des salariés et leur assura encore de son plein soutien, en tant que soutien et en tant que potentiel Premier Ministre.

Après ce petit moment, il se remit en route vers la destination de son prochain meeting.



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Président de la République d'Ostaria
Ancien Premier Ministre de la République d'Ostaria
Ancien député de l'Union des Gauches à Lunont
Ancien député écosocialiste à Ménargues

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Elia Orsini
Député
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Enregistré le : mar. 21 févr. 2023 21:26
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Parti politique

lun. 3 juil. 2023 20:30

Bonjour à tous, merci d'être présent aujourd'hui en nombre pour ce début de campagne. Aujourd'hui, je souhaite vous parler d'un sujet essentiel à notre avenir en tant que nation indépendante. Ce sujet, c'est celui de notre économie agricole. Je crois fermement en notre capacité à bâtir une économie agricole plus dynamique et prospère grâce à notre indépendance.

En choisissant la voie de l'indépendance, nous retrouverons le contrôle total sur notre politique agricole. Nous serons libres de développer nos propres normes de production, de promouvoir des pratiques agricoles durables et respectueuses de l'environnement. Enfin, nous pourrons favoriser les circuits courts pour rapprocher les producteurs et les consommateurs pour s'inscrire encore plus dans une pratiques agricoles éco-responsable.

L'un des premier axe que nous mettrons en place à la suite de notre indépendance sera de soutenir et d'encourager nos agriculteurs locaux. Pour remplir ce premier objectif, nous créerons des programmes de subventions et d'incitations pour les aider à moderniser leurs infrastructures, à adopter des techniques agricoles innovantes. Mais pour aider les agriculteurs dans cette transformation des techniques agricoles nous leur donnerons accès à des formations spécialisées. Dans l'optique d'être un Etat innovant et modèle dans cette nouvelle façon de pratiquer le métier d'agriculteur nous investirons dans la recherche et le développement agricole pour promouvoir des pratiques respectueuses de l'environnement.

Le second axe de travail autour de ce sujet sera la diversification de nos cultures. En exploitant notre richesse naturelle et notre climat varié, nous pourrons cultiver une grande variété de produits agricoles, tant traditionnels que nouveaux. Cela nous permettra de réduire notre dépendance aux importations et de stimuler notre économie locale dans le but de créer de nouvelles opportunités d'emploi dans les zones rurales. Enfin, nous faciliterons l'accès des agriculteurs aux marchés internationaux. En établissant nos propres accords commerciaux, nous pourrons promouvoir et exporter nos produits agricoles de haute qualité vers de nouveaux marchés.

En tant que nation indépendante, nous mettrons en place des politiques de protection des consommateurs rigoureuses. Nous veillerons à ce que nos produits agricoles respectent les normes les plus strictes en matière de qualité, de traçabilité et de sécurité alimentaire. Nous encouragerons la consommation locale, afin de garantir une alimentation saine et de soutenir nos agriculteurs locaux.

Notre indépendance, en clair, nous permettra de prendre des décisions éclairées en matière d'agriculture. Nous ne serons plus soumis aux politiques agricoles imposées par d'autres nations. Au contraire, nous façonnerons notre propre avenir agricole en fonction de nos valeurs et de nos besoins. L'agriculture sera au cœur de notre économie. L'indépendance nous offre de vastes possibilités pour revitaliser notre économie agricole et pour créer un avenir meilleur pour tous. En saisissant cette opportunité, nous bâtirons une nation fière, prospère et soucieuse de son environnement.

Alors mes amis, n'attendez plus, rejoignez nous dès à présent pour bâtir le projet indépendantiste où tous le monde à sa place.

Vive la république !
Vive Cavour !


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