Grand-Théâtre d'Illonlieu

[Sabrina Lambert]

Bonsoir à tous Illonlieu,

Je suis très heureuse d’être présente ce soir pour mon dernier déplacement de campagne. Je suis fière d’avoir pu découvrir une nouvelle fois notre beau pays et son peuple joyeux qui n’a rien perdu de sa volonté de poursuivre les politiques que nous avons commencé à mettre en place. Cette campagne aura été sans aucun doute l'une des campagnes les plus violentes de ces dernières années. Elle témoigne d’une montée en tension du débat politique dans notre pays. Ce constat est selon moi très alarmant car nous devrons lors des quatre prochaines années pouvoir débattre au sein de l’Assemblée Nationale avec respect et écoute de l’autre même lorsque cela peut-être très compliqué pour certains et certaines. Que cela soit la polémique autour du Parti Populaire ou bien plus récemment celle de l’Alliance de la Droite National qui semble enfin avoir décidé d’arrêter de recycler la même campagne campagne pour au final nous proposer une campagne à droite toute quitte à voler les idées d’un Parti Populaire qu’il y a encore quelques heures ils étaient en train de critiquer. Face à cette déferlante de haine, parfois même d’insultes, je veux incarner la candidature de l’apaisement et de l’écoute. J’en conviendrais volontier, je ne suis pas une femme parfaite. Je possède comme chacun de nous des qualités et des défauts. Mais plutôt que de critiquer l’autre parce qu’il est différent ou pense différemment, je pense fermement que nous devons apprendre à se comprendre. Je veux incarner dans cette campagne, une voix progressiste capable de rassembler tous ceux qui souhaitent demain construire un gouvernement autour des valeurs d’humanisme, de tolérance et d’écologie. J’en suis convaincue, notre pays n’a pas fini de prouver qu’il ne cèdera jamais aux sirènes de l'obscurantisme et des projets qui n’ont comme seule substance celle de la haine envers l’autre et des raccourcis dangereux pour tenter de désigner un coupable à tout prix. Les problèmes dans ce pays ont des solutions. Dans cette campagne, je vous en formule de nombreuses et je crois que ce sont les plus à mêmes de répondre aux enjeux de société auxquels nous devons faire face.

Je crois en l’engagement militant. Je suis moi-même une militante depuis toujours. D’abord en tant qu’avocate spécialisée dans le droit des familles et puis en tant que Députée et Ministre. Je n’ai jamais eu peur de m’engager et de faire entendre ma voix même lorsque cela pouvait déranger. Plutôt que de cacher les problèmes sous le tapis comme certains ont l’habitude de le faire, je préfère trouver une solution à ce problème. Dans mon engagement politique j’ai toujours exprimé ma volonté de donner le droit aux femmes célibataires d’avoir le droit de recourir à la PMA. La procréation Médicalement Assistée est un procédé sur lequel nous disposons de suffisamment reculé pour pouvoir aujourd(hui l’étendre à toutes les femmes célibataires qui souhaitent faire valoir leur droit à la parentalité. Car oui, je crois qu’il existe dans notre société un droit inaliénable à la parentalité. Chaque femme, indépendaemment de son orientation sexuelle devrait avoir le droit de pouvoir fonder sa famille et de vivre une vie de maman épanouie. Ce n’est pas parce qu’on est une femme célibataire que nous ne pouvons pas élever correctement nos enfants. Bien au contraire, ces femmes sont bien plus courageuses que tous les vieux politiciens de droite qui défendent un modèle familial datant du siècle dernier.

Toutefois, j’en conviens qu’actuellement les délais de prise en charge des femmes ayants déjà le droit à la PMA est extrêmement long. Nous devons tout faire pour le réduire pour pouvoir introduire ce nouveau droit indispensable. Le prochain gouvernement investira massivement dans le domaine de la santé dans sa globalité pour moderniser nos infrastructures et recruter du personnel médical mais également en partie accélérer le délais de traitement des demandes de recours à la PMA. Il faut bien comprendre une chose dans cette proposition. Nous serions bien idiot de croire que toutes les femmes célibataires de notre pays ont attendu patiemment que nous faisions voter cette avancée social majeure pour concevoir enfin leur enfant. Certaines femmes ont déjà eu recours à ce type de procédure en allant dans des pays qui proposent déjà ce service pour les femmes célibataires. Je ne souhaite pas leur jeter la pierre. Mais c’est une chose que nous devons reconnaître et entendre. Néanmoins, je me préoccupe des femmes qui développent une forme de dépression du fait de l’impossibilité de faire valoir leur droit à la parentalité. Certaines de ces femmes sont aujourd’hui tenter de faire appel à des réseaux de santé illégaux qui proposent ce type d’intervention de manière illégale et donc sans aucune garantie de sécurité pour la femme comme pour l’enfant. Dans ces cas, nous ne pouvons assurer que l’ensemble des dispositions d’hygiènes ont bien été respectées et donc les femmes qui y ont recours font face à un grand danger.

Plutôt que de stigmatiser, insulter et mépriser toutes ces femmes. J’invite les élus du Parti Populaire, de l’Alliance de la Droite Nationale et même de l’Alternative à venir à mes côtés dans un prochain déplacement auprès des collectifs de femmes qui défendent leur accès à ce droit. Le meilleur moyen de lutter contre les stigmates et les caricatures c’est de sortir de sa zone de confort et d’aller au contact des personnes qui ne pensent pas comme vous pour écouter ce qu’elles ont à défendre et qui sait, peut-être arriveront-elles à vous convaincre. Ces femmes ne sont pas moins pures que les autres. Elles aussi ont le droit au respect et à se faire représenter. Je suis honorée d’être depuis plus de 10 ans leur porte-parole à l’Assemblée Nationale. Je poursuivrais mon engagement pour les droits féministes quel qu’il soit. Face aux assauts toujours plus violents et vomitif d’une droite qui joue le jeu de l’extrême droite les différents courants de gauche doivent se réunir pour former le prochain gouvernement majoritaire et empêcher à nouveau la droite de mettre en place ces mesures nauséabondes main dans la main avec l’extrême droite qu’elle critiquait il n’y a encore que quelques jours. Dans peu de temps, vous devrez vous rendre aux urnes pour soutenir la liste qui vous a le plus convaincu durant ces quatre dernières années. Je vous demande de bien réfléchir et de bien regarder qui a toujours œuvré pour vous défendre et qui a préféré être aux abonnés absents. Je suis fière de mon bilan de Ministre d’Etat à la Justice et j’espère bien pouvoir poursuivre mon action au sein du prochain gouvernement peu importe la place que j’occuperais au sein de celui-ci.

Mes chers amis, je vous appelle à la mobilisation générale car aucune voix lors de cette élection ne doit manquer au camp progressiste et social. Nous devons maintenir notre unité et notre force électorale pour prouver une fois de plus que jamais les ostariens et les ostariennes ne céderont aux discours de haine et ultra conservateurs visant à envoyer les femmes dans une cuisine ou à s’occuper des enfants qu’un papa et une maman auront fait. Ce qui se joue lors de cette campagne, c’est la défense de notre modèle de société et de tout les droits que nous avons acquis à la sueur de nos fronts et à la suite de nombreuses heures de débats parfois très dur à l’Assemblée Nationale à l’image du débat lorsque j’ai présenter mon projet de loi visant à ouvrir la PMA à toutes où les voix de la Maison Commune ont une fois de plus fait échouer l’adoption d’un texte majeur pour notre société. Demain, aucune voix ne devront manquer. Pour cela, voter pour des Députés soucieux de respecter leur mandat et leur électeurs et qui voteront massivement pour le progrès social et humaniste que nous défendons.

Vive la république !
Vive Ostaria !

[Marius Delamare]

Hors-sujet

Ce meeting s'est déroulé un autre soir que cette poufiasse de Lambert <3 sur Maël

Meeting de campagne

Dans la poursuite de sa campagne aux élections générales de 222, le chef de file de L'Alternative, Marius Delamare, avait décidé de retourner sur sa terre natale que représente Cavour et Illonlieu. Pour ce second meeting, il avait été décidé de faire un meeting au Grand-Théâtre, lieu où Marius Delamare avait effectué le second meeting de sa vie. Ce retour au source lui était agréable après tant de temps à vagabonder dans le pays pour aller présenter et défendre son projet.

Son ami, Bertrand Lemaire, était présent dès le matin à Illonlieu pour préparer le meeting, mais aussi sa propre campagne pour Cavour et Illonlieu. L'Alternative avait fait appel aux adhérents et aux bénévoles pour participer, comme toujours, à la préparation du meeting. Le parti avait commandé quelques cars de transports pour acheminer à Illonlieu des Cavouriens et des Cavouriennes.

Sachant que Marius Delamare n'arriverait qu'à 13h30 à Illonlieu, Bertrand Lemaire décida de se promener dans les alentours du Grand-Théâtre pour ainsi aller à la rencontre des électeurs.

Une habitante de 27 ans d'Illonlieu : Bonjour Monsieur. Depuis 214, je votais naturellement pour le candidat sortant aux municipales face à l'absence de réelles oppositions dans notre magnifique ville. Cependant, au cours de ce mandat, j'ai regardé avec plus d'attention le conseil municipal et j'ai pu constater que vous n'étiez pas comme les autres politiciens qui défend uniquement ses intérêts et qui est un réel frein lors des prises de décisions. Du coup, je voulais en connaître un peu plus sur votre vision de ce que doit être une opposition, dans l'idée de savoir si, en votant pour vous, vous assurerez que l'opposition sera écoutée s'ils jouent l'opposition construite.

Betrand Lemaire : Déjà, je tiens à vous remercier pour votre observation sur mon travail au conseil municipal qui, je vous rassure, est identiquement le même dans le conseil régional de Cavour. Voyez-vous, j'ai longtemps côtoyé des politiques avec mon métier de fonctionnaires d'État. Et mon plus grand regret, c'était d'entendre constamment le maire ou le président régional dire qu'il en avait marre de l'opposition qui lui mettait des bâtons dans les roues. C'est pourquoi, quand j'ai décidé d'entrer dans la vie politique, je me suis fait la promesse de jamais déroger à ma vision de ce que doit être une opposition : un groupe qui n'est pas là pour refuser systématiquement, mais qui est là pour aider la majorité en lui offrant un autre regard sur les événements ou en tout cas, un autre avis. Évidemment, ça ne veut pas dire qu'on est forcément écouté ou entendu par la majorité. Je ne vous mentirai pas en vous disant que le maire d'Illonlieu n'est pas du genre à trop nous écouter, mais bon... Ce que je veux vous dire, c'est que je crois en l'opposition constructive : celle des idées et du débat.

Une habitante de 27 ans d'Illonlieu : Et qu'est-ce vous proposeriez pour Cavour et pour Illonlieu si je votais pour vous et votre liste ?

Betrand Lemaire : Je vais essayer de vous répondre par un ensemble si vous le voulez bien. Tout d'abord, je pense d'abord que notre île cavourienne se doit de continuer son développement économique. Nous possédons suffisamment de main d'œuvre et d'industries pour créer de la richesse. Il est nécessaire pour cela d'établir des partenariats avec la région, mais aussi avec la métropole et l'État : nous ne pouvons pas nous résoudre à les ignorer parce que certains pensent que chaque malheur que nous connaissons est dû à l'État. Je pense également que nous pourrions utiliser les côtes de la région pour établir un partenariat avec l'État pour investir dans les énergies marémotrices. Pour la ville, il est de notre devoir de revoir nos mobilités pour que chaque habitant puisse aller où il souhaite peu importe sa condition physique ou son âge. Au-delà de ça, notre île a cette chance : il a une identité culturelle très forte. Et je pense que nous devons la sauvegarder en parallèle de notre identité ostarienne : les deux vont ensemble.

Bertrand Lemaire conclut sa discussion avec l'habitante et parti à la rencontre d'autres citoyens pour parler d'éducation, de jeunesse et de justice sociale pour Cavour. À 13h30, Bertrand Lemaire accueillit son ami Marius Delamare et tout deux allèrent ensemble au restaurent pour déjeuner. Sur place, ils purent discuter avec le restaurateur et la discussion fut enrichissante pour les deux partis. Marius Delamare partit ensuite chez lui pour se préparer à son meeting du soir.

Le Grand-Théâtre était ainsi prêt à accueillir la foule dès le début d'après-midi tant les bénévoles étaient nombreux pour aider à la préparation de la salle. Prévu à 17h, car en week-end, le public commença à entrer vers 16h. De son côté, Marius Delamare finit de se préparer et se rendit dans la salle; Il salua les différents représentants locaux et régionaux de L'Alternative, puis monta sur scène : il était prêt pour ce second meeting.

Marius Delamare : Mesdames et Messieurs, chères concitoyennes et chers concitoyens, mes amis d'Illonlieu et de Cavour, bonsoir !

Votre présence massive ce soir dans ce Grand-Théâtre me remplit de joie et d'honneur. Je mesure l'importance que vous accordez à notre mouvement, particulièrement la démonstration, au cours de ce mandat, que nous pouvions être une véritable alternative pour 222.
Certes, nous avons subi des revers en 218 avec l'échec d'un gouvernement Delamare I, mais nous ne pouvons pas regretter la chance qui nous a été donné de former un gouvernement d'union nationale. Malheureusement, après des négociations infructueuses et face au non-soutien l'aile gauche de Maison Commune, notre gouvernement a été mis en échec par la confiance.
C'est pourquoi en 220, nous sommes parvenus à prendre notre revanche en parvenant à nous qualifier au second tour de l'élection présidentielle. Malgré une campagne de second tour dynamique, nous ne sommes pas parvenu à faire soutenir notre programme pour la défense et les affaires étrangères de notre pays. Je tiens à vous remercier chers habitants d'Illonlieu et de Cavour. Ensemble, nous avons majoritairement défendu le projet qu'Arthur Klein présentait.

Signe d'une victoire proche, je ne peux que vous appeler à soutenir notre projet politique et à voter pour L'Alternative ce 6 février à une heure où les extrêmes sont un véritable danger pour notre République et où Les Écosocialistes sont pressenties à être la première force de l'Assemblée Nationale selon les sondages. Dans les deux cas : nous ne pouvons pas nous y résoudre ! L'Alternative peut en être une et nous serons en mesure de défendre ensemble une société de tous les possibles. Cette société, on doit la bâtir tous ensemble pour que ce pays puisse incarner nos valeurs, nos espoirs et nos rêves. Ensemble, nous pouvons protéger les opprimés et offrir une vie décente à nos concitoyens !

Depuis 214, L'Alternative a pu démontrer sur tous les plans qu'elle était une réelle force d'opposition constructive, et ce à l'Assemblée Nationale, mais aussi ici, dans les différents conseils régionaux et les conseils municipaux. Et c'est pourquoi, avec tout l'honneur qui m'est fait en ayant la tâche de conduire une nouvelle fois la liste de L'Alternative, je peux vous dire que nous croyons au dialogue social, à l'équité, à la justice sociale et à l'unité. Nous avons pu mener des batailles pour résoudre des questions sociétales majeures, mais nous devons les continuer ! Ici même, Bertrand Lemaire est de nouveau candidat pour défendre les intérêts d'Illonlieu et de Cavour. Nous croyons en l'importance des liens que notre île possède avec la métropole et nous refusons toute idée d'indépendance.

L'Alternative, c'est le changement pour une vraie alternative. Nous sommes les défenseurs des entreprises, des habitants, des ruraux, de tous ceux qui ont été abandonnés par une politique irrespectueuse. Nous voulons relancer notre économie en accompagnant nos petites entreprises, dynamiser nos territoires ruraux, réformer le travail pour créer des emplois et valoriser nos travailleurs.

Nous voulons défendre les territoires et les personnes et cela s'explique par la nécessité de garantir le développement des territoires ruraux. Pour sauver la ruralité, nous organisons une conférence de la ruralité annuelle pour ainsi agir avec précision et détermination dans les combats que nous aurons à mener. Ce grand chantier national que doit être nos campagne verra se rassembler des experts, des élus, des travailleurs et des citoyens pour débattre des enjeux spécifiques de ce secteur. Il est temps de mettre en avant les problématiques de nos zones rurales. Nous prévoyons également d'étendre le système de subvention actuel pour les collectivités territoriales. Cette injection financière de l'État vise à soutenir les projets locaux qui favorisent le dynamise économique, la création d'emplois et le bien-être des habitants.

Cette politique doit s'accompagner d'une décentralisation juste et réaliste. Pour cela, il me semble nécessaire de réformer les Communautés de Communes telles qu'elles sont actuellement. Aujourd'hui, il m'apparait nécessaire de leur accorder la libre appréciation des réalités locales. Pourquoi y imposer une organisation territoriale ? Ces Communautés prendront la forme d'organisation orientée soit vers une gestion efficiente, soit vers une coopération entre les communes. Nous supprimerons également l'ATC afin de redistribuer ses missions entre les communes et les régions, telle qu'était la situation avant la création de l'ATC. Enfin, parce que nous savons qu'il est difficile à vivre à Cavour pour profiter des avantages de la métropole, nous établirons des tarifs préférentiels pour tous les Cavouriens et Cavouriennes qui voyageront entre l'île et le continent par voie aérienne ou maritime.

Parce que nous pensons que stimuler l'économie favorise l'emploi, nous viendrons en aide aux jeunes entreprises créatrices d'emplois en les exonérants des charges salariales. Nous instaurerons une "Prime d'incitation à la productivité", une prime non-imposable et non-cotisable pour inciter à travailler plus. En parallèle, nous créerons le "Bonus de conversion de congés", un bonus non-imposable obtenable par conversion des jours de congés non pris. Nous inciterons également les entreprises et les commerces de s'installer dans les espaces reculés permettant ainsi de renforcer l'attractivité de ces localités. Dans cet esprit, les infrastructures de transports seront repensées. Enfin, concernant l'emploi, nous ferons de l'APE, l'Agence d'Aides et de Protection de l'Emploi pour qu'elle garantisse un accompagnement formatif des étrangers, des seniors et de tous ceux qui souhaitent s'insérer professionnellement et se reconvertir.

Nous devons également mener des réformes structurelles de notre société. Cela peut s'expliquer par la lutte contre le travail illégal, la réforme large du Code du travail via un renouvellement des CDD à 3 reprises et une réforme profonde du Code de l'Environnement pour qu'il soit adapté aux réalités. Nous établirons aussi des règles environnementales strictes dans la construction des nouvelles écoles et entreprendrons une transition verte des anciennes écoles, garantissant un environnement sain pour nos enfants. Enfin, nous prônerons la mise en place d'un Plan Local d'Urbanisme cohérent pour chaque commune qui sera administré par les communes et les régions.

C'est par ce programme où chaque citoyen devient acteur que nous parviendrons à faire de notre pays une véritable puissance économique où on peut vivre dignement. Nous souhaitons vivre dans un pays où chaque citoyen, où que vous soyez, puisse prospérer. Ensemble, nous construirons une nation forte, équitable, et résiliente. Votez pour l'avenir, votez pour L'Alternative !

Vive la République ! Vive Ostaria !

De longs applaudissements se font entendre sur plusieurs minutes. La soirée se termine avec Marius Delamare qui discute avec Bertrand Lemaire. Marius Delamare finit par remercier le public qui commence à partir. Il profita également d'être à Illonlieu pour aller chez lui pour la nuit et être prêt pour le dernier jour de campagne.