Grande Place d'Égois

[Ernest Vabre-Nicolo]

Grande Place d'ÉgoisElle est la place principale de la ville et la plus grande.

[Ernest Vabre-Nicolo]

Égois éclairé par une Alternative avec Ernest Vabre-Nicolo.
Le parti L'Alternative, dirigé, pour l'événement, par Ernest Vabre-Nicolo, se réunit sur la place principale de la ville d'Égois. Ernest, accompagné d'une foule de militants venus de toute la région, et pour certains, de toute la nation, ainsi que de nombreux curieux ou hésitants de la ville, rassemble une véritable communauté. Cet événement est l'occasion pour les habitants de découvrir le candidat aux élections municipales et législatives, et de comprendre sa vision et ses propositions pour l'avenir.

La place est entourée d'arbres qui offrent une atmosphère naturelle. Le parti politique a décidé d'ajouter de nombreuses boules lumineuses pour illuminer la place, créant ainsi une ambiance chaleureuse et conviviale. Ces boules lumineuses sont spécialement conçues pour être détachables, ce qui permet aux militants de les transporter et de les utiliser dans d'autres endroits en ce déplaçant, symbolisant ainsi la propagation de la lumière de la pensée à travers la ville. Cette initiative met en avant l'importance de la réflexion et de l'échange d'idées dans notre société, et encourage les citoyens à participer activement à la vie politique et sociale de leur communauté aux côtés d'Ernest.

Sur la place où commence l'après-midi, trois stands sont disponibles, présentant différents métiers et associations de la ville. Le candidat arpente la place, tout sourire, accompagné de quelques soutiens tels que la députée Laure Morelli, le président Elias Staphenberg et l'ancien ministre et pilier du parlement ostarien Arthur Klein, qui discutent avec les citoyens et militants. Ernest rencontre trois stands et leurs représentants, goûtant tout ce qu'il y a à goûter et touchant tout ce qu'il y a à toucher. Ces rencontres sont un moyen pour Ernest de discuter, avec les représentants, des enjeux de leurs branches de métiers et des enjeux que les associations représentent, ainsi que de discuter des problèmes et solutions d'Ernest, devant les journalistes et les caméras filmant les interventions d'Ernest toute la journée afin d'en faire de courtes vidéos à poster sur les réseaux sociaux.

Ernest rencontrant les militants et citoyens d'Égois en debut d'évènement

Le premier stand représente les métiers de l'artisanat avec notamment un ébéniste et un boucher. Ernest goûte de nombreuses charcuteries et touche de nombreuses structures de bois lisses. Un artisan interpelle le candidat : "Je vous remercie de nous mettre en avant, vous savez, les temps deviennent de plus en plus compliqués pour nous, les gens préfèrent acheter leurs viandes pas chères dans les centres commerciaux et les meubles chez IKEA, mais ce qu'ils ne savent pas, c'est que le faible prix prouve que, comme disait un défunt chef cuisinier, ce qu'ils mangent, c'est de la merde."
Ernest : Vous avez raison, il n'y a rien de meilleur qu'une viande saine et qu'un meuble construit avec passion. Je ne blâmerai pas les citoyens qui, je le pense, sont mal informés. À titre personnel, je n'achète jamais ma viande ou mes meubles dans les grandes enseignes. En tant que maire de la ville et député, je veux mieux informer les populations sur ce qu'ils mangent et achètent, je veux mieux les informer sur la différence de qualité/prix et que pour ce qualité/prix il vaut mieux acheter chez nos artisans. En tant que maire de la ville, soyez certains que je ne veux pas laisser mourir les artisans qui font la beauté de notre ville sous le poids des géants gris et froids, je vous soutiendrai et non pas qu'avec des mots comme le fait la mairie depuis de nombreuses années, mais avec de véritables faits tels que des subventions d'aide aux entreprises qui perdent pied et la mise en place d'accompagnement et de publicité de la part de la mairie."

En direction du deuxième stand, Ernest est interpellé par de nombreux passants et par les journalistes. Le deuxième stand est consacré à l'innovation et à l'entrepreneuriat. Tandis qu'un jeune présente son invention qu'il dit révolutionnaire, un autre l'interpelle : "Ça ne va pas être facile pour nous pour que cette innovation soit connue et diffusée. C'est difficile lorsque l'on est à Égois de réussir, mais moi, j'aime ma ville et ma région, je ne veux pas partir vers la capitale. Surtout que la mairie ne fait rien pour nous, elle préfère s'intéresser à des causes minimes et perdues."

Ernest : Je suis d'accord avec vous et je salue votre engagement pour la ville. Nous avons presque le même âge, et je suis heureux de montrer que les jeunes aiment Égois et Choignaux. Vous avez raison, les entreprises et entrepreneurs ont été bâillonnés par l'époque communiste de la ville, c'est bien simple, c'est parce qu'ils n'aiment pas le travail, ils n'aiment pas non plus la réussite, ils n'aiment finalement pas les citoyens d'Égois qui réussissent. d'un autre coté, l'ADN n'a pas été à la hauteur des attentes. Soyez sûr qu'avec moi vous serez mis en avant. Chez L'Alternative, nous sommes pour la réussite et le mérite, nous sommes pour les jeunes entrepreneurs qui font vivre et prospérer notre pays. Nous avons plein de projets chez L'Alternative pour les entreprises et entrepreneurs, alors soyez sûrs de bien voter pour les municipales et pour les législatives ! Blague à part, nous voulons créer un véritable tremplin pour les innovations qui ont le plus de chances de réussir et, surtout, à L'Alternative, nous sommes contre cette hypercentralisation de la réussite mais aussi de la culture, nous devons changer cela, ce n'est pas normal qu'il soit presque indispensable de passer par la capitale pour réussir aujourd'hui et que les provinces soient délaissées."

Enfin, au troisième stand, Ernest discute avec les associations de la ville. Une dame représentant le stand s'insurge : "Nous sommes venues et avons accepté votre invitation puisque nous voulons nous exprimer, mais nous ne sommes pas d'accord avec vous ! Tout ce que vous voulez, c'est permettre aux entreprises d'hommes blancs d'écraser la ville et le pays."
Ernest, restant calme : Absolument pas madame, écoutez, la ville a été dirigé par la gauche puis par la droit et pensez-vous que la ville va mieux ? Pensez-vous que le pays va mieux depuis que nous avons notre chère première ministre ? Je ne crois pas, et cela c'est parce que ces personnes sont des démagogues qui perdent toute envie lorsqu'ils ont le pouvoir. Je ne veux pas écraser la ville et le pays, au contraire, chez L'Alternative nous sommes pour les territoires ruraux, je milite pour une Belle Ostaria. Mais il est vrai que chez L'Alternative nous avons les valeurs du travail, et je pense que le travail est indispensable dans notre vie pour nous émanciper. Nous, nous ne voulons pas assister les citoyens tout en les gardant dans leurs misérables conditions, nous, nous voulons les aider à comprendre le monde du travail, les aider à réaliser leurs projets pour qu'ils s'émancipent et sortent enfin de leurs conditions. C'est cela mon projet : le travail pour la réussite de tous, absolument tous !"

Ernest prit encore un peu de temps à discuter avec de nombreuses personnes venues pour lui. Puis les militants prirent les boules lumineuses et tous ensemble - Ernest au devant de la file - marchent dans la ville.

Ernest en partance pour la marche dans la ville

Ils s'arrête face a une école, située en face d'un lycée. Quelques parents et élèves sont présents et Ernest s'adresse à la foule l'ayant suivie depuis la place où étaient les stands.
Ernest Vabre-Nicolo : J'ai choisi de faire passer notre parcours par cet endroit, car il est le croisement entre le début de l'école et sa fin. En effet, cette école maternelle et primaire située en face de ce lycée était pour moi une bonne façon de montrer à quel point l'éducation me semble indispensable pour notre pays ! D'un point de vue communal, il faut aider ces écoles et les parents d'élèves, il faut moderniser ces écoles et surtout, ne pas les laisser s'effriter, il faut améliorer les cours de récréation qui sont un moyen pour les élèves de décompresser durant la journée, il faut permettre aux élèves de collège et de lycée d'avoir un véritable lieu de rencontre et de plaisir dans ces cours. L'image de ce mur d'école est une très belle métaphore de la façon dont la mairie considère l'école : elle la laisse s'effriter et se fiche de l'éducation publique c'était principalement le cas pour les communistes qui souhaitent que les ouvrier reste les ouvrier mais encore une fois l'ADN n'a pas été à la hauteur de la tache. D'un point de vue national, l'éducation est indispensable pour nos enfants qui sont notre futur. L'école est laissée à l'abandon. Chez L'Alternative, en plus d'améliorer les conditions de travail qui sont parfois défavorables, et d'améliorer la qualité des enseignements, nous voulons promouvoir notre histoire et nos personnages sans lesquels nous ne serions pas libres, nous ne serions pas cette nation. Je hais ce mouvement visant à nier certaines choses de notre histoire : notre histoire est belle et nous devons la partager à nos enfants pour qu'ils sachent d'où ils viennent ! Vive l'éducation, vive les jeunes générations : futur de notre pays !"
Il fut applaudi et ce fut vraisemblablement un succès, les parents d'élèves étant conquis et touchés.

La suite du parcours s'est arrêtée devant le siège emblématique d'une société née à Egois et désormais devenue internationale. Ce fut alors l'occasion pour Ernest de parler de sa volonté de réformer le Code du travail qui est, selon lui, une aberration, tant pour les entreprises qui sont punies d'exister, que pour les salariés qui sont emprisonnés par ce système. Il évoque aussi cette entreprise, qui a commencé petite dans cette ville et qui est désormais connue internationalement, comme un parfait exemple du mérite, de la réussite et des capacités qu'il veut redonner à Égois et qui ont été bafouées et détruites par les précédents dirigeants de la ville. Il dira notamment : "Imaginez qu'avant, vous naissiez à Égois, et vous deveniez le meilleur au monde dans votre domaine, connu de tous. Qu'en est-il aujourd'hui ? Pouvez-vous encore imaginer que cela arrive en ce moment ? NON, et cela est dû aux dirigeants, qui ont détruit cette sublime ville qui prospérait auparavant. Je veux redonner à Égois sa splendeur d'antan !".

Un autre arrêt se fit dans un quartier plus résidentiel de la ville, devant une statue. Ernest prit la parole : "Vous devez vous demander pourquoi je vous ai emmenés ici. Et bien la raison est simple, parmi l'éducation et le travail, ce quartier est un autre symbole de ma politique : je veux montrer l'importance de la beauté de notre ville et la préserver. Il en a assez des blocs construits dans notre Égois par les dirigeants catastrophiques de notre ville. Ces personnes sont en train de rendre notre ville laide. Qui peut imaginer Égois, la plus belle ville du pays, devenir un tas de béton ? Je refuse cette idée et je ne l'accepte pas. En tant que maire, je veux préserver la beauté de notre ville et de notre infrastructure. Je veux établir une règle dans l'urbanisme de la ville et diminuer le quota de ces logements que fait construire la mairie et qui deviennent vite insalubres. Ces règles d'urbanisme que je veux édicter sont autant de règles que je veux édicter au niveau national pour que Ostaria reste la Belle Ostaria ! De plus, ce quartier montre l'importance de la sécurité dans notre ville et dans notre pays. Nous avons de la chance, nous sommes plutôt épargnés par la criminalité et les trafics en tout genre. Mais il y a tout de même une hausse de cela, et devinez depuis quand ? OUI, depuis que la mairie actuelle et surtout depuis que son prédécesseur gouvernent ! Je veux restaurer la sagesse de notre ville. Avec L'Alternative, nous voulons protéger notre pays et empêcher qu'on le rende sale, laid, dangereux et dénaturé !"

Le parcours se finit dans une fin d'après-midi claire, de retour sur la place où a commencé l'après-midi. Il y a un fond de musique, des boissons sont servies et le nombre de personnes qui ont été présentes durant toute la journée a dépassé les espérances d'Ernest. Afin de terminer cette journée et avant de rejoindre la foule pour s'amuser, Ernest, accompagné de la députée Laure Morelli, du président Elias Staphenberg et de l'ancien ministre et pilier du parlement ostarien Arthur Klein, montent sur une estrade afin de prononcer un discours.
Ernest, quelque peu ému par la réussite de son premier événement électoral : Mes chers amis, merci ! (applaudissements et illustrations de joie dans le public). Merci d'être venus si nombreux, cela montre à quel point vous avez de l'espoir en ma candidature pour restaurer la ville grâce a l'Alternative que le propose. Egois est mal menée depuis trop longtemps, et je veux lui redonner sa grandeur d'antan, je veux faire de nos jeunes générations les générations futures d'Ostaria et je veux faire des jeunes générations d'Ostaria le futur de l'humanité. Je veux aider les entreprises et l'emploi, je veux montrer à ceux qui ont été déçus par les dirigeants actuel et que nous sommes l'Alternative ! (applaudissements et illustrations de joie dans le public). Mais cette déception ne doit pas pour autant nous lancer vers les extrêmes. Je vous le dis, lorsque je vois les discours du "parti populaire", -ou devrions nous l'appeler "parti populiste"- je suis inquiet de voir a quel point ils utilise des discours qui ont été des discours sombre de notre histoire et surtout je suis inquiet de voir qu'il ne s'intéresse à rien d'autre a Ostaria que de l'immigration, ils ne trouvent rien de beau a Ostaria et veulent nous bâillonner. Nous devons lutter contre eux ! (applaudissement dans la foule)
Désormais, je vais ajouter un peu de soleil dans ce discours : Mesdames et messieurs, veuillez recevoir comme il se doit madame la députée Laure Morelli ! (applaudissements et illustrations de joie dans le public).
Laure Morelli : Merci à tous, et merci à toi, Ernest, pour ton engagement pour Egois !
Nous tous, réunis ici aujourd'hui, sommes la preuve que notre projet peut gagner, ce vendredi. Un projet clairvoyant et mesuré, sérieux mais ambitieux, pour retrouver le cap de l'espérance. J'ai consacré de nombreuses années à la défense d'une telle vision, et croyez-moi lorsque je vous dis que nous allons continuer à la porter de toutes nos forces dans les années à venir, à l'Assemblée Nationale.
Cela vaut pour moi, mais également pour Ernest Vabre-Nicolo, une personne talentueuse qui saura incarner la vivacité du sang neuf aussi bien à l'assemblée que dans votre ville. Sa volonté farouche de défendre l'intérêt général des Ostariens, et, au premier chef, des Égosiens, ne décevra pas ceux qui auront le courage de choisir une alternative pour Egois et pour Ostaria !
Ce vendredi, faisons entendre notre voix avec une force sans égale, et exigeons L'Alternative !
Ernest : Merci citoyens d'Égois et d'Ostaria ! Je compte sur vous pour vous amuser ce soir et pour sauver notre ville vendredi aux élections !

Ernest Vabre-Nicolo lors de son discours de clôture de l'évènement.

[Arthur Klein]

EL : validation par les MJ
EL 2 : novembre 220

Conformément au financement d'un meeting pour l'élection présidentielle 220, L'Alternative a fait en sorte de créer un hologramme depuis la salle de spectacle Aimée-Louise de Brignal. Ce meeting (viewtopic.php?p=12119#p12119) a été rediffusé intégralement en hologramme à partir du moment où la ville est prononcée dans l'introduction de Marius Delamare.