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Dépêches - Articles - Constitution - Journal Officiel - Commission Électorale

Palais des sports de Nour

Ville IRL : Grenoble
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État d'Ostaria
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mer. 19 oct. 2022 21:17

Palais des sports de Nour
Le plus souvent utilisé pour des manifestations sportives et culturelles, le bâtiment peut accueillir jusqu’à 12 000 personnes.

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François Léon
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Parti politique

jeu. 2 mars 2023 20:39

Meeting de campagne
Nour, 2 Mars 210

François Léon poursuivait, alors que la campagne battait son plein, sa tournée électorale en se rendant dans la ville de Nour qui fut une des rares villes un jour dirigé par l'UTAC dans le cadre de l'Union de la Gauche. Esteban Lopez, l'ancien maire de la ville aujourd'hui dirigé par LE, était venue soutenir le chef de son parti avec l'espoir d'entrer de nouveaux dans le conseil municipal.

François Léon : Chers Camarades de lutte !

Nour est une grande ville de lutte, elle fut celle qui mit à sa tête un maire réellement anticapitaliste. Je salue mon camarade et ami Esteban Lopez qui a dirigé cette ville. Bien sur, nous n'avons pas tout faire ici pour la simple raison que nous étions alors tenus par des élus sois disant écosocialistes qui ont brillés et qui brillent aujourd'hui à la tête de la ville par leurs incapacité à changer les choses en profondeur. Ce n'est pas étonnant, pensez vous qu'un homme comme Edouard à des ambitions révolutionnaires ? Absolument pas. C'est un homme de centre-gauche voir de centre-droit qui est très heureux de la situation actuelle et qui n'est pas pressé de changer les choses.

Nous, à l'UTAC, nous avons d'autres ambitions que celles-ci. A la fin des fins, et nous sommes les seuls à l'assumer pleinement, nous voulons la révolution internationale et la fin du capitalisme au niveau mondial. Vous nous croyez rêveur ? Pensez alors à ceux qui un jour ont étés traités de rêveurs quand il souhaitait voir advenir la démocratie. Le monde est façonné par les rêveurs et les optimistes, non pas par les conservateurs et les réactionnaires. Mais, la révolution ne se décrète pas en un soir elle adviendra forcément, car elle ne peut qu'advenir devant un monde aussi injuste, et ceux, nous l’esperons, dans un cadre non-violent.

En attendant, charge à nous les partis politiques communistes de soulager la douleur humaine par la réforme et la lutte sociale. Nous ne devons pas devenir des partis institutionnels mais nous devons tout faire pour parvenir, sans démagogie ni concession, à intégrer ces instituions démocratiques pour faire passer nos propositions. C'est ainsi que nous pouvons parfaitement exercer des responsabilités politiques sans pour autant trahir nos idéaux. Non, nous n'allons pas commencer une lutte armée si vous arrivons à la tête d'une mairie, d'une région ou même du pays. Nous ne le ferons pas car d'une part nous sommes un parti qui promeut une révolution sans violence physique et d'autre part car nous savons que la révolution ne viendra que d'un mouvement social globalisé et général qui fera table rase des dominations existantes et qui redéfinira une société plus juste et plus saine. Vous pouvez donc voter pour nous sans craindre de dérives comme celles qui ont existées durant le mandat du Président Chastain.

Alors, si nous arrivons au pouvoir, si nous parvenons à nous emparer de quelques postes de décisions il nous faudra mener des réformes rapides qui permettrons de commencer à inverser le rapport de force entre le prolétariat et la bourgeoisie. Ces réformes seront centrées autours de trois grandes axes, trois grands thèmes qui guideront notre action politique. Ces trois grands axes les voici : Le soulagement de la peine au travail, la mise en place d'une société tolérante et la préservation de l’environnement.

Le soulagement de la peine au travail, d'abord, signifie que nous mènerons les réformes nécessaires pour que les prolétaires soient libérés du plus de temps de travail possible et que celui-ci soit rémunéré le plus fortement possible. C'est pourquoi, comme nous l'avons déjà annoncé mais je le redis aujourd'hui, nous instaurerons la semaine de 30 heures, que nous mettrons en place la retraite à 58 ans et que nous augmenterons le SMIC pour qu'ils atteignent 2000 O$ta net. C'est un projet ambitieux qui fait pâlir la bourgeoisie et qui fait rougir la droite de colère. Et bien oui, pour eux le travail c'est une valeur, c'est important. Moi je le dis, le travail c'est une souffrance, c'est une aliénation, c'est une chaîne qu'on place autour des pieds des travailleurs. J'oppose, et je le dis sans sourciller, le travail à la liberté. Oui, nous ne sommes libre que quand nous avons du temps devant nous. Or, avec le travail qui entraine une fatigue subie, nous n'avons pas le temps d'être libre. Oui, il faut du travail pour que la société fonctionne. Mais ce travail doit être organisé de manière à ce qu'il repose sur le groupe et son intelligence. En harmonisant mieux la production, en répartissant les taches de manière plus optimal nous parviendrons à diminuer considérablement le temps de travail des hommes et des femmes tout en assurant le progrès de la société humaine.

Le second axe, c'est celui d'une société plus tolérante. Il n'est pas acceptable d'entendre aujourd'hui des discours politiques xénophobes, racistes, misogynes, homophobes et cela en tout impunité. Vous allez me dire que c'est du ressort de la liberté d'expression. Mais la tolérance envers les discours intolérants n'est pas tolérable. Si nous laissons faire, bientôt nous aurons à la tête de ce pays un dirigeant ouvertement fasciste qui instaura une politique catastrophiques pour nos libertés. Pensez vous vraiment que si monsieur Zimmerman, qui a obtenu près de la moitié des suffrages aux dernières présidentielles, était devenu Chef d'État aujourd'hui l'UTAC serait encore un parti autorisé ? Bien sur que non. Nous aurions étés dissout et sans doute arrêtés et jugés par une police et une justice aux ordres. Des chasses aux migrants auraient étés organisés, les médias auraient étés muselés. Alors oui, je refuse que nous puissions laisser prospérer des discours pareils dans la société. C'est pour cela que nous proposons la sanction et l'interdiction de tout discours racistes, misogynes et anti-démocrates dans le cadre du débat public. C'est aussi dans cette volonté d'une société tolérante que nous proposons l’ouverture des frontières à toutes celles et ceux qui souhaitent venir dans notre pays. Enfin, nous désarmerons la police pour mettre fin aux rapports conflictuels de cette institution avec la population. Trop de drames dans nos cités, trop de bavures, trop d'agressions gratuites ont étés faites par la police contre de simples citoyens qui n'ont pas eu la chance de naître dans les quartiers chics.

Le dernier axe de notre projet politique est la préservation de l’environnement. Oui, protéger les écosystèmes et mettre en harmonie les Hommes et la nature relève d'une importance capitale si nous voulons vivre correctement. Aujourd'hui, nous surproduisons, nous surexploitons des sols notamment agricole, nous polluons les océans et l'air au profit de l'industrie. Tout cela, nous pouvons l'éviter en mettant en place des réformes importantes en matière d'écologie. Alors on va me dire que la lutte des classes n'a pas grand chose à voir avec la nature. Je répondrais que c'est faux, et que bien au contraire ces deux sujets sont liés. D'abord qui exploite la nature et pollue nos écosystèmes ? Toujours les mêmes, la bourgeoisie. Et, qui subit encore et toujours les conséquences de cette pollution ? Toujours les mêmes, les prolétaires. Alors oui, ces deux sujets sont liés et il faut en avoir conscience pour régler la question environnementale. Ainsi, nous proposons une série de réformes ambitieuses sur ce sujet. Premièrement, nous souhaitons l’interdiction des engrais chimiques et des pesticides qui encouragent à la surexploitation et à la logique du toujours plus. Nous voulons revenir à une agriculture paysanne saine et 100% bio. Cela est un enjeux de santé publique car c'est bien dans nos estomacs que termine cette nourriture et si vous mangez des légumes contaminés par des pesticides alors vous risquez des maladies graves. Non, il faut que chacun puisse manger des aliments sains pour lui et son corps. De plus, nous souhaitons l'investissement de 100 milliards d'O$ta dans les énergies renouvelables afin de disposer d'une production énergétique qui ne dépendent pas de l'exploitation de minerais rares dans des mines dangereuses situés dans des pays pauvres comme l'est le nucléaire.

Alors, vous l'aurez compris si vous nous faites confiance et que vous êtes suffisamment à nous accordez votre suffrage alors nous pourrons commencer la transformation de notre société vers plus de justice, de liberté et d'harmonie. Notre combat n'est pas la conquête du pouvoir, mais bien l'instauration d'un nouveau d'organisation dans lequel nous tous nous serions véritablement égaux et libre, débarrassé de la domination de la bourgeoisie qui ne pense qu'à ses profits et qui nous voit comme des chiffres sans importances. Dans le contexte d'une proportionnelle, il faut vous débarrasser de la pression mental du vote utile. 2% des voix, c'est ce qu'il nous faut pour être représenté et je sais que nous les obtiendrions si vous êtes en capacité de vous mobiliser pour vos convictions et pour faire advenir les jours heureux et le temps des cerises.

Vive la République et vive le Socialisme !


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Caroline Jouvet
Député
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Parti politique

mar. 10 oct. 2023 15:12

Meeting de l'UDSR - Décentralisation



Des milliers de militants s'étaient réunis au sein du palais des sports de Nour pour le lancement officiel de la campagne de l'UDSR. Des applaudissements retentissent. Après quelques instants, ils s'estompent, laissant la place à une salle attentive et impatiente. Caroline Jouvet monte sur l'estrade, un sourire chaleureux aux lèvres, prenant un moment pour balayer l'audience du regard avant de commencer.

Mes chères concitoyennes, mes chers concitoyens,

C'est avec une immense gratitude et une profonde humilité que je me tiens devant vous ce soir, au cœur de notre chère République d'Ostaria. Lorsque je regarde cette mer de visages, je suis rappelée aux raisons qui m'ont poussée à servir, à agir, à m'engager. Chacun d'entre vous représente une histoire, un espoir, un rêve pour notre nation. J'ai eu l'honneur de porter le flambeau de la décentralisation, de défendre la voix de nos territoires, de croire en une Ostaria où chaque région, chaque ville, chaque village, a son mot à dire dans la grande symphonie de notre République.

Nous sommes rassemblés ici, non pas en tant qu'individus isolés, mais comme une communauté soudée, unie par une vision commune. Une vision d'équilibre, de justice sociale, d'équilibre financier, et d'une décentralisation qui met l'accent sur l'écologie et le territoire. Je tiens à vous parler ce soir des États généraux de la décentralisation, de nos réponses face à la sécheresse, du rôle de nos régions dans le revenu minimum de subsistance, et de notre vision pour une Ostaria plus verte, plus prospère, et plus unie. Mais avant tout, permettez-moi de vous dire ceci : ma mission, notre mission, n'est pas seulement de parler de ces sujets, mais de créer ensemble une nation où chaque voix compte, où chaque territoire brille. Mesdames et messieurs, ce soir, nous écrivons ensemble le prochain chapitre de notre histoire. Un chapitre d'espoir, d'action et de progrès.

L'équilibre, c'est le socle sur lequel repose notre République d'Ostaria. C'est cette notion d'équilibre qui guide nos pas, qui oriente nos décisions, et qui façonne l'essence même de l'UDSR et de ma vision pour notre pays. L'équilibre, ce n'est pas seulement une balance entre les extrêmes. C'est bien plus que cela. C'est la garantie d'une société où chaque citoyen, indépendamment de son origine, de sa région, de sa profession, trouve sa place et est reconnu dans sa singularité tout en contribuant à la grandeur collective. Quand je parle d'équilibre, je pense à la solidarité entre nos régions, entre nos villes et nos campagnes, entre le Nord et le Sud, l'Est et l'Ouest d'Ostaria. Je pense à un Ostaria où chaque individu peut s'épanouir, où chaque région peut briller de ses spécificités tout en étant reliée aux autres, dans une harmonie qui nous rend plus forts ensemble.

La décentralisation n'est pas un simple mot, pas une simple idée. C'est un engagement profond, une vision pour une Ostaria plus forte, plus proche de ses citoyens, et plus adaptée aux réalités de chacun de ses territoires. C'est pourquoi nous avons lancé les États généraux de la décentralisation, une initiative ambitieuse pour donner une nouvelle dimension à notre démocratie. Ces États généraux ont été conçus comme un vaste espace de dialogue, de concertation et de proposition. Nous avons souhaité impliquer tous les acteurs : élus locaux, citoyens, experts, associations... Notre objectif était clair : repenser notre modèle de gouvernance pour le rendre plus efficace, plus démocratique, et mieux ancré dans la réalité de nos régions et territoires. ais, mes chers concitoyens, la démocratie est un processus complexe. Si la volonté de changer était largement partagée, les visions sur la manière d'y parvenir ont parfois divergé. Certains blocages institutionnels, des intérêts particuliers et, il faut le reconnaître, des différences d'approche ont rendu la finalisation d'un texte commun difficile.

Mais l'absence de consensus final ne signifie pas l'échec de notre démarche. Au contraire, ce processus a mis en lumière les enjeux, les attentes et les espoirs de nos concitoyens. Il a nourri notre réflexion et notre volonté d'aller de l'avant. Il est de notre responsabilité d'analyser, d'écouter et de persévérer.

Je tiens à vous le dire haut et fort : je ne baisserai pas les bras. La décentralisation est, et demeure, un pilier central de ma vision pour Ostaria. Je m'engage devant vous, avec toute la détermination qui m'anime, à poursuivre ce combat. Nous travaillerons ensemble, main dans la main, pour bâtir un modèle de décentralisation adapté à notre époque et à nos territoires. Parce que je crois profondément que c'est en donnant davantage de pouvoir à nos régions et à nos territoires que nous bâtirons l'Ostaria de demain : une Ostaria unie, solidaire et ambitieuse.

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