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Dépêches - Articles - Constitution - Journal Officiel - Commission Électorale

Cité de Diklen

Ville IRL : Charleroi
Population : 1 550 072 hab.

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État d'Ostaria
Institution
Messages : 534
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

sam. 21 sept. 2019 19:06

Cité de Diklen
Quartier très pauvre de la ville de Bridame dans lequel résident essentiellement des travailleurs précaires ou des sans-emploi.

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Marie Bonneau
Messages : 329
Enregistré le : ven. 31 mai 2019 18:55
Personnage : Principal

sam. 21 sept. 2019 21:20

Marie était venue en visite dans cette banlieue pour rappeler que la gauche avait la légitimité du combat contre la précarité des classes populaires. Après plusieurs heures passées à converser avec les habitants, elle décida de répondre brièvement à la presse.

Bonneau : La majeure partie des problèmes des quartiers de banlieue aujourd'hui est liée à la précarité qui ronge ces milieux. Nous devons plus que jamais être aux côtés des classes populaires contre la pauvreté dont elles sont les victimes. Qu'à fait la droite, à l'échelle nationale et à l'échelle locale, contre la pauvreté des habitants de banlieue? Rien! Alors qu'à Ménargues, seule métropole ayant choisi un maire de gauche lors des dernières municipales, la municipalité a mis en place un revenu complémentaire de 500 O$ta pour les plus pauvres et un ticket de consommation du même prix. Car il est impensable que dans nos banlieues aujourd'hui, certains ne puissent pas manger à leur faim. Alors pour que la précarité soit combattue avec force, les bilans prouvent qu'il faut choisir Julien Chastain.


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Marie Saez
Messages : 124
Enregistré le : ven. 8 mars 2019 21:39
Personnage : Principal

Parti politique

lun. 11 nov. 2019 15:00

Marie Saez était venue dans cette difficile cité de Bridame pour venir y défendre le programme du PNC. Rapidement, quelques jeunes du quartier se massèrent autour de la députée et des journalistes. Sous les huées, Marie continua de converser avec de nombreux habitants plus chaleureux. Après plus de trois heures de dialogue, elle répondit à la presse.

Saez : Ces banlieues ont besoin du PNC pour avoir un essor économique. AUjourd'hui, beaucoup des résidents de cette cité n'ont pas d'emploi. Croyez-vous que l'exubérant salaire minimum de la gauche va aider les entreprises à les embaucher. Parce ce que vers l'emploi, ces résidents ont aussi un autre défi : leur lieu de résidence. Aujourd'hui, un employeur fait moins confiance à un demandeur d'emploi qui réside dans une cité telle celle-ci. Et pourquoi? Parce ce que depuis trois heures, des habitants de ce quartier, majoritairement issus de l'immigration, renvoient une image très négative de ce quartier. Je doute que ceux qui m'ont suivi pour me huer aient bien travaillé dans leur scolarité et je ne serais pas surprise de les recroiser quand je visiterais une prison. Parce ce que si nous remportons ces élections, nous allons débarrasser les habitants de toute cette délinquance impunie.


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Julien Boulanger
Messages : 226
Enregistré le : dim. 15 déc. 2019 11:58
Personnage : Principal

Parti politique

mer. 19 août 2020 15:34

La tête de liste de l'UDP aux élections législatives, Julien Boulanger, s'était rendu dans la cité de Diklen pour parler avec les habitants de son projet pour les banlieues. Quelques caméras nationales et des journalistes locaux était venue assisté à l'événement. En traversant la banlieue pour se rendre dans une salle ou l'attendais les quelques militants et adhérents de l'UDP des jeunes se regroupèrent autour du candidat pour l'insulter et le huer. Les gardes du corps de Boulanger écartèrent les jeunes alors que le candidat gardait son sang-froid. Une fois arrivé dans la salle, le candidat se fit applaudie des militants avant de commencer son intevention.

Boulanger : bonjour à toutes et tous,

Je vous remercie chaleureusement d'êtres venue ici pour afficher votre soutien à notre combat dont je ne suis que le représentant. Je suis ici pour vous parler de mon plan pour les banlieues d'Ostaria et j'ai prévu de le faire sous forme de question réponse. Alors qui veut prendre la parole ?

Une main se leva et un micro lui fut tendu.

Personne du public : bonjour monsieur Boulanger, je m'appelle Jean et j'habite ici dans ses ghettos. Vous avez pu voir le sort que réservait cette racaille aux personnes comme nous alors je vous le demande qu'allait vous faire contre eux ?

Boulanger : bonjour Jean, oui, j'ai pu éprouver votre quotidien pendant quelques minutes. Cette bande de racailles fait peser la terreur sur tout un quartier, que vous appelez Ghettos avec raison, et cela est intolérable. Ici comme partout ailleurs la racaille immigrée, qui profite bien entendue des aides de l'état, prend le pouvoir et impose ses lois. C'est une guerre de territoire ou l'état ne cesse de reculer en désarmant la police et en ouvrant sans aucun contrôle la frontière à toute sorte de personne. Ce que je compte faire contre eux, c'est tout simplement donner à nos forces de police la confiance et les moyens de reprendre le contrôle des banlieues par la force, car il n'y a que cela qu'ils comprennent. Oui, mais mots sont dure, mais ils sont adaptés à la situation catastrophique dans laquelle vous vivez. Je m'adresse à tous ceux qui nous écoute et pour qui la situation que je décris semble éloigné. Vous n'êtes pas à l'abri, le flux massif d'immigrant va amplifier le phénomène dans les banlieues dans toutes les villes de la république. Il faut stopper net les volontés expansionnistes des racailles et cela commence par les urnes.

Une autre main se leva et le micro lui fut transmis.

Personne du public : bonjour, je m'appelle Alain et je suis actuellement sans emploi. Que comptez-vous faire pour lutter contre le chômage de masse dans les banlieues ?

Boulanger : Bonjour Alain, pour commencer nous instaurerons dans la constitution le principe de préférence nationale à l'embauche pour que fasse à la concurrence déloyale de la mains d'œuvre bon marché immigré vous soyez toujours avantagé. Mais pour qu'il y est de l'emploi, il faut des entrepreneur et pour qu'il est des entrepreneurs, il faut qu'il y est des condition favorable à l'innovation et à l'investissement. Pour créer ses conditions nous abaisserons les charges sociale, les impôts relatifs à l'investissement dans la recherche et développement et nous mettrons un point d'honneur à laisser vivre les entreprises nouvellement créées. Cela signifie que pendant les deux premières années qui suivent la création d'une entreprise l'état ne pourra pas imposer la dite entreprise. Ce temps permettra à la jeune entreprise de se développer, d'embaucher et donc de créer des emploi et de la croissance économique. Voilà notre plan pour que vous puissiez retrouver le plus rapidement du travail.

Après quelques autres questions plus banales, une séance de selfie commença. Après cela, il repartit dans la même ambiance qu'a son arrivée.

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François Léon
Député
Messages : 62
Enregistré le : lun. 6 sept. 2021 16:25
Personnage : Secondaire

Parti politique

ven. 2 févr. 2024 23:23

Le candidat de la liste de l'Union Populaire de Gauche (UPG) voulait marquer la campagne de 222 par une campagne active et ainsi constituer la force politique d'extrême gauche la plus forte possible à l'Assemblée Nationale. Pour se faire, il avait organisé un rassemblement au sein de la Cité de Diklen, une des cités les plus pauvres du pays. De nombreux militants d'organisations et d'associations d'extrême gauche étaient venues pour assister au meeting.

François Léon : Camarades !

Je suis heureux de me tenir devant vous pour vous parler de politique. Car oui, je crois que ce n’est que par la politique que nous parviendrons, nous la masse des travailleurs, des précaires, des exploités à nous dresser face aux forces bourgeoises et réactionnaires qui tiennent les rênes de notre pays et de notre économie. Alors je le dis à vous les travailleurs, à vous la jeunesse, qu’il faut vous politiser et vous engager dans des associations, dans des syndicats et dans tous les organismes de lutte car ce n’est que par l'organisation des prolétaires que nous parviendrons à renverser le pouvoir bourgeois. Je connais vos hésitations quant à la politique, je sais que vous pensez que les élus ne servent à rien et que voter est inutile mais si vous décidez de vous mobiliser en masse et de faire entendre votre voix, dès le soir des résultats les forces anticapitalistes sortiraient majoritaires du scrutin ! Et croyez-moi quand je vous dit que je suis déterminé à mener la révolution socialiste et démocratique dont notre pays à besoin !

Oui, nous avons besoin de cette révolution par les urnes car le système économique et social de notre pays est à bout de souffle, il ne tient plus que par la force et par la violence d’une police aux ordres. Les mouvements sociaux sont brutalisés, marginalisés, les militants de gauche sont poursuivis. Et tout ceci se déroule alors qu’au même moment l’extrême droite progresse et fait avancer ces idées nauséabondes. Que pensez-vous qu’il adviendra quand l’extrême droite prendra le pouvoir ? Les travailleurs continueront d’être exploités mais pire encore nos camarades racisés seront traqués, nos camarades homosexuels devront se cacher et tout ceci sous le regard amusé de la bourgeoisie qui ne verra pas son pouvoir être remis en cause une seule seconde. Voilà ce qui nous attend si nous ne nous mobilisons pas pour mener notre révolution démocratique !

Et cette révolution démocratique elle passera d’abord par une révolution sociale car nous ne pouvons plus accepter la misère et la pauvreté. Ostaria, nous dit-on, est une grande puissance économique pourtant je crois bien que les travailleurs y sont exploités pour un salaire miséreux et que des sans-abris meurent de froid et de faim dans les rues de nos villes. Comment pouvons-nous nous dire grande puissance quand nous sommes incapable de traiter convenablement les plus petits d’entre nous ? Cette pauvreté que nous côtoyons et que nous vivons dans notre quotidien, elle est organisée et elle est voulue par un système qui se nomme capitalisme ! Et pour abattre ce système il faudra passer par des réformes de grandes ampleurs, il ne faudra pas avoir peur de choquer la bourgeoisie à l’assemblée nationale par des propositions de lois révolutionnaires ! Et là je vous pose une question, pensez vous une seule seconde qu’un parti comme LE serait capable de proposer le salaire minimum à 2 000 O$ta et la semaine de 30 heures ? Non, cette gauche bourgeoise esquive ces progrès sociaux en faveur de réformettes vaguement de gauche qu’ils ne pourront même pas faire voter faute d’une majorité constituée avec des libéraux de l’UDSR et des réactionnaires de VLR !

Pour revenir à nos propositions, oui nous mettrons en place ce salaire minimum à 2 000 O$sta et la semaine de 30 heures qui permettront à des millions de travailleurs de sortir de la pauvreté et de gagner en temps de vie ! Oui, le travail tue quand il n’est pas encadré, quand il n’est pas limité ! Alors, nous renforçons les moyens de la protection sociale et du contrôle du travail. Si les accidents du travail existent alors c’est aux patrons de payer pour réparer les salariés blessés. Dans cette même idée de soulager les travailleurs du labeur, nous mettrons en place la retraite à 58 ans avec une pension égale au SMIC. Je rappelle à chacun que nous avions proposé cette réforme quand nous étions présent au parlement et que celle-ci à été balayé par LE au profit d’une réformette mesurée et conforme pour ne pas trop choquer la bourgeoisie. Encore une fois nous avons démontré alors que nous étions la seule force capable de mener le combat social au sein de l’Assemblée nationale.

Si vous votez pour l’Union Populaire de Gauche vous ferez entrer au parlement des députés de combat, qui ont la lutte des classes ancrés dans leurs discours politiques. Des députés qui n’auront pas peur de faire entendre les revendications des mouvements sociaux au sein de l'hémicycle et qui n’auront pas peur non plus de dire aux députés d’extrême droite qu’ils représentent un danger pour la république et pour les travailleurs ! Et quand je dis travailleurs je parle de tous les travailleurs, peu importe leur nationalité ou leur couleur de peau ! C’est pour ça que l’UPG propose aussi de mettre fin à la clandestinité et dire que toute personne présente sur notre sol à le droit d’y être et à le droit d’y vivre en paix avec sa famille et ses amis ! Ainsi, nous régularisons toutes les personnes qui sont considérées aujourd’hui clandestines par le pouvoir bourgeois. L’antiracisme doit devenir aussi un des moteurs de la gauche et nous n’aurons pas peur de reprendre les combats en ce sens, non pas pour les détourner mais pour les faire entendre et les transformer en projet politique capable de vraiment changer les choses dans notre pays !

Alors je vous le dis travailleurs et travailleuses, mes chers camarades la langue que je vous parle aujourd’hui c’est celle de la lutte politique ! C’est celle qui nous permettra à nous tous de mieux vivre demain, débarrassés de la bourgeoisie dévorante, impérialiste et réactionnaire ! Mais vous devez vous mobiliser vous aussi et voter et militer partout où cela est nécessaire. L'abstention est le meilleur allié d’une classe politique qui ne défend pas les travailleurs. Aujourd’hui, il faut que vous compreniez que vous êtes la masse laborieuse de notre pays et que sans vous rien ne fonctionne mais qu’avec vous un autre monde est possible et ce monde c’est le socialisme !

Vive la république et vive le socialisme !

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