ImageBienvenue en Ostaria !Image

Heure de Lunont : (GMT+1)
__________________

Dépêches - Articles - Constitution - Journal Officiel - Commission Électorale

Salle de spectacle Jérôme Plassel

Ville IRL : Perpignan
Population : 146 496 hab.

Avatar du membre
Julien Boulanger
Messages : 226
Enregistré le : dim. 15 déc. 2019 11:58
Personnage : Principal

Parti politique

sam. 10 juil. 2021 10:22

Julien Boulanger, tête de liste de la Ligue Républicaine autant aux législatives qu'au municipale de Pedur, avait décidé une fois de plus de commencer cette nouvelle campagne dans cette salle de spectacle au nom symbolique. C'est donc avec un parti moderniser et une nouvelle équipe que Boulanger partait à la conquête du pouvoir. Rentrant sur scène sous les applaudissements nourris d'un public acquis à la cause de cet homme figure du nationalisme ostarien et qui tentait de soigner son image pour la rendre plus respectable. Après quelques minutes d'ovation et une fois le calme revenu, le candidat débuta son discours.


Julien Boulanger : Quel plaisir de vous retrouver aujourd'hui dans cette magnifique salle !

Jérôme Plassel était un grand homme de la politique Ostarienne, il fait figure de bouclier défendant ardemment les valeurs de la république face à ceux qui voulait la détruire. Il est de ceux que l'histoire retiendra, car son combat pour la liberté est marqué du sceau de l'intemporalité. Je vous le dis sans trembler, je suis fier de porter la même nationalité et de partager la même histoire que Jérôme Plassel et je me reconnais dans son combat et dans sa politique pour la grandeur de la nation. Le parti que je dirige s'inscrit dans la continuité de son combat, mais certainement pas de celui de ses successeurs auto proclamée qui ont trahit le pays par leur inaction, leurs décisions d'alliance avec la gauche, leurs démagogies et leurs magouilles. La FRO ne représente aujourd'hui plus rien, si tenté qu'elle est un jour représentée autre chose qu'un groupe d'opportuniste et d'arriviste, et je lance un appel à toutes les personnes souhaitant véritablement travailler à l'élaboration d'une droite souverainiste et pragmatique à rejoindre la Ligue Républicaine !

La foule applaudit l'introduction, sous forme d'éloge à Plassel, de Boulanger marquant d'office sa volonté de s'inscrire dans la continuité de grands chefs d'État Ostarien.

Julien Boulanger : Vous êtes aujourd'hui nombreux à êtres venus soutenir le projet et la liste que je porte pour ces nouvelles élections et je vous remercie chaleureusement. À chaque fois que je monte sur cette scène, vous êtes de plus en plus nombreux et de plus en plus déterminé. Cette dynamique est la même partout dans le pays et se traduit dans les urnes par une augmentation de nos scores à chaque élection nous permettant de devenir une force politique incontournable en Ostaria. Cette nouvelle campagne m'oblige à vous demander de vous mobiliser une fois de plus, vous êtes la base sur laquelle le pays pourra se reconstruire et si vous décidez de ne pas agir alors jamais nous ne pourrons gagner. Mais je crois en vous autant que je crois en la victoire et si un jour vous rencontrez des pessimistes dite leurs que la seule bataille que l'on est sûr de perdre est celle que l'on ne mène pas. Alors merci de me donner la force de mener une fois de plus cette bataille !

La salle applaudit Boulanger et scanda en cœur 'On va gagner ! on va gagner !".

Julien Boulanger : Il semble aujourd'hui évident que le modèle de l'État providence, de l'État qui intervient partout et tout le temps à atteint ses dernières limites. Les chiffres en matière d'économie nous éclairent sur l'échec d'un modèle et la nécessité d'un renouveau économique. D'après les derniers chiffres dont nous disposons près de 7 % de nos compatriotes en âge de travailler seraient actuellement sans emploi et cette situation n'est pas acceptable et ceux pour deux principales raisons. La première étant que nous ne pouvons accepter que des hommes et des femmes en âge de travailler vivent au dépens des aides de la société et donc au dépens des impôts des autres citoyens. Dans une société saine, chacun doit pouvoir subvenir lui-même, quand il n'est pas gravement malade ou en incapacité évidemment, à ses besoins. La seconde raison est que ce chiffre de 7 % est en constante augmentation et que si nous n'agissons pas maintenant la conjoncture économique ira nécessairement en direction d'une augmentation sans précédent du chômage et entraînera des difficultés économique irréversible. Le communisme gangrène depuis près de 20 ans notre économie et l'inaction de la Président et de son Premier ministre fait d'eux des coupables autant que l'est Julien Chastain.

Le public hue la Présidente, le Premier Ministre et Julien Chastain.

Julien Boulanger : Mais dresser un constat ce n'est pas faire de la politique. Si je me présente à vous, c'est que j'ai un projet à vous proposer pour sortir notre beau pays de cette situation alarmante. Dans un premier temps, il faut que nous nous attaquions au code du travail actuel qui n'est qu'un frein. Un frein à la croissance, un frein à l'innovation, un frein à la flexibilisation, un frein au recrutement et j'en passe. Je ne veux pas réformer le code du travail, je veux le briser pour en construire un nouveau, plus juste et plus équitable. Ce nouveau code du travail sera basé sur le dialogue social, la compétitivité de nos entreprises et la lisibilité pour tous. Ainsi, nous supprimerons la durée légale de travail hebdomadaire, permettant à chaque entreprise de décider de son propre temps de travail par le biais des négociations entre les salariés et les recruteurs. Il existera cependant une durée de référence de 40 heures pour les entreprises ou le dialogue aurait échoué et où aucun compromis n'aurait été trouvé. Cette disposition permettra à la fois de protéger les salariés et d'assurer aux patrons une durée du travail rentable pour eux. Cette mesure est nécessaire et est appuyée par la logique, chaque entreprise à des particularités qui lui sont propres et le fait d'imposer un temps du travail uniforme n'est pas adapté à la réalité du terrain. Dans cette même logique de vouloir adapter les réglementations aux particularités de notre économie, nous devons supprimer le salaire minimum à l'échelle nationale et transmettre cette compétence aux régions. Il est évident que d'une région à l'autre les secteurs économiques ne sont pas les mêmes et cela nous pousse à décentraliser cette compétence. Nous proposerons de baser le salaire minimum révérenciel à 11O$ta horaire, soit 1825 O$ta par mois pour des semaines de 40 heures ce qui est plus important que l'actuel salaire minimum hebdomadaire. Dans cette même logique, nous agirons dans le sens du pouvoir d'achat des ménages pour relancer la croissance. Nous établirons une rémunération des heures supplémentaires à 140 % du salaire horaire convenu dans le contrat de travail, dans la limite de 5 heures par semaine. Cela avantagera le mérite des salariés, si vous faite l'effort de travailler plus vous serez payé plus cela à la force de l'évidence !

La foule applaudit le discours de Boulanger allant dans le sens du porte feuille des classes moyennes.

Julien Boulanger : Mais écrire un nouveau code du travail n'est pas suffisant pour combattre le chômage. Je propose aussi de donner à notre économie un coup de pouce important en impulsant une refonte de la fiscalité. Nous fixerons un impôt sur le revenu dont la tranche maximum sera fixée à 42 % et nous abolirons la Participation Sociale Universelle qui n'est rien d'autre qu'une extorsion de l'État contre les travailleurs. Dans la même logique, nous fixerons la TVA à un taux raisonnable de 18 % afin d'accompagner la reprise de la consommation et donc de la croissance. Cependant, nous ne nous contenterons pas de soulager les ménages, nous établirons également un taux fixe d’imposition sur les sociétés à 25 % pour qu'elles puissent mieux respirer et réinvestir cet argent dans l'économie réelle pour relancer la croissance. Mais je suis bien conscient que pour restaurer la confiance entre les acteurs privés et l'État, il faudra aller plus loin et c'est pourquoi nous Imposerons par la loi un gel d’une durée de dix ans de l’augmentation des taux d’imposition pour les entreprises et sur la consommation afin d’offrir une stabilité aux acteurs pour relancer l’investissement productif. Les entreprises Ostariennes seront alors certaines de pouvoir investir sans craindre le courroux de l'État et l'économie se retrouvera assainie. Une fois le modèle communiste détruit la stabilité devra être de mise !

Les personnes venue soutenir Boulanger l'applaudirent.

Julien Boulanger : Détruire le modèle le communiste pour impulser un modèle ou l'individu est le moteur de l'économie et ou chacun peut décider par sa seul incitative de changer la donne et de façonner un monde nouveau sans jamais devoir compter sur l'État voilà notre objectif. Pour cela, il faut un changement concret, il faut revoir la structure complète de l'économie ostarienne. Cela passera premièrement par de vastes programmes de privatisations. Celles-ci suivront un principe de transparence et de non-favoritisme dans la répartition de leurs actions sur le marché. Nous ne voulons pas d'un capitalisme de connivence ou l'État et les grandes entreprises s'entre aide au dépit des jeunes pousses prometteuse, bien au contraire. C'est d'ailleurs pour encourager l'émergence de ces jeunes pousses que je propose de créer un statut d’initiative entrepreneuriale permettant aux nouvelles entreprises de ne pas payer d’impôt sur les sociétés jusqu’à deux ans après leur premier O$ta de bénéfice enregistré. Un système ou l'État est systématiquement l'agresseur et où il ne laisse aucun répit aux entreprises est un système voué à l'échec. Nous voulons, au contraire un système qui encourage sans assister. Dans cet esprit, nous encouragerons à l’entrepreneuriat et à l’investissement dans des TPE et les PME par le biais d'avantage fiscaux et de statuts spécifiques. Un pays qui innove, qui créer, qui investit voilà mon projet, voilà mon ambition pour l'avenir !

La salle se leva pour applaudir la vision économique de Boulanger que beaucoup partage.

Julien Boulanger : Mes Chères Amis vous l'aurez compris voter LR c'est voter pour faire vaincre une liste de droites pragmatique qui agira en faveur de la liberté et du redressement économique de la nation. Nous ne sommes pas des démagogues, nous vous parlons clair depuis toujours et je vous le dis Ostaria à les moyens de se relever si nous le décidons, mais il faut agir maintenant. Notre idéal est atteignable, car nous ne nous épargnerons aucun sacrifice pour notre pays et dans cette campagne vos efforts à vous tous seront déterminants et c'est grâce à vous que le soir des élections, nous serons, premiers !

Vive la liberté, Vive la République et Vive Ostaria !

La foule se leva comme un seul homme pour faire une ovation aux discours de Boulanger porteur d'espoir. Les drapeaux ostariens étaient secoués alors que des militants distribuèrent gratuitement des pins et des t-shirt aux couleurs de la Ligue Républicaine. Après son discours, Boulanger descendit de l'estrade pour saluer son public qui n'avait jamais été aussi nombreux. Après 1 heure de discutions et de selfie, il repartit en campagne.


Avatar du membre
Aya Leclerc
Messages : 268
Enregistré le : dim. 1 mars 2020 16:00
Personnage : Principal

Parti politique

dim. 11 juil. 2021 22:50

Aya Leclerc et Sébastien Belfort avaient convenu d'organiser un meeting commun dans leur ville de Pedur, en fin d'après-midi. Ce serait l'occasion de faire connaître Belfort, nouvelle tête de liste, en lui fournissant le prestige de la maire sortante, Leclerc, qui dirait aussi quelques mots à propos de l'élection législative.

Hier soir, sur le marché de Pedur, ils avaient pris le soin d'inviter leurs interlocuteurs à se joindre à ce meeting, et avait tiré parti du réseau de militants de l'Alternative, particulièrement puissant dans la ville, pour attirer le plus grand nombre d'habitants.

C'est donc devant un grand auditoire qu'Aya Leclerc prit, en premier, la parole.


Aya Leclerc : Bonjour à tous et merci d'être venus si nombreux aujourd'hui.

Cela fait de nombreuses années que j'ai eu la chance formidable d'être maire de la magnifique ville de Pedur. Il s'agit d'une charge extraordinaire. J'ai pu rencontrer des gens passionnants aux histoires diverses, écouter leurs problèmes et agir concrètement pour les aider. Au fur et à mesure, j'ai senti que mes efforts portaient leurs fruits. Agir pour ma ville et voir concrètement le résultat de mon travail sur votre vie quotidienne me prodiguait une force et une motivation hors du commun pour exercer mon mandat de maire.

Quelle joie de voir, année après année, Pedur devenir un endroit où il fait mieux vivre, une ville qui se démarque des autres par sa beauté, sa propreté, sa sécurité, sa convivialité ! Quelle joie d'avoir pu guider cette ville sur le chemin qui l'a menée où elle est ! Et quelle joie aussi de voir les Pedurais confirmer, élection après élection, que j'ai pris la bonne direction, que j'ai fait les bons choix pour eux !

Je parle au singulier, de mon propre ressenti en tant que maire. Mais je n'oublie pas, et n'oubliez pas non plus, que ce travail pour faire de Pedur une ville meilleure n'est pas, et n'a jamais été, un travail individuel. Je ne serais pas allée bien loin sans d'autres personnes compétentes, intègres, motivées et amoureuses de Pedur pour m'accompagner dans ce combat.
Et, parmi ces personnes merveilleuses se trouve mon ami Sébastien Belfort, que beaucoup d'entre vous connaissent sans doute déjà, en raison de son implication sans faille pour notre ville, en tant que premier adjoint, depuis des années. Pendant des années, j'ai eu le bonheur de le côtoyer et de constater ses grandes qualités. C'est un homme sur lequel j'ai toujours pu compter, sur lequel Pedur a toujours pu compter, en toutes circonstances. Bref, je crois que, pour ces années au service de Pedur, il mérite de spectaculaires applaudissements !

Aya Leclerc, suivie de la salle entière, se tourna vers Belfort en applaudissant vigoureusement. Belfort, jusque là assis sur le côté de l'estrade, se leva et se dirigea vers le micro ; Leclerc, après lui avoir donné une tape sur l'épaule, prit la place qu'occupait auparavant Belfort. Les applaudissements se calmèrent alors progressivement.

Sébastien Belfort : Merci, Aya. Merci à tous !

Ce mandat qui s'achève a été, sans conteste, une réussite aussi bien sur le plan économique que sur le plan écologique, et la ville se souviendra longtemps, Aya, de ce que nous avons fait pour elle. Je crois que notre maire mérite, elle aussi, des applaudissements !

Face aux acclamations, Leclerc se leva en remerciant la foule par ses gestes. Puis, lorsque le volume diminua, elle se rassit et Belfort continua.

Sébastien Belfort : Les comptes de Pedur ont été assainis, la sécurité règne sur la ville, et nous avons atteint une nouvelle étape dans la protection de l'environnement, à l'échelle de la ville. Grâce au soutien de la commune aux entreprises peduraises, beaucoup de demandeurs d'emploi ont pu enfin trouver une activité où ils peuvent s'épanouir. Mais, aussi bon que soient ces résultats, nous ne devons pas nous reposer sur nos lauriers. Il faut, au contraire, continuer sur cet élan pour parvenir à en faire toujours plus pour les habitants de la ville.

Ainsi, nous continuerons sur la voie suivie depuis plusieurs années maintenant, pour assurer à la ville un développement durable : le développement social, la protection de l'environnement et l'expansion économique génératrice d'emplois. C'est sur ces piliers que la politique municipale continuera à être érigée, si les Pedurais continuent à nous accorder la confiance qu'ils nous ont plusieurs fois réitérée.

Pendant les applaudissements de l'auditoire, Aya Leclerc prit la place de Belfort, qui resta juste à côté.

Aya Leclerc : C'est dans une semaine que vous aurez l'occasion de montrer à nouveau votre attachement aux actions que nous avons menées ensemble, avec les Pedurais, pour le bien de notre belle ville.

Quant à moi, comme vous le savez, après plusieurs mandats, j'ai décidé de laisser ma place aux autres personnes extraordinaire qui ont été impliquées avec moi pendant toutes ces années, Sébastien Belfort en premier lieu ! Pour ma part, je défendrai nos convictions à l'élection législative, qui, vous le savez, auront lieu au même moment que l'élection municipale. Cette élection sera capitale, car vous serez appelés à vous exprimer sur la voie que devra prendre, non seulement Pedur, mais le pays tout entier ! Si vous souhaitez qu'Ostaria choisisse le chemin que notre ville a emprunté avec brio, une seule liste pourra vous plaire : celle que je défendrai, aux côtés de Pauline Dunberg : Ensemble pour Ostaria !

Alors, n'oubliez pas d'aller voter pour défendre une recette qui a déjà fait ses preuves dans votre ville.

Vive Pedur, vive la République, vive Ostaria !

Après le meeting, les spectateurs furent invités à rejoindre des groupes de militants, avec notamment Leclerc et Belfort, qui se livreraient au collage d'affiches et au tractage à Pedur, pendant toute la soirée. Pour se restaurer, ces groupes mangèrent un repas convivial où les sympathisants purent parler le cœur léger pour mieux se connaître.
À la fin de la soirée, ils rentrèrent peu à peu tandis que la ville s'endormait paisiblement.


Avatar du membre
Sébastien Belfort
Messages : 7
Enregistré le : ven. 2 juil. 2021 11:34
Personnage : Secondaire

Parti politique

mar. 20 juil. 2021 22:22

Sébastien Belfort avait prévu d'organiser un ultime meeting à Pedur, pour motiver ses militants et appeler tous les Pedurais, au-delà de son camp, à le rejoindre pour le second tour.
Alors qu'un grand auditoire l'attendait, il entra sur scène en saluant la foule.


Sébastien Belfort : Merci à tous et bienvenue !

Dimanche, vous vous êtes exprimés dans les urnes, et je tiens à remercier l'ensemble des Pedurais qui ont choisi pour leur ville un destin ambitieux et clair en votant pour la liste de la majorité municipale. Nous sommes largement qualifiés pour le second tour, grâce au soutien inébranlable que vous nous accordez encore une fois !
Mais il ne faut pas se reposer sur ses lauriers ! Il faut absolument se mobiliser pour le second tour, échéance capitale où chaque vote compte !

Je lance un appel à tous les Pedurais, quel que soit leur parti, qu'ils se considèrent de droite ou de gauche, qu'ils aient voté ou non, en ce premier tour. L'élection municipale n'est pas le temps des clivages gauche-droite ; elle est le temps du rassemblement de personnes impliquées dans leur ville, portant un projet pour son développement, pour l'ensemble des habitants, et avec l'ensemble des habitants. Dimanche, il n'y aura ni gauche, ni droite. Il n'y a pas, à Pedur, d'idées de gauche ou d'idées de droite.

Non : dimanche, vous élirez ceux que vous estimerez les plus aptes à gérer votre ville, à améliorer vos conditions de vie et à faire de Pedur une ville meilleure. Contrairement à ce que certains veulent faire croire, nous ne sommes pas une liste de droite, ni une liste du centre. Nous sommes une liste de Pedurais. Une liste de rassemblement de ceux qui ont une certaine idée de Pedur, et qui ont l'audace de porter une voix forte et ambitieuse pour toujours faire de notre ville un endroit où il fait bon vivre.

Nous avons prouvé que nous en sommes capables. Nous avons relevé la tête haute tous les défis auxquels Pedur faisait face. Cela, c'est parce que nous sommes des Pedurais, que nous connaissons les Pedurais, que nous écoutons et entendons les Pedurais. Notre seule préoccupation est et sera le développement de cette perle du sud du Bacapy. Cela a marché, et cela marchera encore, car rien n'arrête ceux qui, avec une volonté rassembleuse, veulent avant tout le bien de leurs concitoyens.

Je dis cela, parce que d'autres souhaitent vous leurrer encore et encore. Ils veulent faire de cette élection municipale une élection nationale, un scrutin où vous annoncerez un soutien à tel ou tel parti, ou à telle ou telle personnalité nationale. Que penser de Julien Boulanger, cet homme qui aspire à atteindre les plus hauts sommets de l'État ? Se présenter à Pedur n'est qu'un moyen, pour lui, d'obtenir un soutien électoral. Au fond, il restera toujours les yeux rivés sur Lunont, à attendre de pouvoir obtenir la présidence de la République et de quitter cette ville. Et que penser de la liste des Écosocialistes ? Sans projet réel pour notre ville, elle s'attache à des mots creux, comme le social ou l'écologie. Mais, n'était-ce pas du social que d'agir pour mettre fin au chômage qui règnait auparavant sur Pedur, comme nous l'avons fait ? N'était-ce pas écologique de généraliser l'utilisation de sources d'énergie propre dans notre ville ? En vérité, c'est bien nous, cela a toujours été nous, les véritables défenseurs d'une politique juste et écologique, défendant l'emploi et les entreprises peduraises, pour une ville où il fait bon vivre.

Et c'est cela, le sens de notre candidature. Nous sommes fiers de Pedur. Nous n'aspirons pas à occuper les plus hautes fonctions de l'État. Comprenez-moi bien : si je le voulais, quelques coups de fil me permettraient aisément de trouver une place comme secrétaire d'État à une charge quelconque, avec un bon salaire et un bon fauteuil chauffé. Mais mon engagement, c'est Pedur ; mon ambition, c'est Pedur ; ma vie, c'est Pedur.

Il n'y a aucune hésitation à avoir : la seule liste qui fera avancer Pedur sur la voie d'un développement durable, alliant un meilleur cadre de vie, de meilleurs emplois et un meilleur environnement, la seule liste qui ne voit pas Pedur comme un moyen, mais comme une fin, c'est la liste des Fiers de Pedur ! Ce dimanche, faites entendre votre voix et choisissez la liste des Pedurais pour les Pedurais !

Il distribua de nombreuses poignées de main, puis invita l'auditoire à sortir pour des discussions autour d'un bon banquet.


Avatar du membre
Aya Leclerc
Messages : 268
Enregistré le : dim. 1 mars 2020 16:00
Personnage : Principal

Parti politique

mer. 8 sept. 2021 20:39

Aya Leclerc était revenue dans sa ville de Pedur, pour mobiliser ses troupes et convaincre les électeurs tentés par Julien Boulanger qu'elle était vraiment la mieux capable de rassembler la droite, et les Ostariens en général.

Aya Leclerc : Ah, chers amis ! Je suis heureuse d'être de retour dans ma ville ! Servir son pays est une tâche des plus nobles et merveilleuses, mais cela n'empêche pas que l'on doive regagner, de temps en temps, son chez-soi.

Mais ce n'est pas que mon chez-moi, ici, c'est aussi la ville de Julien Boulanger, maire depuis deux ans. On ne peut que regretter qu'il soit beaucoup plus actif sur la scène nationale qu'à l'échelle locale, comme si Pedur n'était, après tout, qu'un tremplin, une simple étape dans sa carrière politique. C'est pour ne pas ne me comporter de la sorte que j'ai décidé de ne pas me représenter à la dernière élection municipale, quand j'ai décidé de m'investir pleinement à l'échelle nationale.

On peut mesurer la capacité d'une personnalité politique à exercer le pouvoir au niveau national par ce qu'il est parvenu à faire au niveau local – à condition, bien sûr, qu'il ait un jour été élu local. Malheureusement, le constat que l'on peut faire de Julien Boulanger est attristant : trop préoccupé par ses ambitions personnelles, il en a oublié que sa charge était en premier lieu de gérer la ville.

L'élection municipale est un contrat entre les Pedurais et le maire élu. Les premiers confient, pour un temps, le pouvoir au deuxième, qui promet d'agir en priorité dans l'intérêt supérieur de la ville. De la même façon, l'élection présidentielle est un contrat entre les Ostariens et le président élu. Peut-on vraiment faire confiance à quelqu'un qui n'a pas su respecter le premier contrat ?

Dans le panorama de la droite, il y a aussi le président par intérim, Elias Staphenberg, qui, lui, a déjà fait ses preuves : il a prouvé qu'il n'avait en rien l'étoffe d'un homme d'État, encore moins celle d'un président. Lui qui n'avait été élu président de l'Assemblée nationale qu'à cause de querelles politiques puériles, grâce aux Écosocialistes qui voulaient à tout prix faire barrage à la candidate que je soutenais, il est devenu président de la République par accident, et n'a jamais su en assumer les charges convenablement.
En effet, peut-on accepter que, suite aux terribles évènements qui ont frappé la nation l'année dernière, les coupables n'aient pas encore été trouvés et jugés, et que des mesures fortes pour assurer la sécurité de nos concitoyens et de notre pays n'aient pas encore été prises ? Elias Staphenberg n'a rien fait pour redresser la barre ; qu'il ne s'étonne pas si, d'après tous les sondages, il arrive en dernière position parmi les candidats ne s'étant pas retirés.

Ni Julien Boulanger, ni Elias Staphenberg ne sont capables d'exercer la fonction de président de la République d'Ostaria, et ils prétendent néanmoins vouloir rassembler la droite.
Mais c'est surtout Julien Boulanger qui m'intéresse. Par son ultra-conservatisme assumé et sa volonté de rejeter toute personne n'adhérent pas à ces valeurs, son projet n'est pas le rassemblement de la droite. Il oublie tous ceux qui, bien que se considérant de droite, n'hésitent pas à adhérer à des idées de notre époque, plutôt que de rester enfermés dans une vision du monde archaïque. Il oublier que les plus grands noms de la droite, en premier lieu tous les présidents de la République de cette famille politique, Jérôme Plassel, Alexandre de Brétigny et Lucie Calenbek-Sothriopositi, ont compris l'époque dans laquelle ils vivaient, sans sombrer dans une logique consistant à ne rien changer, en essayant de garder le pays au même niveau que 50 ans auparavant. Julien Boulanger ne représente pas toute la droite ; il ne représente même pas la majorité de la droite.
Mais, plus encore, nos plus grands présidents, François Dickson et Jérôme Plassel, notamment, ne se sont jamais enfermés dans une famille politique. Ils ont toujours voulu discuter avec tout le monde et rassembler la nation, et c'est ainsi qu'ils sont parvenus aux succès exceptionnels que nous connaissons tous. Et, loin de rassembler la droite, Julien Boulanger ne pourrait que rêver de rassembler la nation.

Le jour du vote, souvenez-vous des leçons de notre histoire et demandez-vous qui, parmi les candidats présents, serait le mieux capable de rassembler la nation pour un grand projet ambitieux à la hauteur des Ostariens. Car c'est vous qui tenez entre vos mains la prochaine page de l'histoire.

Vive la République, vive Ostaria !


Avatar du membre
Isabelle Toutain
Messages : 40
Enregistré le : sam. 19 mars 2022 13:34
Personnage : Principal

Parti politique

dim. 3 avr. 2022 22:29

Image

Réunion Publique d'Isabelle Toutain - Élections Présidentielles 200

Isabelle Toutain et les responsables de l'UTAC avaient choisi de tenir leur première réunion publique de campagne à Pedur, dans la région très à gauche de Bacapy. Pas du tout intéressée par le poste de Président de la République, la formation d'extrême-gauche avait décidé de se servir de la médiatisation importante autour des élections présidentielles pour évoquer des sujets liés à l'économie et au travail, bien que ces sujets incombent au Conseil des Ministres. Le discours serait très offensif et engagé, comme avait l'habitude de le faire Isabelle Toutain depuis qu'elle était porte-parole de l'UTAC.

Chers camarades,
Travailleuses et Travailleurs,

Je vous remercie d'avoir répondu aussi massivement à notre invitation en remplissant totalement cette salle. Vous montrez, par votre présence, que les travailleuses et travailleurs de ce pays sont mobilisés à chaque échéance électorale et sont prêts à se battre pour renverser le capitalisme.

La fonction présidentielle, comme vous, vous savez qu'elle ne m'intéresse pas. Notre présence dans ce scrutin est uniquement conçue afin que nous puissions faire entendre la voix des travailleurs grâce au temps de parole et à la forte médiatisation de ces présidentielles, nous qui sommes humiliés, méprisés et usés par les hiérarques qui nous gouvernent et leurs petits copains du capital. Je ne me bats pas non plus pour être présente au second tour, je sais que ce privilège n'est réservé qu'aux fauteurs de guerre, de délocalisations, de violence sociale et économique et de plans sociaux en tous genres : en d'autres mots, les capitalistes et leurs alliés du patronat. Non, notre but est de faire entendre notre voix et de nous faire remarquer pour dire que oui, nous sommes bel et bien là et que nous n'allons pas lâcher notre combat contre le capital et la bourgeoisie.

Ce que nous défendons, nous ne nous en cachons pas, c'est un combat de classe. Nous sommes le seul parti vakéministe à militer pour le renversement du capital par les travailleuses et travailleurs. Chers camarades, je veux que cette élection présidentielle marque la reprise des luttes. Nous devons reprendre le combat non pas par les urnes, bien qu'il faille voter pour montrer notre présence, mais par la rue, par les mobilisations sociales, par les blocages d'usines et par les grèves. Il n'y a que comme ça que nous pourrons faire flancher les capitalistes. Le sort qui nous est réservé, nous le connaissons déjà : la droite néolibérale et ultra capitaliste qui sévit déjà depuis longtemps, à laquelle est d'ores et déjà promis le second tour par les médias du système.

Et nous, quelle est notre place dans ce charnier ? Celle de radicaliser nos luttes, chers camarades ! Pour l'augmentation de nos salaires à 1 800 O$tas net, pour le partage du temps de travail en instaurant la semaine de 28 heures, pour la retraite pour toutes et tous à 58 ans. Notre destin n'est pas de travailler, d'être exploités toute notre vie pour de misérables pécules. Les travailleurs de ce pays doivent reprendre le pouvoir et le contrôle des outils de production. Car oui, on peut produire sans patronat, mais certainement pas sans travailleurs. Disons aux gouvernants et aux patronats qu'ils nous pompent, et reprenons possession de notre dû !

Alors, cette petite minorité de dirigeants et de possédants va nous dire : "oui, mais ce débat sur le travail et l'économie n'a pas lieu d'être dans le cadre d'une élection présidentielle" ou encore "vous êtes utopistes, il faut travailler plus pour gagner plus pour produire plus". Leur logique est toujours la même : celle de nous user comme de vieux chiffons jusqu'à ce que nous craquions. Donc concrètement, en ce sens, nous devons militer pour un système économique débarrassé de la propriété privée, de la concurrence, de la recherche du profit individuel comme des frontières qui fragmentent la communauté humaine. Un système économique où la population peut décider collectivement de ce qu’il faut produire et comment il faut le produire pour préserver aussi bien les êtres humains que la planète.

À la différence de la répartition à laquelle procède le capitalisme de façon profondément inégale, anarchique et aveugle, une société communiste planifiera tant la distribution des biens de consommation que la production et l’exploitation des ressources. Cela impliquera donc de parvenir au meilleur équilibre possible entre les ressources humaines et naturelles dont nous disposons et les besoins essentiels de l’humanité : l'alimentation, le logement, la santé, l'éducation et j'en passe.

Alors, chers camarades, travailleuses et travailleurs, prolétaires qui êtes ce soir parmi nous, je n'ai qu'une chose à vous demander : n'abandonnons surtout pas la lutte. Nous leur faisons peur, et à raison ! C'est maintenant qu'il faut enclencher la seconde. Je compte sur vous ! Je vous remercie !


Avatar du membre
Jérôme Barnier
Député
Messages : 206
Enregistré le : sam. 14 mai 2022 21:59
Personnage : Secondaire

Parti politique

sam. 16 juil. 2022 23:15

Image
_____

Rassemblement à Pedur
Samedi 16 juillet 203


Après une campagne discrète sur le terrain et essentiellement active sur les réseaux sociaux, le Président du Parti Populaire avait voulu conclure sa campagne législative et municipale à Pedur. Malgré l’immense essor du Parti Populaire, ces élections étaient probablement un échec pour lui qui avait de très fortes chances de s’incliner dans sa circonscription contre la patronne de la FRO Marie Saez. Alors que la formation d’un petit groupe de députés PP s’annonçait, il savait qu’il allait devoir quitter ses fonctions à la tête du parti, conséquence qu’il déplorait mais à laquelle il avait déjà commencé à se faire. Pour essayer tout de même de réaliser le meilleur score possible, il avait rassemblé ses partisans à la Salle Jérôme Plassel pour son ultime rassemblement à Pedur. La foule l’accueille avec un grand enthousiasme qui amusa légèrement le candidat qui salua la foule de la main avant d’aller prendre place derrière son pupitre pour entamer son discours.

Bonsoir ! Bonsoir à tous !

Je suis extrêmement heureux de pouvoir terminer cette campagne avec vous, ici, dans cette ville de Pedur que j’espère pouvoir diriger à l’issue de ces élections. Cette ville, j’y suis né, j’y ai grandi et je serai extrêmement fier de me battre pour elle, à l’Assemblée Nationale comme au Conseil Municipal. Cette campagne aura décidément été pleine de surprise et dépasse, de loin, nos attentes initiales. Pour tout vous dire, j’espérais que nous pourrions franchir les 10%, peut être même les 11/12% si nous menions une bonne campagne. Et voilà, le dernier sondage nous a donné à 17% d’intentions de vote ! Bien sûr, ce n’est qu’un sondage. Bien sûr, l’élection se jouera demain. Mais nous nous sommes imposés dans le débat public comme une alternative possible. Demain soir, nous aurons un groupe parlementaire conséquent de patriotes prêts à défendre leur pays. Et tout cela grâce à la mobilisation de ceux qui, malgré les insultes, malgré les injures venues de tout l’échiquier politique, ont refusé de baisser la tête et ont voulu continuer à se battre pour le projet en lequel ils croyaient. Je suis immensément fier de tous les candidats et militants qui ont porté la voix du Parti Populaire dans cette campagne et qui permettront l’immense score que nous réaliserons demain. Car je le pense, nous pouvons être le premier parti de droite à l’issue de ces élections !

Et je le dis depuis Pedur, la ville de l’affrontement originel entre les frères jumeaux de la droite dite de gouvernement, mais surtout la droite de la lâcheté et de l’absence de conviction. C’est ici que Julien Boulanger et Aya Leclerc ont commencé leur affrontement politique. C’est ici que leurs deux visions de la droite, toutes deux le moins de droite possible, se sont rencontrées. Aujourd’hui, ils se partagent le pouvoir et il est grand temps que nous les en délogions. Tandis que notre Parti est en pleine dynamique, leur coalition a des résultats en chute libre. Les ostariens ont compris que pour avoir une politique de droite, une politique de sérieux budgétaire, une politique de défense de nos valeurs, une politique de lutte contre l’immigration, ils ne pouvaient pas compter sur ces partis. Et demain, c’est vous, les habitants de cette ville si symbolique qui allez infliger aux droites siamoises de Leclerc et Boulanger leur pire défaite en nous plaçant en tête dans cette circonscription.

Dans cette campagne, nous avons redonné à des millions d’ostariens la fierté d’être de droite. Car depuis des années, sous les injonctions d’une extrême-gauche moralement choquée par tout, d’une gauche moralisatrice qui n’accepte pas ceux pensant différemment, la droite a accepté de baisser la tête, de ne plus assumer ses convictions. Et c’est d’ailleurs comme ça que nous nous sommes retrouvés avec une coalition de centre-droit tout au plus composée de l’Alternative et de la LR, même pas capable d’arrêter le développement du droit à l’IVG. Nous avons dit aux ostariens de droite, laissés orphelins par ces formations qui n’assument plus leurs convictions, qu’ils n’étaient pas seuls et qu’ils ne devaient pas avoir honte d’avoir des idées et de les exprimer. Dans cette campagne, ils ont trouvé en nous leur parti et seront nombreux à venir voter pour nous demain. Demain, tous vont découvrir qu’il y a dans ce pays une droite et que cette-dernière vote ! Tout citoyen de droite doit constater que nous sommes la force en dynamique pour faire barrage à l’extrême-gauche. Tout citoyen de droite doit constater que les partis dits de gouvernement sont en plein effondrement et que nous sommes maintenant le nouveau parti fort de la droite ostarienne.

Et nous avons besoin d’une droite forte face à la menace constituée par l’extrême-gauche. Nous avons dans le cas d’en face des députés jamais sortis de Lunont comme Cécile Rossignol. Nous avons dans ce camp un parti révolutionnaire, un autre anciennement centristes, un autre fan de Julien Chastain. Et cette coalition totalement baroque, unie juste par son désir extrémiste de mettre le pays, son économie et sa sécurité à feu et à sang, est emmenée par George Édouard, le grand spécialiste du meeting-témoignage qui, à peu près à chacune de ses réunions publiques, convoque un témoin ayant un vécu une histoire dramatique que George Édouard pourra honteusement récupérer pour justifier son programme. Sauf que nous n’avons pas besoin d’un journaliste affecté à la rubrique fait divers comme Premier Ministre, nous avons besoin d’une personnalité avec du courage, de la détermination et, surtout, du leadership. Or, l’incapacité de George Édouard à se présenter dans sa propre circonscription aux élections législatives du fait de la réservation du siège par les communistes en dit très long sur son leadership. De même, son rétropédalage après avoir dit une chose intelligente, la seule dans sa campagne, sur la question de la répression pénale montre bien sa totale lâcheté et son absence totale de leadership. Enfin, son incapacité à choisir une ligne claire et fixe face au Parti Populaire montre bien son absence de cohérence et son incapacité à rester sur une même ligne pendant quelques jours de suite. Si c’est de ce personnage que vous voulez comme leader du gouvernement, comme chef de notre administration, comme représentant de notre pays, alors votez pour la coalition de gauche. Sinon, si vous voulez des personnes compétentes, déterminées, opiniâtres et avec des vraies compétences de leadership, vous avez votre place parmi nous !

Dans cette campagne, nous avons tout eu. Nous avons eu l’extrême-droite essayer de passer pour des modérés. Nous avons vu la coalition gouvernementale sortante essayer sans aucun succès de se démêler de ses propres contradictions. Nous avons vu notre Parti exploser tant il n’y a pas d’autre alternative. Ceux qui ne veulent plus d’un gouvernement qui a peut d’avoir des convictions et des valeurs et ceux qui ne veulent pas non plus que l’alternance consiste à donner les clés du pouvoir aux fans nostalgiques de Chastain ont leur place chez nous. Nous les accueillons avec plaisir pour former une nouvelle majorité et mener, enfin, une nouvelle politique !

Merci à tous ! Vive la République et, surtout, vive Ostaria !


Avatar du membre
François Pelichon
Messages : 167
Enregistré le : ven. 25 nov. 2022 19:02
Personnage : Secondaire

Parti politique

ven. 3 févr. 2023 18:18

Le député-maire de Pedur avait voulu organiser dans sa commune un grand rassemblement en faveur du non au référendum constitutionnel. Dans sa commune, il savait la majorité acquise mais espérait galvaniser les troupes pour gagner chaque voix possible. Devenu une des figures de l’ADN après avoir quitté le Parti Populaire en 207, il avait bien l’intention d’être actif dans cette campagne référendaire afin que son parti soit clairement associé à ce qu’il pensait être une inévitable victoire du camp du non. La salle de spectacle Jérôme Plassel avait été totalement remplie et quelques conseillers régionaux et municipaux de la région avaient pris la parole avant que l’édile ne soit appelé pour venir conclure la réunion. Il fut acclamé par une foule très enthousiaste qu’il salua longuement de la main avant de s’installer à son pupitre pour entamer son discours.

Bonsoir ! Bonsoir à tous !

Je suis très heureux d’être ici ce soir pour cet évènement qui montre la très franche opposition dans notre ville de Pedur au projet porté de révision constitutionnelle porté par le Président de la République et la Première Ministre. Et nous allons d’ailleurs parler un petit peu de cette-dernière, car elle aussi fait campagne et était à Illonlieu cet après-midi pour défendre l’initiative de son exécutif. Et il y a beaucoup de choses à redire sur son argumentaire.

Alors pour ceux qui ont eu la chance de ne pas s’être infligés ce discours, je vais récapituler. Alors d’abord, la Première Ministre parle de la proportionnelle que nous défendons en le décrivant comme un système ingouvernable et en critiquant notre parti qui ne pourrait pas donner de leçons de représentativité car il n’a pas reçu de sièges aux dernières élections législatives. Alors d’abord, l’ADN n’a pas reçu de sièges parce que l’UdG a trahi sa promesse de réformer le mode de scrutin et uniquement pour cette raison ! Ensuite, la proportionnelle intégrale est-elle ingouvernable ? Peut-être. Rappelons toutefois à toutes fins utiles que la numéro 2 du gouvernement, Juliette Delagins, disait que la seule réforme de mode de scrutin était vers la proportionnelle intégrale. Mais considérons cet argument pour ce qu’il est : un argument pertinent dont nous devons discuter et débattre. Et nous pourrions débattre pleinement et longuement des avantages et des défauts de la proportionnelle si le gouvernement faisait la consultation populaire qu’il a promis sur ce sujet pour pouvoir camoufler son refus total de changer le seul mode de scrutin qui lui donne d’aussi larges pouvoirs.

Ensuite, la Première Ministre critique notre opposition à certains droits qu’elle souhaite rajouter à notre Constitution. Mais elle essaie de faire croire que notre opposition porte sur l’union des personnes de même sexe et que nous souhaiterions des discriminations ou que nous souhaiterions enterrer le droit à l’avortement. Alors il va falloir le redire une énième fois. Jamais l’ADN n’a remis en cause l’union civile qui pendant 40 ans a permis un compromis idéal pour donner les mêmes droits à tous les couples au regard de la loi. Ce compromis a satisfait les partis de gauche comme de droite pendant quatre décennies, jusqu’au caprice du duo Édouard/Altmann, bien déterminé à le casser pour venir remettre du caractère institutionnel dans le mariage religieux. Le mariage même dans la loi fait débat et est bien trop clivant pour être inscrit dans notre Constitution. Ce n’est pas une question d’égalité des droits, nous n’avons jamais remis en cause le mécanisme égalitaire en place pendant quatre décennies. C’est une question d’inscrire dans notre Constitution la notion clivante de mariage quand notre loi fondamentale doit au contraire définir les valeurs et les droits qui nous rassemblent tous !

Concernant la protection de l’environnement, nous serions dans la défense de la « classe propriétaire et financière ». En fait, plus simplement, nous sommes dans la défense des droits des ostariens ! Il va de soi que par nature, défendre le doit de propriété en refusant d’y ajouter des exceptions tellement larges qu’elles pourraient permettre des atteintes au bon vouloir de n’importe quel gouvernement c’est d’abord défendre les propriétaires. Mais nous opposer à cette dérive dans le respect du droit à la propriété, c’est également nous opposer à l’ouverture d’une porte très dangereuse pour notre État de droit. Je ne veux pas d’une société avec des droits constitutionnels qui ne valent pas plus que le papier sur lesquels ils sont écrits. Je ne veux pas d’une société avec des droits constitutionnels comme le droit de propriété à la carte. Et en permettant de rendre quasiment facultatif le droit de propriété, le gouvernement ouvre une voie vers une remise en cause directe ou indirecte d’autres droits dans le futur qui toucheront alors plus largement encore que les propriétaires. Il s’agit donc autant d’un combat pour défendre les propriétaires ostariens, qui ne constituent pas une élite non plus contrairement à ce qu’on pourrait croire en entendant notre Première Ministre de gauche radicale, que pour défendre par principe des droits constitutionnels forts et pas en option pour chaque gouvernement !

Et ensuite, la Première Ministre semble déçue que nous ayons trop peu parlé du volet institutionnel de sa réforme qui consiste à limiter à deux le nombre de mandats présidentiels. Vous parlez d’une innovation ! Et surtout, vous parlez d’une urgence vu que la situation ne se présentera pas pendant au moins une décennie. Mais surtout, je ne vois pas l’intérêt de cette disposition. Un Président ne fait pas le nombre de mandats qu’il décide, il fait le nombre de mandats que le peuple lui accorde ! Si notre pays a un Président efficace qui garde la confiance populaire comme celui qui a donné son nom à cette salle, il doit pouvoir faire autant de mandats que les ostariens ne sont prêts à lui en accorder. Et au contraire, les mauvais Présidents, qui arrivent occasionnellement, seront battus et non renouvelés. Vouloir priver les ostariens de leur liberté absolue de choisir me paraît profondément inutile. Si quelqu’un fait bien son travail, garde la confiance de son employeur et atteint les objectifs qu’il a promis, nous n’envisagerions pas de le renvoyer dans la vie de tous les jours. Ça vaut aussi pour la Présidence.

Enfin, la Première Ministre nous reproche d’ignorer le volet international de sa réforme qu’elle juge essentiel pour la mise en conformité de notre pays avec le droit international. Je vais vous surprendre, elle a peut-être raison. Certaines dispositions constitutionnelles constituent sans doute un frein à la pleine participation de notre pays dans le concert des nations et c’est sans doute un sujet sur lequel nous devons travailler. Mais quand bien même cette révision solutionnerait le problème, ce dont je ne suis pas du tout convaincu, nous ne pouvons pas accepter tous ses autres défauts et clivages juste pour régler ce problème. Si le gouvernement estimait cette réforme internationale essentielle, il pouvait en présenter une sur ce thème unique. Mais si vous ajoutez de mauvaises décisions institutionnelles, l’insertion de clivages partisans dans la Constitution et la remise en cause du droit de propriété, vous ne pouvez pas nous attendre à ce que nous vous regardions faire au prétexte que vous avez prévu quelque chose pour le droit international !

Alors non, Madame Altmann, nous ne sommes ni dans les faux semblants, ni dans les mensonges. Nous sommes dans le combat politique en faisant notre possible pour faire battre cette réforme constitutionnelle globalement néfaste pour le pays. Nous allons nous battre jusqu’au bout pour que ce projet échoue et que, enfin, le gouvernement et le Président comprennent qu’ils n’ont pas la majorité de l’opinion avec eux et qu’ils ne doivent leur pouvoir aussi vaste à leur refus de travailler sérieusement à l’établissement d’un mode de scrutin démocratique pour les élections législatives.

Alors le 5 février, je voterai non et je suis très optimiste sur le fait que nous serons une majorité d’ostariens dans ce cas !

Merci à tous ! Vive la République ! Et vive Ostaria !


Le député-maire fut une nouvelle fois acclamé avec vigueur par ses sympathisants et alla très vite à la rencontre de nombreux membres du public devant la scène, enchaînant selfies et poignées de mains.

Avatar du membre
Damien Dumont
Député
Messages : 92
Enregistré le : lun. 20 juin 2022 00:47
Personnage : Secondaire

Parti politique

ven. 2 févr. 2024 09:36

Damien Dumont voulait commencer cette nouvelle campagne dans un des fiefs de la droite nationale, Pedur. L’objectif de l’ADN dans cette élection était de faire démentir les sondages qui semblaient tendre vers une perte de vitesse du premier parti de l’Assemblée Nationale. Pour se faire, Dumont voulait mobiliser l’électorat de son parti afin de réunir suffisamment de suffrages pour dépasser le centre puis la gauche.

C’est donc dans la salle de spectacle Jérôme Plassel que le meeting aurait lieu. Dumont était entouré de certains élus du parti comme Achille Durant ou encore Marie-Claire d'Esquincourt, candidate à Dusaux, venue assister à l’organisation d’un meeting afin de prendre exemple pour sa propre campagne. La salle fut rapidement pleine, les militants et sympathisants de l’ADN ayant été prévenue à l’avance via de nombreux tractages dans la ville et ses alentours et par l’envoie de mails et de lettres.

Entrant sur scène sous les applaudissements de la foule, Dumont afficha un large sourire et salua les personnes présentes. Face à lui, de nombreux drapeaux ostariens et des jeunes, au premier plan, arborant casquettes et t-shirts aux couleurs de la campagne de l’ADN.


Damien Dumont : Bonjour Pedur !

Je suis très heureux d’être ici aujourd’hui dans cette magnifique ville avec vous et je ne peux faire autrement que de prendre quelques minutes pour rendre hommage à celui qui fut maire de cette ville et qui créa notre mouvement politique. Cette personne c’est julien Boulanger. Son engagement politique et sa carrière fut et reste un exemple pour tous ceux qui comme moi on décidé de s’engager pleinement en politique pour servir Ostaria et ses valeurs. Alors je vous demande que nous entonnions l’hymne de notre nation pour que, de la ou il est, il est la certitude que son héritage vit encore à travers nous tous.


Dumont et les personnes présentes chantèrent alors “Entendez-vous ce tonnerre”. Après qu’ils aient fini, un tonnerre d’applaudissement se fit entendre.

Damien Dumont : Maintenant que nous avons fait notre devoir de citoyens et de militants de la cause nationale, nous devons nous recentrer sur ce pour quoi nous sommes réunis aujourd’hui, c'est-à-dire la victoire de la droite nationale ! Cela fait trop longtemps maintenant que notre pays est dirigé par une gauche socialiste incapable de voir les méfaits de sa politique immigrationiste qui délaisse les citoyens ostariens au profit des étrangers toujours plus nombreux. Regardons les faits, aucune politique de préférence nationale, aucune politique de contrôle aux frontières, aucune politique d'expulsion des immigrés illégaux. La politique de la gauche au pouvoir c’est d’abord celle de la préférence étrangère.

Et cette politique de préférence étrangère est défendue aussi par le Parti Populaire qui se prétend du côté du peuple mais dont, je le rappelle, la cheffe madame Valentine Miron et 6 autres de ses collègues n’ont même pas eu le courage politique de voter contre la confiance au gouvernement Delagin. Ce manque de courage politique est à coupler avec de nombreux votes visant à préférer la gauche plutôt que la droite nationale, le vote en faveur de Michelle Laforge en est un exemple frappant. Alors ces élections permettront aussi au peuple de droite de faire passer un message aux partis qui ne défendent qu’eux même en dépit de leurs électeurs. Je pose également la question simple qui est celle de savoir à quoi sert le Parti Populaire ? La réponse la plus juste à l’heure actuelle est que ce parti ne sert que les intérêts de ses cadres qui cherchent à vivre sur une rente électorale. Si je devais être plus piquant encore je dirais aussi que ce parti n’a de réelles réussites que dans l’art subtile de la trahison en faveur de la gauche et toujours en défaveur du peuple.

L’Alliance de la Droite Nationale se place toujours en défenseur du peuple qui souffre de cette immigration massive. Dans les majorités auxquelles nous avons appartenus nous avons toujours refusé une quelconque loi visant à favoriser l’immigration de masse sur notre territoire. Désormais, il nous faudra une majorité solide de droite afin d’imposer une loi qui puisse rompre avec la politique en place depuis 8 ans qui est celle des portes ouvertes. Une politique anti-immigration qui soit forte, réalisable et rapide dans sa mise en œuvre. Il ne s’agira pas d’un rafistollage mais bien d’une réforme en profondeur pour changer durablement les règles du jeu s’agissant de l’immigration. Aujourd’hui plus que jamais nous pouvons parvenir à former cette coalition mais pour cela l’ADN se doit d’être la force motrice et donc majoritaire et nous ne pouvons y parvenir sans vous et votre soutien dans les urnes mais aussi par les tractages, par les collages et par toutes les actions militantes dont vous êtes capable.

Nos objectifs en matière de lutte contre l’immigration sont clairs, il s’agira de toujours prioriser les intérêts supérieurs de la nation. Et pour y parvenir, il faudra briser les législations immigrationnistes et instaurer la priorité nationale à l’emploi. Pour se faire il faudra supprimer et remplacer l’article 1230-2 du code du travail qui prévoyait que justement aucune discrimination sur la base de la nationalité ne puisse avoir lieu. Mais sous-couvert de lutte contre les discriminations, l’objectif de cet article est ni plus ni moins que d’encourager une immigration de travail afin de faire peser à la baisse les salaires au détriment du peuple ostarien. A l’ADN nous osons dire que nous n’avons pas besoin de faire importer des travailleurs bon marché sur notre sol, nous avons une main d'œuvre qualifiée et nombreuse déjà présente et celle-ci à l’avantage incontestable d’être de nationalité ostarienne !

Mais il faudra également avoir une politique ferme vis à vis de l’immigration illégale et clandestine qui ronge notre pays. Pour se faire il n’y a pas de secret, il faudra procéder à l’expulsion automatique des étrangers en situation irrégulière présents sur notre territoire. Ostaria n’est pas un État failli, nous avons des règles juridique qui encadre l’immigration et il est parfaitement possible pour un étranger de se rendre sur notre territoire via des procédures. La logique veut que si un inconnu entre dans votre maison vous allez tout faire pour le faire partir, et bien cette logique s’applique aussi à notre pays. Si des étrangers veulent rentrer, ils doivent y être autorisés. Pour faciliter le retour au pays des immigrés clandestins présents sur notre sol, nous inciterons les citoyens ostariens à dénoncer les personnes qui se trouveraient illégalement sur notre sol aux forces de l’ordre et à la justice. Cette dénonciation sera accompagnée d’une récompense pécuniaire que nous fixerons par décret. Cela permettra de faciliter la tâche de la police nationale, les cas seront traités plus rapidement et les clandestins seront expulsés dans les délais les plus brefs.

Cette volonté de notre part de traiter ces cas rapidement n’est pas simplement une volonté zélé de notre part de faire appliquer la loi. En réalité, nous voulons aussi assurer la sécurité de nos concitoyens. Il serait mentir de dire que l’immigration illégale n’a aucun lien avec l’insécurité sur notre territoire. Ces deux données sont étroitement liées, nous n’avons pas les mêmes mœurs, les mêmes traditions, la même langue et les mêmes manières de vivre. Ainsi, cette différence crée de graves problèmes et mène bien souvent à des agressions de la part des immigrés contre les nationaux que nous sommes. Ainsi, pour les étrangers coupables de crime et de délit nous continuerons de les juger en ostaria pour qu'ils soient punies par nos lois. Mais nous ouvrirons des prisons à l’étranger afin qu’ils y soient incarcérés. Nous ne voulons pas de ces personnes sur notre sol. Pour le cas des bi-nationaux qui commettraient des crimes la réponse sera claire et ferme, nous retirerons leur nationalité ostarienne. Être ostarien cela se mérite ou s’hérite, mais si on s’en trouve indigne et que la possibilité de retirer la nationalité sans pour autant faire du criminel un apatride alors nous devons saisir cette opportunité pour sévir.

Enfin s’agissant de la loi pour l'accompagnement des mineurs étrangers nous la conserverons dans les grandes lignes, nous ne pouvons nous permettre de mettre en danger des enfants qui pourraient être aidés par l’État. Cependant nous ne protégerons que les mineurs et pas les faux mineurs comme il y en a beaucoup sur notre sol. Ainsi, nous conditionneroons les avantages de cette loi à un test osseux qui nous donnera l’âge de la personne avec exactitude. En évitant ainsi les fraudes nous permettront de mieux encadrer notre politique sur l’immigration. Et pour les fraudeurs j’ai un message clair celui que si nous élus alors ils ne passeront pas inaperçus, ils seront renvoyés immédiatement dans leurs pays sans aucun délai. On ne défie pas les lois de la république sans conséquence.

J’aimerais dire quelques mots aussi de la politique municipale que nous pouvons mener s’agissant de l’immigration. Les maires doivent pouvoir choisir la politique de la ville qu’ils souhaitent, l’État n’a pas à distribuer, sans contre-pouvoir, les migrants dans les villes. Ainsi, nous proposons que les maires puissent mettre leur véto contre l’installation de centre de migrants dans leurs villes, la gauche souhaite accueillir plus d’étrangers alors ils doivent en assumer les conséquences. Mais les électeurs de droite n'ont pas à subir l’installation de migrants à côté de chez eux alors qu’ils s’opposent majoritairement à cette politique d’installation. Les maires ADN qui seront élus vous protégeront par le refus de construction de logement destiné à des immigrés, nous protégerons nos villes et nos campagnes de la submersion migratoire. Les gauchistes et socialistes veulent des migrants ? Alors qu’ils les hébergent dans leurs villes et mieux encore dans leurs maisons !

Alors comme vous le voyez, il n’y a pas de doute sur notre détermination à mener une politique nouvelle sur la question de l’immigration. Il n’y a pas de doute non plus quant à notre volonté de mettre fin à l’immigration massive et aux laxismes judiciaires qui ont trop duré. Mais pour se faire nous aurons besoin des voix de tous les patriotes, de toutes les personnes qui pensent que notre nation peut encore être sauvée de ces flux d’immigration. Aujourd’hui notre liste incarne le renouveau, aujourd’hui et avec vous nous sortirons Ostaria du socialisme et de la préférence étrangère !

Vive la République et vive Ostaria !

Répondre

Retourner vers « Pedur »

  • Informations
  • Qui est en ligne

    Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité