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Dépêches - Articles - Constitution - Journal Officiel - Commission Électorale

Marché de Pedur

Ville IRL : Perpignan
Population : 146 496 hab.

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Sébastien Belfort
Messages : 7
Enregistré le : ven. 2 juil. 2021 11:34
Personnage : Secondaire

Parti politique

sam. 17 juil. 2021 14:41

En ce dernier jour de campagne, Sébastien Belfort sillonnait le marché de Pedur, dans le but de rencontrer les habitants et de les convaincre de voter – de voter pour lui, naturellement. Il mit son bilan en avant, s'inscrivant dans la continuité d'Aya Leclerc, encore maire de Pedur pour quelques jours. Il était capital, pour lui, de rassembler au-delà de son camp politique naturel, à droite comme à gauche, en se basant sur des préoccupations municipales, plutôt que nationales. À cette occasion, il put répondre à plusieurs questions de Pedurais qui passaient dans le marché.

Ginette Trottinette : C'est bien gentil, ces élections, mais, au fond, qu'est-ce que la mairie fait pour nous ?

Sébastien Belfort : Je comprends tout à fait votre ressenti, madame. Il est vrai que, souvent, en Ostaria, on ne voit pas très bien ce qui relève de la commune, de la région ou de l'État, ou même d'une entreprise quelconque. Ces dernières années, nous avons notamment aménagé le Parc du Soleil. Vous y avez déjà été ? Oui ? Eh bien, c'est un projet sur lequel je me suis beaucoup impliqué. Nous avons aussi construit les logements sociaux des Chênes Verdoyants, et rénové le Musée de la Marine. Nous nous occupons aussi de l'aménagement des routes et de la gestion des écoles primaires. À ce propos, avez-vous des enfants ? Non ? Quoi qu'il en soit, nous avons ouvert plusieurs classes dans nos écoles, pour permettre aux enseignants de mieux se concentrer sur les particularités de chaque élève.

Tout cela, d'ailleurs, nous l'avons fait sans augmentation d'impôts, grâce à une meilleure gestion des dépenses, et un soutien des entreprises peduraises. Nous avons favorisé les productions locales, dans une optique à la fois écologique et économique, qui a profité à toute la ville.

Cela dit, je suis tout à fait d'accord avec votre constat, et l'un de mes engagements sera de rendre le conseil municipal plus transparent, en permettant à tous les Pedurais d'assister aux conseils municipaux – soit en personne, soit sur Internet –, et en proposant, à chaque fois, un compte-rendu des sujets qui auront été discutés et des décisions qui auront été prises.

Voilà, j'espère que j'ai pu vous faire sentir un peu mieux ce qui se cache derrière tout ça.

Arnaud Malraux : Et, finalement, votre projet, c'est quoi ? C'est quoi, la différence entre vous et Boulanger, et l'autre, là, j'ai oublié son nom, la gauchiste ?

Sébastien Belfort : Une question tout à fait pertinente. Je vais me concentrer sur les propositions phares.
D'abord, nous profiterons des rentrées d'argent de la commune – grâce à notre action en faveur de l'économie peduraise de ces dernières années – pour diminuer la taxe d'habitation qui pèse sur l'ensemble des Pedurais. Ensuite, nous comptons mettre l'accent sur la protection de l'environnement, en investissant dans l'isolation de plusieurs bâtiments municipaux – je pense notamment à la bibliothèque Marlène Gédaut, qui commence à se faire un peu vieille. Enfin, nous travaillerons en collaboration avec les communes voisines pour étendre les lignes de bus peduraises, et mieux desservir la banlieue. Vous pouvez retrouver tout notre projet sur le site fiersdepedur.os. "Fiers" au pluriel.

Surtout, ce qui fait notre différence avec les autres candidats, c'est notre expérience et notre connaissance des enjeux, démontrés par nos réussites jusque là, en termes d'économies de la ville, mais aussi de protection de l'environnement, d'accompagnement des demandeurs d'emploi pour réduire le chômage, ou de logement pour que personne ne soit laissé sur le carreau. Ce qui fait notre force, c'est notre bilan très positif et un projet clair.

Simon Clampion : J'ai entendu dire que vous ne ferez pas d'alliance au second tour. Vous risqueriez la défaite ?

Sébastien Belfort : Nous ne comptons pas perdre, et cela n'arrivera pas si, comme je n'en doute pas, les Pedurais nous réitèrent leur soutien demain.
En effet, nous ne ferons pas d'alliance au second tour, parce que nous voulons être clairs sur notre projet pour la ville. Nos adversaires ont beau chercher la miette à critiquer, mais ils ne disposent pas de réel projet ambitieux pour notre ville. Julien Boulanger passe plus de temps à parler de politique nationale, avec son ambition consistant à devenir Premier Ministre, que d'idées pour Pedur. Quant à la tête de liste des Écosocialistes, eh bien … le monsieur avec lequel j'ai parlé juste avant l'a très bien résumé : "j'ai oublié son nom". Je pense qu'elle devrait s'impliquer beaucoup plus dans sa ville avant de songer à devenir maire.

Cela dit, nous avons toujours été très disposés à travailler en collaboration avec l'ensemble du conseil municipal. Cela a parfois été fait, et je m'en réjouis. Parfois, les autres groupes au conseil municipal ont décidé de se murer dans une opposition coûte que coûte, plutôt que de marcher avec nous de façon constructive, malgré des divergences certaines, pour bâtir une meilleure ville. Nous travaillerons avec tout le monde, mais il n'est pas question de voler l'élection aux Pedurais en trafiquant leurs choix. Au second tour, si vous souhaitez défendre une vision ambitieuse de Pedur qui a fait ses preuves, vous ne serez pas obligés, et heureusement, à voter pour une liste contenant des personnalités telles que Boulanger ou la tête de liste des Écosocialistes.

Il ne faut pas oublier que, à cette élection, les étiquettes n'ont que peu d'importance. Pour Pedur, il n'y a pas d'idées de droite ou de gauche. Il y a des idées bonnes ou mauvaises, qui développent Pedur ou la font mourir. Je crois que nous avons fait nos preuves, et que nous avons montré que notre action, comme cela a toujours été le cas, sera toujours guidée par l'intérêt de Pedur. Je m'engage à m'y consacrer de toutes mes forces.


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Marcel Piniolle
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Enregistré le : jeu. 8 juil. 2021 14:55
Personnage : Principal

Parti politique

ven. 3 sept. 2021 18:58

Marcel Piniolle et ses équipes de campagne avaient repris du service après leur score surprise de 2,14% aux élections législatives et de 7,04% dans la ville de Londal. Ces deux scores imposant pour une nouvelle formation politique était le signal qu'une place dans l'échiquier politique existait pour Marcel Piniolle et ces soutiens. Aujourd'hui candidat à la présidentielle alors que personne ne l'aurait pensé capable de réunir assez de parrainages il choisit de lancer sa campagne dans une ville qui avait presque fait passer la liste de la Ligue Patriote au-dessus des 5% et qui plus est était la ville de Madame Leclerc, le bouc émissaire favoris de Marcel. Il décida donc d'aller sur le marché de la ville afin de distribuer des tracts avec des militants de la section locale et de discuter avec les habitants de la ville de Pedur.

Un bougnoul (en vrai il s'appelle Mohammed) : Bonjour Monsieur Piniolle, pourquoi vous aimez pas les étrangers ?

Marcel Piniolle : Bonjour, je trouve votre question à la fois très intéressante, mais en même temps tellement triste. Votre question est le résultat d'un système médiatique comme politique corrompu par des gens comme votre maire Madame Leclerc. La haine de l'étranger ne vient en aucun cas de moi, car j'aime profondément l'ensemble des Ostariens et des Ostariennes. La diversité culturelle est une chance, oui, je pense que c'est une chance pour notre pays. Mais celle-ci ne doit pas se faire via un tsunami migratoire totalement incontrôlé. Et sur ce point, je pense que nous pourrons être d'accord. Il faut que nous adaptions notre capacité d'accueil au nombre de migrants qui rentrent dans notre pays pour leur garantir une bien meilleure intégration dans notre société. Il n'est que fantasme gauchiste de croire que ce tsunami migratoire est bénéfique pour eux comme pour nous. Alors non monsieur, je ne suis pas une personne qui n'aime pas les étrangers. Je suis seulement un homme convaincu que ce n'est pas en faisant du grand n'importe quoi que nous pourrons réussir à construire une société unie autour de valeur commune. C'est tout le sens du moratoire sur l'immigration que je propose tout comme la fixation d'un seuil migratoire de 10 000 migrants lors de la première année de mon mandat. Je laisserais ensuite la liberté au parlement de définir ce chiffre.

Béatrice : Bonjour Monsieur Piniolle, j'ai votée pour la liste de la Ligue Républicaine car je pense qu'elle avait plus de chance que vous de gagner. mais en réalité, je suis totalement d'accord avec vous sur beaucoup de sujet notamment l'immigration. Qu'est-ce qui vous différencie de Monsieur Boulanger ?

Marcel Piniolle : Je comprends que voter pour une toute nouvelle formation politique peut sembler inutile, car elle n'aura aucune chance de remporter l'élection. Mais cette réflexion est fausse. Nos scores le démontrent partout à travers le pays. Qui aurait imaginé nous voir faire 2,14% aux législatives et 7,04% aux élections municipales de Londal ? Très honnêtement personne. Mais pour en revenir à votre question. Nous sommes avec Monsieur Boulanger deux hommes aux idées proches sur le papier, mais avec des méthodes d'actions radicalement différentes. Monsieur Boulanger parle depuis des décennies, mais n'agit pas quand moi, j'ai prouvé en un seul mandat que quand je dis, je fais. Je suis le seul homme qui tient ses promesses et respecte mes électeurs. Je dis ce que je pense et vous n'entendrez pas sortir de ma bouche une chose que je ne pense pas. Ma franchise et mon sens du respect de la parole donnée font là toute la différence entre Monsieur Boulanger et moi-même.

Brice (De Nice) : Bonjour Monsieur Piniolle, je voudrais savoir ce que vous pensez de la polémique concernant le nom d'une école à Launeuve ?

Marcel Piniolle : Comme vous devez, vous en doutez, je suis absolument contre le fait d'appeler une école de la République par le nom d'un des hommes qui a torpillé notre république et ses valeurs. Comment Monsieur Staphenberg ou bien l'inconnue de la gauche peuvent proposer de laisser faire les institutions locales ? Monsieur Chastain n'est qu'un criminel communiste reconnu par la justice qui a ensuite fui telle un lâche. Quelle image allons-nous donner à ces enfants des valeurs de la République ? Il n'y a rien de plus scandaleux que faire cela et j'invite d'ailleurs la majorité de gaucho communiste à démissionner. Cet acte est à la hauteur du crime de haute trahison envers notre République et les victimes de la folie de Monsieur Chastain.

Après avoir continué d'échanger avec des nombreux habitants de la ville de Pedur, Marcel et son équipe quitta les lieux afin de poursuivre la campagne.

Marcel Piniolle
Président et fondateur de la Ligue Patriote

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Sacha Guérin
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Parti politique

sam. 26 févr. 2022 02:06

[EL : 199]

Sur le marché de Pedur, Sacha Guérin venait encore trifouiller les fruits et légumes, les viandes et les jus de pommes des artisans, mais surtout il venait voir les stands des militants et militantes des associations caritatives et humanitaires. Il serra bien des mains avant de commencer à dialoguer avec tous les acteurs présents, principalement des activistes qui se battent pour les droits des réfugiés, les droits des minorités, les droits des plus faibles. Beaucoup parlent des craintes qu'ils ont au regard des programmes de bon nombre de candidats ou quand ils voient les chiffres qui ne sont pas vraiment réjouissants. Sacha les écouta parler de leurs problèmes mais aussi de leurs joies, de leur espoir et de leurs activités.

Sacha Guérin : Je vous ai écouté et j'en ai appris un peu plus sur ce que vous accomplissez chaque jour. C'est très important de vous avoir dans notre pays pour défendre celles et ceux qui n'ont pas toujours les moyens de le faire eux-mêmes. Je pense notamment aux réfugiés qui n'ont pas encore la citoyenneté, je pense également à ces citoyens qui ont obtenu la nationalité récemment et que d'aucuns voudraient priver de sécurité sociale. Je l'affirme : il n'y a qu'une seule citoyenneté et elle défend l'individu dans toute sa condition. Au de-là même, quiconque est sur notre sol possède des droits inaliénables. Ce que je veux c'est étendre les droits et protections sociales des citoyens à tous les humains sur notre territoire. Que chacun soit un peu citoyen, qui qu'on soit. Par ailleurs, celles et ceux qui auront la nationalité, qu'importe depuis quand, jouiront de tous les droits citoyens. C'est effarant de devoir le dire ! Mais il y en a qui veulent que les personnes ayant acquis leur citoyenneté devraient attendre des années avant de pouvoir jouir de droits sociaux ou travailler un temps pour être pleinement citoyen. Il n'y a aucun citoyen de papier, aux réfugiés qui veulent la nationalité : bienvenue à la maison ! Voilà quatre mots pour faire une politique migratoire. Il faut protéger ceux-là et celles-là qui parfois fuient les violences contre leur être, à ceux-là nous ajoutons : bienvenue dans ta nouvelle famille ! Voilà cinq mots pour faire une politique de citoyenneté qui protège et qui rassemble, qu'importe votre origine, votre sexualité, votre religion, votre genre, votre couleur de peau. Une citoyenneté fraternelle et humaine, voilà notre projet pour vous !


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Marcel Piniolle
Messages : 132
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Parti politique

mar. 12 juil. 2022 11:49

Marcel Piniolle avait décider de sortir de son long silence médiatique et politique hier après-midi en prononçant un discours à Illonlieu. Face aux sondages donnant une avancée spectaculaire du Parti Populaire au niveau local comme national, Marcel ce devait de répondre présent pour poursuivre la lutte. Il avait donc choisie de ce rendre dans la ville de Pedur. Symbole de la droite patriote au milieu de cette région de gauchiste. Symbole également de la Ligue Républicaine dans la région qui tient l’exécutif municipale. Marcel Piniolle et les militants du Parti Populaire c'était donc donner rendez-vous sur le marché de Pedur tract en faveur de Barnier sous le bras pour soutenir le candidat. Il salua chaque passants plutôt enthousiaste de le voir de retour. Aux détours des étales, certains passants n'avaient pas leur langue dans leur poche et était bien décider à ce faire entendre.

Caroline : Bonjour Monsieur Piniolle, je contente de vous revoir en politique pour soutenir les nouvelles figures du Parti Populaire. Je suis infirmière à l'hôpital de Pedur. J'aime mon métier mais aujourd'hui je réfléchie à rendre ma blouse. Entre les heures supplémentaires non rémunérés et le manque de personnel on arrive plus à travailler correctement. Qu'est-ce que le Parti Populaire propose pour les infirmières et plus largement dans le domaine de la santé ?

Bonjour Madame, votre question est tout à fait légitime. Vous savez, déplacement après déplacement j’entends notre personnel hospitalier tirer la sonnette d'alarme sur leurs conditions de travail et le niveau de leur rémunération. Le Parti Populaire a toujours été clair dans sa démarche dans le domaine de la santé. Notre pays doit retrouver sa souveraineté dans le domaine médical pour faire face à toute éventuelle crise sanitaire et ne plus dépendre des grandes puissances qui nous prennent en otage.

Pour les infirmières et tout le personnel hospitalier en général, je voudrais leur témoigner tout mon respect et mes remerciements pour leur travaille chaque jour au service de la population. Mes aujourd'hui il est comme une évidence que les petites tapent sur l'épaule et les remerciements ne servent pas à la fin du mois à remplir le cadis de course, à payer le loyer ou les factures. La reconnaissance du travail par les remerciements est une chose importante mais ne suffit plus. Le remerciement doit également être financier. Cela passe en tout premier lieu par une revalorisation des salaires de l'ensemble des personnels hospitalier. Nos infirmières et aides soignantes en particulier sont aujourd'hui sous payer pour leur travail et les efforts qu'elles font. Plus largement, cette revalorisation des salaires permettra de rendre à nouveau ce domaine d'activité attractif pour nos jeunes qui désertent de plus en plus les facultés du domaine de la santé.

Mais au delà d'une revalorisation des salaires l'Etat doit valoriser les soignants qui font des heures supplémentaires en payant toutes les heures supplémentaires effectuées et non récupérer. Cette mesure est simple et coule de sens et pourtant les gouvernements aussi bien d'ultra gauche que de droite molle comme nous avons aujourd'hui ne l'a fait. Mais cette solution doit s'accompagner d'un grand plan de communication et de revalorisation des métiers de la santé auprès des jeunes. Nous devons recruter de nouveaux soignants partout dans le pays pour cesser d'épuiser les femmes et les hommes comme vous qui après des années de carrière et d'amour pour leur emploi sont contraint de le quitter car ils n'en peuvent plus.

Caroline remercia Marcel pour sa réponse plus que complète sur sa question et demanda un selfie avec Marcel avant que celui-ci ne retourne dans les allées du marché à la rencontre des habitants.

Gérald : Bonjour Monsieur, je suis maire d'un petit village en banlieue de Pedur. Notre école de village risque de fermer lors de la rentrée de l'année prochaine obligeant les élèves à faire 1 heure de bus scolaire chaque jour aller - retour. Cette fermeture est inenvisageable pour les parents d'élèves et pour la mairie. Pourtant, nous n'avons pas l'impression d'être entendu par les dirigeants. La ruralité n'existe plus et nous sommes devenus des oubliés pour les politiciens. Que feriez-vous pour nous si vous étiez au pouvoir.

Bonjour Monsieur, tout d'abord félicitation à vous d'être Maire de votre village et d'avoir fait le déplacement jusqu'ici aujourd'hui. Vous savez, la ruralité est un sujet sur lequel j'attache une très forte importance car nous ne devons pas oublier toute cette agriculture qui est l'une des plus belles richesses de notre pays. Pour en revenir à votre problème, je pense qu'il est temps d'associer systématiquement les élus territoriaux à l’élaboration de la carte scolaire et à la gestion des établissements, y compris en cas de fermeture de classe et inciter les élus locaux à expérimenter des politiques publiques de plus grande mixité sociale. Cette plus grande incitation nous permettrait de renforcer les pouvoirs des élus locaux comme vous pour justement empêcher les fermetures d'écoles pourtant vitales à l'éducation des enfants résidant dans le village.

Mais l'autre problème viens aussi du fait que les jeunes enseignants ne veulent plus aller dans les territoires d'éducation prioritaire ou bien dans les territoires ruraux. Dommage pour eux ! Ces deux options offrent des perspectives très intéressantes et des expériences de vie particulière. Nous ne pouvons pas les obliger à venir dans ces écoles si ces jeunes n'en veulent pas. Nous devons donc trouver un moyen autre de répondre à ces besoins autrement qu'en fermant des classes comme celle de votre village. Il faut donc revaloriser ces secteurs en proposant des contrats de mission à durée déterminée aux enseignants pour qu’ils s’engagent dans une zone géographique prioritaire ou rurale ou encore en vue d’une tâche spécifique en contrepartie d’une meilleure rémunération.

Gérald remercia Marcel pour sa réponse. Avant de partir, Marcel souhaita bonne chance à Gérald pour sa ré-élection dans son village.

Valérie : J'ai 59 ans et dans quelques années je serais à la retraite. L'usine dans laquelle je travaillait depuis presque 35 ans à délocaliser à l'étranger pour réduire les coûts de production et je me retrouve aujourd'hui au chômage. Depuis des semaines je cherche un emploi mais les réponses sont toujours les mêmes, je suis trop âgée. Être sénior et demandeur d'emploi est un parcours du combattant. Que proposez-vous pour les séniors en recherche d'emplois ?

Bonjour Madame, je suis désolé d'apprendre que l'usine dans laquelle vous travaillez depuis des années est décider de délocaliser. Ceci n'est qu'un échec de plus de la politique de l'immobilisme opérer par la Ligue Républicaine au gouvernement. L'employabilité des séniors à toujours été un gros problème dans notre société. C'est un phénomène récurent que la gauche comme la droite n'a jamais su résoudre et pour cause ils n'ont résolus aucun problèmes en des décennies de pouvoir.

Le Parti Populaire est le seul parti qui défend les séniors et les retraités en protégeant leur pouvoir d'achat. Nous proposons d'instaurer un contrat « travailleurs séniors » exonéré de charges sociales pendant deux ans pour l’entreprise et des contrats de mission de service public pour les plus de 55 ans dans les secteurs en tension. Je pense notamment au secteur de l'industrie que ces contrats pourraient être une aubaine économique et humaine pour les chefs d'entreprises concerner par ces secteurs en tensions. Mais pour mettre en place ces contrats de travailleurs séniors nous devons fournir aux agences pour l'emploi les moyens de créer un lien entre les séniors et les entreprises en besoin. Nous devons donc créer des unités de Pôle-emploi spécifiquement dédiées au recrutement des travailleurs séniors.

Mais outre le fait de rendre attractif les séniors sur le marché de l'emploi je pense également que l’État doit aussi apprendre à rendre de nouveau attractif les retraiter ayant besoin d'un complément de revenus en plus de leur pension de retraite. Ces contrats de travail doivent être encourager par des baisses de charge pour les entreprises. Cette main d’œuvre est expérimentée et plein de compétence et mérite un coup de pouce de l'Etat pour vivre une retraite digne et heureuse.

Valérie remercia Marcel avant que toute l'équipe du Parti Populaire quitte le marché de Pedur pour aller ce restaurer dans un restaurant au bord du canal de la ville.

Marcel Piniolle
Président et fondateur de la Ligue Patriote

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Hamza Moudden
Député
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Enregistré le : mer. 24 janv. 2024 10:19
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sam. 3 févr. 2024 12:14

Hamza Moudden était un sombre inconnu pour les habitants de Pedur. Il avait donc décidé d’initier une petite session de tractage sur le marché de la ville afin de mieux se faire connaître de la population ainsi que répondre à ces questions. La ville de Pedur était une ville potentiellement gagnable par le Parti Populaire comme cela avait pu être le cas. Toutes les forces du parti devaient donc se concentrer sur la ville.

François Polochon : Bonjour Monsieur Moudden, j’ai toujours été un électeur conservateur. J’ai voté pour l’ADN lors de ces dernières années même si dans le passé je votais pour le Parti Populaire de Monsieur Zimmerman. C’était un homme très critiqué mais c’était un vrai chef de file. Aujourd’hui, vous avez Madame Miron qui semble réussir à reprendre ce rôle de cheffe. Mais au final l’ADN et le PP proposent les mêmes choses sur l’immigration donc pourquoi revenir vers vous ?

Hamza Moudden : Bonjour Monsieur, tout d’abord je voudrais dire que je partage complètement votre point de vue. Monsieur Zimmerman a parfois eu des propos chocs et des propositions radicales. Néanmoins il demeure l’une des figures de notre mouvement et sa retraite de la politique a laissé un immense vide dans notre mouvement dans le cœur des militants comme moi. Nous nous sommes longtemps cherché un nouveau chef. Aujourd’hui, il est certain que Madame Miron est la personne qu’il nous faut. Charisme, droiture et détermination. Elle possède toutes les qualités nécessaires pour mener notre parti vers de grands succès électoraux et elle nous l’a déjà prouvé lors de ces dernières années en faisant revivre notre parti de 4,5% à plus de 9% aujourd’hui.

Je pense que cette renaissance est aussi spectaculaire parce que les militants du Parti Populaire sont partis à l’ADN lorsque nous n’avions plus de chef on constater et on vu que nous n’avons jamais changer nos idées et notre façon de parler durant toutes ces années difficiles pour notre mouvement. Nous avons toujours dresser le même constat et apporter les mêmes solutions. Aujourd’hui ces électeurs comme vous reviennent vers nous car ils constatent que l’ADN n’est pas un parti sérieux lorsqu’il se dit prêt à agir sur l’immigration ou pour défendre nos petites entreprises nationales. J’ai écouté le meeting de Monsieur Dumont qu’il a eu l’occasion de faire ici à Pedur hier. Pour être honnête, je ne savais plus si j’étais en train de regarder un meeting de l’ADN ou bien du Parti Populaire. Là où le Parti Populaire à toujours défendu une ligne forte sur l’immigration avec la préférence nationale dans l’accès à l’emploi ou encore dans l’accès aux logements sociaux, nous constatons que l’ADN devient miraculeusement elle aussi favorable à tout cela.

Pourquoi soutenir le Parti Populaire plutôt que l’ADN ? Tout simplement parce que d’un côté vous avez des vendus / opportunistes et de l’autre vous avez des hommes et des femmes de convictions qui ne viennent pas pomper le programme de leur concurrent pour tenter de relancer une campagne qui a du plomb dans l’aile.

Françoise Jordain : Bonjour Monsieur, quand je sors dans la rue le soir pour ramener mes petits enfants je ne me sens plus en sécurité. L'insécurité est partout dans nos rues et ce n’est pas ces gauchistes au gouvernement qui vont résoudre le problème. Que proposez-vous pour résoudre le problème de l’insécurité à Pedur ?

Hamza Moudden : Tout d’abord je voudrais clarifier une chose essentielle avant de vous répondre. Oui les élus socialistes du gouvernement ne semblent clairement pas inquiets par l’augmentation de l’insécurité dans nos rues. Néanmoins, cela ne semble pas plus intéresser Monsieur Barnier qui en tant que Maire de la ville pourrait agir concrètement sur cette situation dramatique et insupportable. Monsieur Barnier est un homme issu du Parti Populaire qui a pris la poudre d'escampette lorsque nous avons commencé à perdre du terrain. Comme voulez-vous qu’un homme aussi lâche que Monsieur Barnier puisse assumer la protection de sa ville et de ses administrés tout en tenant tête aux dealers et autres délinquants ?

En tant que Maire de Pedur je serais inflexible sur la sécurité et mettrais tout en œuvre pour que la sécurité et la sérénité reviennent dans nos rues. En clair, faire le travail que Monsieur Barnier a été incapable de faire lors de ces 10 dernières années. Tout d’abord, je voudrais investir massivement dans des caméras de vidéo-protection pour quadriller la ville et ne pas laisser un seul pavé de notre ville vide. Nous devons supprimer toutes les zones d’ombres de notre ville pour supprimer tous les points de deal qui sont encore présents dans notre ville. Cette vidéo-protection sera essentielle dans notre lutte contre les trafics de drogue mais également contre la petite délinquance de la vie quotidienne. Nous pourrons mieux identifier les délinquants qui vol, qui casse, qui insulte ou qui viol les femmes. Impunité 0, voilà mon crédo.

Je mènerais également un vaste travail pour construire une police municipale armée pour protéger nos rues et renforcer les effectifs de la police nationale. Une police municipale que je souhaite être une police de proximité qui aura pour mission d’être présente partout où vous en avez besoin et qui rétablit un vrai lien de confiance entre les administrés les plus réticents et les forces de l’ordre qui ne sont là que pour nous protéger. Je veux être élu pour faire le travail que Monsieur Barnier à passer un temps fou à évoquer mais n’a jamais fait. Je ne vous demande pas 10 ans de mandat. En seulement quelques mois nous pouvons déjà établir de grands changements.

Jean-Philippe Woody : Monsieur Moudden, que propose le Parti Populaire contre le tsunami migratoire que nous subissons chaque jour. Il nous suffit de regarder ce marché pour comprendre que nous sommes envahis par cette racaille issue des pires dictatures d’Idylénie. Tous dans l’avion et retour chez eux !

Hamza Moudden : Bonjour Monsieur, j’entends votre colère. Je pourrais presque vous dire que je la comprends mais vous savez je suis l’un de ces étrangers arrivés en Ostaria en provenance de l’Idylénie. Oui, nous vivons un tsunami migratoire parce que nous ne disposons pas des outils juridiques pour nous en protéger. Néanmoins, tous les migrants ne sont pas tous des délinquants en devenir. Il ne me semble pas que je sois un délinquant ou un criminel. Vous savez, on me demande souvent pourquoi avec ma couleur de peau et mes origines, pourquoi je me suis engagé dans un parti que l’on qualifie de “raciste”. La réponse est simple, je crois que le Parti Populaire n’est pas un parti raciste. Néanmoins, il est un parti radical sur ce sujet car nous avons besoin de radicalité.

J’aime Ostaria et je suis reconnaissant de tout ce que ce beau pays m’a donné. Je ne peux donc qu’être révolté de voir certains de mes anciens compatriotes nous construire une réputation de délinquants de criminels dans tout le pays. Nous subissons aujourd’hui dans nos rues le résultat d’une immigration qui est subie plutôt que choisie. Au Parti Populaire nous ne voulons pas supprimer l’immigration car cela est utopique. Nous pouvons choisir notre immigration. Une immigration étudiante pour continuer de faire rayonner dans le monde entier l’intelligence de nos académiciens et de notre culture. Une immigration de travailleurs qualifiés pour continuer de faire grossir nos fleurons industriels et pouvoir se défendre dans la mondialisation sauvage.

Pour arriver à cette immigration choisie nous ne disposons pas de millions de solutions. Il faut instaurer chaque année un vote clair à l’Assemblée Nationale de quota migratoire via différentes catégories. Un certain nombre de visas étudiants, de travailleurs qualifiés, d’investisseurs, etc. Une fois le quota atteint, nous donnons rendez-vous aux candidats à l’immigration lors de l’année prochaine. Cette proposition nous permet de réduire drastiquement notre immigration et donc de l'adapter à nos besoins sur le marché du travail et de nos capacités d’accueil dans le secteur du logement.

Qu’est-ce qu’il adviendra des petits malins qui tentent toujours de venir sans y avoir été invité ? Un billet en aller simple pour leur pays d’origine payer par leur propre porte monnaie avec une interdiction de territoire à vie. Cette mesure n’a rien de raciste ou de xénophobe. C’est une mesure de responsabilité et même humanitaire car nous pourrons enfin accueillir et faire assimiler toutes ces personnes qui débarquent dans notre pays. Cela fonctionne très bien en Fédération-Unie et dans d’autres pays du monde. Est-ce que ce sont des pays racistes ? Non je ne le crois pas ! Alors suivons le même chemin pour nous protéger et mettre un terme à cette immigration subie.

A la suite de ces nombreux échanges, Hamza Moudden et les militants de la section locale prirent le chemin de la permanence du parti pour débriefer de cette action de campagne et parler de la suite de la stratégie à adopter.


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