ImageBienvenue en Ostaria !Image

Heure de Lunont : (GMT+1)
__________________

Dépêches - Articles - Constitution - Journal Officiel - Commission Électorale

Palais des Beaux Arts de Ménargues

Ville IRL : Lille
Population : 1 507 303 hab.

Répondre
Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 534
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

lun. 17 oct. 2022 14:02

Palais des Beaux Arts de Ménargues
Principal musée de la ville visité par plus de 250 000 personnes chaque année, il dispose aussi de 5 espaces à la location avec une capacité allant de 80 à 1000 places.

Image

Avatar du membre
Maxime Garot
Messages : 62
Enregistré le : jeu. 3 nov. 2022 23:41
Personnage : Secondaire

Parti politique

mer. 9 nov. 2022 21:44

Candidat aux élections législatives, régionales et municipales, Maxime Garot tenait le premier rassemblement d’importance de sa campagne dans la plus grande salle du Palais des Beaux Arts de Ménargues. Les 1000 places avaient rapidement été remplies par des supporters prêts à soutenir leur candidat. Beaucoup arboraient des tee-shirts avec le logo du PRS ou brandissaient des drapeaux ostariens. Le candidat arriva sur scène sous les acclamations vives de ses supporters. Il serra quelques mains dans les premiers rangs avant de prendre place derrière son pupitre et d’attendre que la clameur s’estompe pour prendre la parole.

Bonsoir ! Bonsoir à tous !

Merci à tous d’être venus en aussi grand nombre pour soutenir cette candidature que je porte, tant à la mairie de Ménargues, qu’aux élections régionales et qu’aux élections législatives ! Je suis particulièrement honoré d’avoir le soutien d’autant de citoyens de notre région et de notre ville. Nous sommes prêts à construire le futur ensemble !

Parce je crois sincèrement que c’est à nous d’écrire l’histoire du futur de notre ville. Nous devons regarder qui se présente dans ces élections, et particulièrement du côté de la mairie actuelle. Sacha Guérin a dirigé la ville pendant quatre ans, appuyé par une majorité 100% communiste. Aujourd’hui, il n’est pas épargné par les décisions prises dans des bureaux à Lunont, peut-être même au Palais d’Yguerne, ce qui serait à peine surprenant vu la propension de notre Président à se prendre pour le chef de l’Union des Gauches. En tout cas, quel que soit celui qui l’a prise, la décision a été de sacrifier massivement des dizaines d’élus communistes à travers le pays. Évidemment, ils utilisent le faible résultat d’Antoine Baudet à leur primaire pour justifier d’écarter massivement des élus communistes en ne leur attribuant pas de nouvelle investiture. Mais qu’est-ce que les tendances nationales de l’Union des Gauches ont avoir avec la politique municipale ? Car d’une liste de 70 communistes il y a quatre ans, nous passons à une liste toujours menée par Sacha Guérin mais avec seulement 3 colistiers communistes. Sacha Guérin vous demande d’être réélu à la mairie, mais sa majorité sera composée d’élus de partis ne voulant que sa perte. Et permettez moi de dire combien je trouve choquant la manière brutale dont ont été exclus de la liste ces dizaines d’élus communistes sortants. Je sais que plusieurs d’entre eux ainsi que plusieurs de leurs militants voteront pour une vraie liste de gauche républicaine et souverainiste ce samedi en rejoignant notre liste !

Mais assez parlé de l’Union des Gauches, parlons plutôt des sujets qui vous intéressent. Et à en croire les actualités, il y a beaucoup d’intérêt pour la question de l’affaire Télans-Pluvit. Avant toute chose, j’aimerais remercier sincèrement Laurent, le pseudonyme du lanceur d’alerte qui a divulgué les informations sur cette affaire. Le fait qu’il doive agir ainsi sous pseudonyme en dit long sur le manque de protection que nous pouvons apporté à ces lanceurs d’alerte qui font un travail si essentiel pour la société. Je crois que nous devons légalement mieux les protéger. Sur le fond de cette affaire maintenant, il va de soit que je suis choqué. Mais je ne suis pas extrêmement surpris pour autant. Nous ne découvrons pas aujourd’hui que de nombreuses entreprises visent avant tout le profit, y compris au détriment de l’intérêt collectif. Je crois que nous devons sévir plus fortement quand ce genre d’entreprises veut se jouer de la société et du gouvernement en jouant avec les règles. Dans ces cas là, j’imagine déjà des candidats de droite dire que la sanction est déjà bien assez forte avec des actions en baisse de 15% en une journée. Mais la réalité, c’est que nous devons arrêter toute aide publique à cette entreprise pendant plusieurs années. La réalité, c’est que nous devons renforcer nos tests pour forcer les entreprises du secteur à trouver des solutions réellement innovantes aux problématiques de pollution avec lesquelles nous vivons, particulièrement dans les grandes villes. Et plus globalement, nous devons repenser notre politique de transport pour notamment encourager mieux à la transition vers des véhicules électriques qui ne polluent pas l’air de nos métropoles. Le gouvernement actuel a voulu faire cet effort mais s’y est franchement mal pris avec une aide pas du tout assez ciblée. Nous devons prendre en compte le fait que beaucoup n’ont les moyens que de louer une voiture, pas de l’acheter et nous devons aussi aider ces ménages modestes à pouvoir louer à des prix raisonnables des véhicules électriques.

Le gouvernement s’y est mal pris aussi dans sa politique de développement du vélo. Soyons clairs, je crois que développement l’usage du vélo en métropole est une réelle solution pour réduire le trafic automobile et l’écrasante pollution aux particules fines qui y est liée. Aujourd’hui, n’importe qui peut se voir attribué 200 O$tas si il a acheté un vélo et peut le prouver. Cette aide n’est pas du tout ciblée et est donc par définition inefficace. De plus, certains vélos pour les plus jeunes coûtent par exemple moins de 200 O$tas ! Cela veut dire que des ménages aisés qui n’avaient pas spécialement besoin de l’aide avant d’acheter un vélo peuvent l’acheter et en retirer un profit additionnel ! De même, l’aide permettant de recevoir 150 O$tas à chaque réparation de son vélo chez un professionnel n’est pas ciblée et certaines réparations coûtent clairement moins chères. Sur ce plan, nous voulons revoir les dispositifs mis en place par le gouvernement pour avoir des aides dont le montant est indexé sur le niveau de revenu. Et quant au système pour les réparations, nous créerons un système de forfait permettant aux ménages modestes et de classe moyenne de se faire rembourser tout ou partie de leur réparation de vélo, sans toutefois pouvoir faire des profits grâce à ces dispositifs. Et toujours sur cette question du développement du vélo, nous voulons agir au niveau municipal pour développer considérablement les infrastructures cyclables qui restent essentielles à un développement réel et efficace de la pratique.

Cette question de la politique des transports est absolument essentielle. Le transport représente pour beaucoup de salariés une part conséquente de leur budget chaque mois. C’est évidemment aussi un enjeu majeur en matière de pollution de l’air. Nous avons besoin de prendre des initiatives pour désintensifier le trafic automobile dans notre métropole et aux alentours. Et cela suppose des investissements judicieux dans les transports en commun, qui demandent des majorités ambitieuses au conseil municipal, au conseil régional et à l’Assemblée. Si nous voulons mener une politique vraiment ambitieuse sur la question, nous devons faire élire un maximum de candidats PRS à des postes clés, et ce à tous les niveaux.

Et je vous propose de le faire aux trois niveaux en soutenant ma liste au conseil municipal, ma liste au conseil régional et ma candidature pour l’Assemblée Nationale. Personne ne comprend plus rien à la ligne de l’UdG qui tente de se dépeindre en plus modéré, ce que l’élimination d’une bonne partie des candidats communistes dans les listes d’investis semblait confirmer. Mais l’alliance semble avoir paradoxalement conclu un accord avec l’UTAC, la force la plus radicalement à gauche du pays, dans quelques circonscriptions. De la même manière, Juliette Delagins félicite la « droite républicaine » de rester indépendante de l’extrême-droite, en feignant d’oublier que les leaders de cette droite viennent de l’extrême droite, et la Première Ministre les traite de « nationalistes cléricaux » ensuite. Alors il y a finalement un flou dans cette élection sur la ligne de l’UdG. Il n’y en a pas dans la mienne, il n’y en a pas dans la notre. Je sais que nous allons rassembler bien plus de suffrages que ce à quoi ils s’attendent. Je sais que nous allons créer la surprise dans cette élection. Je vois la ferveur sur le terrain, chez nos électeurs de la présidentielle, chez des électeurs communistes, chez des électeurs de gauche en général ou simplement chez des électeurs sans affiliation qui voient l’avenir dans notre projet. Cette ferveur que je sens sur le terrain, je le sais, nous la verrons dans les urnes !

Merci à tous ! Vive la République ! Et vive Ostaria !


Avatar du membre
Maxime Garot
Messages : 62
Enregistré le : jeu. 3 nov. 2022 23:41
Personnage : Secondaire

Parti politique

sam. 4 févr. 2023 17:46

Conseiller municipal et régional, Maxime Garot est un jeune vu au sein du PRS comme un potentiel leader pour l’avenir. Il savait qu’il avait un rôle important à jouer et voulait peser dans les instances dirigeantes du parti et savait qu’il devait pour cela apporter des résultats dans la ville de Ménargues, bastion communiste historique où il espérait pouvoir percer à mesure que Kosmostaria s’enfonçait de plus en plus bas. Opposé au projet présidentiel de référendum, il avait organisé avec la section municipale du parti un évènement dans la plus grande salle du Palais des Beaux Arts. Chacune des 1000 places avait rapidement été remplie par les sympathisants et militants du PRS qui venaient donc participer à cette dernière étape dans la campagne locale pour le « non ». Après quelques orateurs, Maxime Garot arriva sur scène sous les applaudissements de la foule et entama son discours.

Bonjour à tous ! Merci à tous de votre présence !

Je suis extrêmement heureux de vous voir si nombreux réunis aujourd’hui pour ce qui sera le point d’orgue de la campagne du « non » menée à Ménargues par le PRS ! Merci d’être venus aujourd’hui dire votre opposition à ce projet de réforme constitutionnelle qui n’est simplement pas adapté à ce dont nous avons besoin dans notre pays. Et permettez-moi d’abord de battre tout de suite en brèche un argument déjà utilisé publiquement par la majorité, et ce dès le débat parlementaire, notamment dans un communiqué de LÉ. La majorité sous-entend que les oppositions font preuve de mauvaises foi et ne souhaitent qu’à faire échouer le gouvernement. Je ne vais parler que pour ce qui nous concerne, les autres partis font bien ce qu’ils veulent. Mais je crois qu’absolument personne ne peut venir dire que le but premier de notre parti est de faire échouer le gouvernement. Sur ses deux principaux projets qu’étaient le mariage pour tous et le Code des Transports Publics, qu’ont fait nos députés ? Ils ont voté pour ! Quand la majorité a rejeté la proposition d’Adam Thiers sur la rénovation thermique, qu’a-t-il immédiatement fait ? Il a écrit à Juliette Delagins pour lui proposer de travailler ensemble à une version du texte qui puisse convenir à la majorité ! Personne qui n’a suivi l’actualité parlementaire ne peut penser une seconde que notre préoccupation est de faire battre le gouvernement. Sur les projets du gouvernement ou par nos propres propositions, notre parti a toujours cherché l’intérêt général et ne fait absolument rien d’autre quand il s’oppose aujourd’hui à la volonté du duo exécutif de réformer la Constitution !

Et d’ailleurs, quand le Président de la République a annoncé son souhait de réformer la Constitution pour limiter le nombre de mandats présidentiels et inscrire la protection de l’environnement dans la loi fondamentale, nous avons dit pouvoir nous ranger derrière la proposition gouvernementale à condition d’une réforme du délai de révision constitutionnelle qui impose d’attendre 6 ans à chaque réforme. Non seulement le projet final n’a pas proposé cette révision, mais surtout, cette disposition montre toute son absurdité dans le débat actuel ! Contraints par ce délai, le gouvernement se retrouve à devoir mélanger dans un même texte la question de l’IVG, la question de la protection de l’environnement, la question de la santé, la question du droit au travail, la question du chiffrement des données, la question des mandats présidentiels ou encore la question de la hiérarchie des normes. Le gouvernement propose donc une révision qui mélange absolument tout et dont personne ne peut au final être pleinement satisfait. C’est la preuve même qu’il fallait faire de l’absurdité totale du délai de révision constitutionnelle qui force des réformes aux objectifs multiples. Et ces réformes mettent une pression sur les épaules des citoyens qui sont soumis à une forme de chantage : soit ils soutiennent tout et y compris ce qu’ils n’approuvent pas, soit ils se retrouvent à renoncer à des avancées au motif de leur opposition à certaines dispositions. C’est la seconde option que nous avons choisi. Nous approuvons certaines dispositions de ce texte, mais tant le refus de réforme du délai de révision que certaines dispositions nous empêchent de faire campagne pour le « oui ».

Et pire que ça, certaines bonnes idées sont diluées par une très mauvaise mise en oeuvre. La protection de l’environnement est un bon enjeu, bien entendu. Je suis le premier à souhaiter que nous la mettions dans la Constitution. L’engagement écologiste de notre mouvement, à l’initiative d’une loi sur le développement de la pratique du vélo et auteur d’une proposition pour lancer un effort national de rénovation thermique des bâtiments, n’est d’ailleurs plus à démontrer. Mais cette révision propose de faire du Président de la République le garant de cette protection de l’environnement. Nous sommes également un mouvement opposé à l’extension des pouvoirs du Président de la République. Le fait est que le Chef de l’État n’a heureusement aucun pouvoir en matière de protection de l’environnement. Et cette révision ne lui en ajoute pas non plus. La vraie question est donc désormais de savoir comment le Chef de l’État pourra être garant dans ce domaine si il n’a aucun pouvoir ? Je vois malheureusement deux issues. Soit le Président prend acte de son absence d’outils constitutionnels et renonce à l’exercice de cette mission de garant de la protection de l’environnement, auquel cas cette modification précise de la Constitution n’aura été qu’un coup d’épée dans l’eau. Soit le Président de la République choisit d’invoquer ce devoir pour s’ingérer dans les affaires du gouvernement, auquel cas l’environnement sera mieux protégé, enfin peut-être, mais au prix d’une véritable extension de l’influence et du pouvoir du Président que personne dans notre camp ne peut donc souhaiter.

Alors nous ne pouvons que regretter de ne pas pouvoir faire campagne aujourd’hui pour le « oui ». Mais en votant oui demain, nous nous privons du droit de changer quoi que ce soit à notre Constitution, y compris en cas d’urgence. En votant oui demain, nous menaçons inévitablement la souveraineté de notre représentation nationale avec la réforme de la hiérarchie des normes. En votant oui demain, nous ouvrons la voie à un renforcement clair des prérogatives du Président de la République dans la pratique du pouvoir. Cette réforme a des ambitions de gauche, elle n’est malheureusement dans la pratique qu’une réforme au mieux sociale-démocrate, plus sûrement sociale-libérale. Je m’y opposerai donc avec mon bulletin de vote et j’espère que nous serons une large majorité, dans cette ville comme dans le pays, à faire de même.

Merci à tous ! Vive la République ! Et vive Ostaria !


La foule applaudit le jeune conseiller municipal et régional qui descendit de la scène pour aller saluer quelques militants pour les remercier de leur engagement, tout en glissant quelques mots d’encouragements à ceux qui expliquaient leur plan d’action pour les dernières heures de campagne dans la ville.

Avatar du membre
Maxime Garot
Messages : 62
Enregistré le : jeu. 3 nov. 2022 23:41
Personnage : Secondaire

Parti politique

mer. 5 juil. 2023 18:06

(EL : 214)

Le député-maire de Ménargues avait donné rendez-vous aux journalistes locaux devant le Palais des Beaux Arts de la ville pour évoquer son bilan et donner des arguments en faveur de sa réelection. Entouré de nombreux élus de la majorité municipale et faisant face à une quinzaine de jounalistes, il se lança dans une petite déclaration.

Bonjour à tous.

J’ai choisi aujourd’hui d’évoquer devant vous mon bilan à la mairie devant ce palais des beaux arts, joyau culturel de notre ville. Et si c’est ce lieu qui a eu ma préférence, c’est parce que la culture a occupé une place importante dans notre action. Des milliers de jeunes ont en effet pu bénéficier du pass culture et sports qui a permis de donner un accès à des activités culturelles et sportives. Cette politique était très importante pour réduire les inégalités d’accès à l’éducation et à la santé selon le revenu. Nous savons combien il y a des différences importantes d’accès au sport et à la culture selon le revenu des ménages. Or le sport est essentiel pour avoir des enfants en bonne santé et diminuer les risques de nombreuses pathologies. La culture est très importante pour l’émancipation intellectuelle de nos jeunes. Et ni le sport ni la culture ne devraient appartenir à une forme de privilèges de classe. Et cette majorité municipale a travaillé pour les rendre accessibles au plus grand nombre. Et c’est ce genre de dispositifs concrets que nous avons mis en place et c’est dans cette direction que nous voulons poursuivre si vous nous refaites confiance dans le cadre de ces élections.

Nous croyons que nous pouvons obtenir des changements majeurs à l’échelle municipale, même si bien sûr nous avons également besoin d’une alternance au niveau national. Nous allons continuer de mener une politique au service d’un environnement plus sain mais surtout de davantage de justice sociale et fiscale. Notre ville est encore largement dépendante de dispositifs mis en place sous l’ère Chastain-Constant. Beaucoup d’entre eux sont vieillissants et trop mal adaptés aux formes contemporaines de la précarité et des ingéalités. Nous allons donc les revoir en profondeur pour assurer que la ville de Menargues joue efficacement son rôle dans la réduction des inégalités, comme nous l’avons fait. Nous allons également continuer nos efforts pour rendre la vie politique municipale plus transparente et ainsi redonner confiance aux citoyens dans nos institutions. Nous mettrons par exemple en place un conseil citoyen où des riverains volontaires seront tirés au sort pour proposer chaque année différentes mesures au conseil municipal. Nous travaillerons également à renforcer la sécurité en revoyant les règlementations relatives à la police municipale qui ont vieilli depuis leur mise en place sous d’autres mandatures.

En somme, nous avons montré pendant ces dernières années notre engagement en faveur d’une ville moins inégalitaire, plus démocratique et dans laquelle chacun a accès à une meilleure santé et une meilleure émancipation intellectuelle. Ce travail ne peut évidemment pas se mener seulement sur quatre années et nous avons besoin de temps pour en percevoir pleinement les effets. Mais je suis convaincu que nous vous avons montré pendant quatre ans de quoi nous étions capable et que vous accepterez en conséquence de continuer de nous laisser travailler au service de notre ville.

Et maintenant je peux répondre à vos questions.


Le député-maire accepta ensuite longuement de répondre aux questions sur son bilan et son projet, espérant ainsi séduire largement les électeurs.

Répondre

Retourner vers « ☆ Menargues »

  • Informations
  • Qui est en ligne

    Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 3 invités