Place des platanes

[État d'Ostaria]

Place des platanes
Vaste place de près de 120 000 m² qui accueille parfois des évènements comme des fêtes foraines et qui tire son nom des rangées de platanes qui la bordent.

[Guilhem Alloncle]

Meeting de campagne
2 mars 210

Alloncle poursuivait sa tournée électorale en Orbône en se rendant à Fontour sur la place des platanes ou des journalistes souhaitaient interroger l'ancien premier ministre sur l'affaire Bricadel.

Journaliste : Bonjour monsieur Alloncle, nous aimerions connaitre votre avis sur l'affaire Bricadel et sur les affaires de fraudes fiscales en général ?

Guilhem Alloncle : Bonjour à vous, sur cette affaire de corruption j'aimerais être clair. Il faut attendre que la justice fasse son travail avant de condamner qui que ce soit. Cependant, il est nécessaire de renforcer la lutte contre la fraude fiscale et aussi la fraude sociale qui représentent une mâne financière importante qui échappent au budget de l'État. Or aujourd'hui, nous avons plus que jamais besoin de cette argent pour mener des investissements important dans les domaines régaliens. Il faut donc renforcer les moyens de la lutte contre la fraude et légiférer pour accroitre la répression dans ce domaine. Je propose que la justice puisse proposer, quand elle condamne une entreprise pour fraude fiscale, au gouvernement une nationalisation sans indemnisation. C'est une mesure strict mais c'est une mesure qui sera dissuasive.

Journaliste : Ne pensez-vous pas, comme le candidat de l'UTAC, que cette affaire est dû au système capitaliste ?

Guilhem Alloncle : J'assume complètement vouloir un système économique basé une sur une troisièmes voies entre le capitalisme et le communisme. Un système d'association capital-travail ou la lutte des classes n'est pas à l'ordre du jour. Maintenant je ne simplifierais pas la situation en jetant la vindicte populaire sur un groupe de personne particulier. Je préfère apporter de l'apaisement la ou il y a des groupes politiques, qui ne sont pas que l'UTAC mais aussi la gauche plus classique, qui jettent de l'huile sur le feu. On apaisera pas non plus la société en ne parlant pas des problèmes comme le fait la droite et le centre actuellement. C'est dans cette logique de bon sens que je me place.

Journaliste : Économiquement parlant vous vous situez dans un entre deux et vous vous êtes distinguez de l'alternative par des prises de positions plutôt anti-libérales. Considérez vous comme un homme de gauche ?

Guilhem Alloncle : Économiquement j'ai des positions sociale-Étatistes et interventionnistes. Je l'assume complètement et j'ai de vrais divergences avec l'Alternative auquel j'ai tout de même était adhérent et ça je ne le renie pas. Mais je crois en effet que libéralisme est une forme de gangrène qui progresse et qui tue petit à petit notre souveraineté économique. Cependant, je ne renie pas l'obligation de laisser de la liberté dans le secteur privée. Moins d'impôts pour les foyers précaires et sur les petites et moyennes entreprises relève de la nécessité économique. Voila ma position en. matière économique, une position équilibré entre un contrôle de l'État et de la liberté.

Journaliste : Merci à vous, un dernier mot pour nos lecteurs ?

Guilhem Alloncle : Merci à vous pour votre écoute. Mon dernier mot sera en destination des électeurs qui cherchent une alternative crédible à ce duel gauche droite devenu inaudible. Il faut retrouver le sens de l'intérêt général et de l'État. Nous y arriverons en remettant au coeur de l'action politique des hommes et des femmes de courages qui agissent au lieu de parler et qui n'ont pas peur de l’adversité. Cette alternative c'est Osons Ostaria !

Vive la République, vive Ostaria !