Café de l'Humanité

[Ernest Vabre-Nicolo]

Café de l'Humanité.
Le Café de l'Humanité est une brasserie mythique et tendance de la capitale, offrant une vue époustouflante sur la capitale et sur de somptueux monuments. Son menu, élaboré et confectionné par un chef étoilé vous fera voyager en plein coeur de la cuisine d'Ostaria.

[Ernest Vabre-Nicolo]

Ernest a réservé une table pour cette soirée de fin août. Il a l'habitude de venir déjeuner dans ce restaurant et est connu par toute la maison. Lorsqu'il arrive, il ne dit mots et l'on vient l'installer aussitôt. Il s'assied. Habillé d'un costume bleu marine, sans cravate, il regarde sa montre et y voit inscrit 18 heures et 45 minutes, Madame Morelli ne devrait plus tarder. Ses jambes de cesse de remuer tant il est nerveux de cette rencontre qui pourrait changer le cours de sa carrière.

[Laure Morelli]

Laure Morelli arriva dans le restaurant peu après, et elle fut guidée vers la table d'Ernest Vabre-Nicolo par un serveur. Elle lui tendit la main (à Ernest, pas au serveur, hein).

Laure Morelli : Ah, monsieur Vabre-Nicolo ! Ravie de vous rencontrer.

[Ernest Vabre-Nicolo]

Ernest Vabre-Nicolo : C'est un plaisir pour moi ! J'aime beaucoup ce que vous proposer pour notre pays.

Un temps passa, ils échangèrent quelques mots avant d'arriver au sujet des services de Ernest

Ernest Vabre-Nicolo: Comme vous le savez, je suis haut fonctionnaire, j'ai depuis mon plus jeune âge la volonté d'oeuvre pour mon pays et d'être un acteur dans le bien être d'Ostaria. C'est pour cela que j'ai rejoint L'Alternative, apres de longues années sans parti car aucun ne me correspondait véritablement.
Je me demandais si vous aviez besoin d'un conseiller ? Auquel cas je pense être la bonne personne pour cela. Évidement si vous avez d'autres idées je vous écoute.

[Laure Morelli]

Laure Morelli : Eh bien, j'avoue que je n'étais pas spécialement en recherche de conseiller pour le moment, mais c'est une proposition intéressante. |/discours générique préenregistré de PNJ]

Son sac tombe et laisse échapper un paquet de feuilles sur le sol. La députée se dépêche de les ramasser et de les remettre dans son sac, mais il est manifeste pour ceux qui étaient à proximité qu'il s'agissait d'amendements … avec beaucoup d'annotations. Heureusement, Laure Morelli put les remettre dans son sac avant que quiconque ne se rende compte que, pour se distraire, elle écrivait des amendements poétiques, en vers. Des poèmes troublants.

[Ernest Vabre-Nicolo]

Ernest : Vous avez un don pour.... l'écriture à ce que je vois.

Souriant, il laisse un temps de silence puis prend un air plus sérieux.

Ernest : Bien, vous n'avez pas besoin de conseiller, pourtant vous êtes venue me rencontrer et compte tenu du manque de temps que vous devez avoir, cette venue dans ce sublime lieu ne doit pas être laissée au hasard, j'en déduis que vous avez quelque chose d'important à me confier ?

[Ernest Vabre-Nicolo]

RP 227

Dimanche 9 juin 226, Ernest Vabre-Nicolo arrive au café de l'humanité et le serveur qui commençais à bien le connaitre, l'emmena à une table coté fenêtre avec vue sur la ville. Il demanda à ce que l'on prépare le couvert pour une deuxième personnes et que l'on y emmène, lorsqu'elle arriverai, une personne qu'il montra en photo sur son téléphone.

[Caroline Jouvet]

Caroline Jouvet a été bien surprise de recevoir un jour par SMS sur son cellulaire, un message du Président de l'Assemblée Nationale, qu'elle a pu côtoyer occasionnellement, mais avec qui, elle ne partage pas spécifiquement une affinité.
À la lecture de ce SMS, elle doit bien l'avouer qu'elle était surprise... Surprise de voir le Président de l'Assemblée Nationale lui demander si elle se sentait encore bien au sein de Maison Commune après une division idéologique sur un vote à l'Assemblée Nationale. Plutôt que de répondre par SMS, et de crainte de ne pas être assez précise, elle lui proposa de venir au Café de l'Humanité, un café que le Président de l'AN connait très bien.
Arrivant au Café, elle fut conduit à la table où se tenait déjà Monsieur Vabre-Nicolo qui lisait alors le journal en sirotant un café.

Bonjour Monsieur le Prési... enfin euh... Monsieur Vabre-Nicolo. Je vous remercie de vous être déplacé ici, alors que j'imagine que vous assez bien occupé durant ces derniers temps vu le nombre de texte qui seront à étudier dans les prochains jours.
Comment allez-vous ?

[Ernest Vabre-Nicolo]

Avec beaucoup de respect, EVN se leva pour saluer Caroline Jouvet.

Avec un léger sourire de courtoisie.
Bonjour Madame Jouvet. Oui appelez moi Ernest ou si vous voulez vraiment être plus solennel, Monsieur Vabre-Nicolo, mais ne m'appelez pas Monsieur le président ; je suis ici en tant que président de parti et non président de l'assemblée nationale.

Oui, l'assemblée national est d'une richesse, en être président est à la fois un honneur et un dur travail. Mais cela me plait beaucoup, et j'ai mis ud temps a réaliser que j'étais cette institution d'Ostaria.
Et vous comment allez vous ? Mon SMS vous a probablement surprise ?

[Caroline Jouvet]

Et bien écoutez, je me porte plutôt bien. Je parviens à me conserver une bonne santé, donc c'est agréable. Je peux ainsi poursuivre mon travail à l'hémicycle tout en faisant un peu de comptabilité, une profession devenue une passion avec le temps (dit-elle avec un léger sourire qui tendait à un léger rire).

Je dois bien avouer que votre SMS a été si soudain, que j'ai un peu été prise de court. D'où le fait que je vous ai demandé de venir ici. Je suis un peu perdu avec ce que vous m'avez demandé.