Journal Officiel - Osons Ostaria

[Guilhem Alloncle]

Osons Ostaria - Journal Officiel

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[justifier]Article[/justifier][/quote]

[Guilhem Alloncle]

ARTICLE 1 - Le Gouvernement perd pied

Voila maintenant plusieurs jours que le gouvernement Ostarien perd pied. S'enfonçant dans ses contradictions et rejetant ses convictions sur l'autel d'un sectarisme aveugle contraire aux valeurs de la République. Dernier exemple en date, la proposition de modification du système électoral afin de le rendre plus représentatif et donc plus juste et démocratique. Cette proposition de loi, venu du Député Barnier du Parti Populaire, a d'abord été soutenu par les communistes avant un retournement de veste spectaculaire sans doute du à des pressions venu directement du Premier Ministre.

Ce dernier, dirigeant comme un seul homme le gouvernement, semble s'ancrer dans un mode de gouvernance à la limite de l'autoritarisme hérité directement des années Chastain. Osons Ostaria, en tant que force résolument républicaine, ne peut que dénoncer cette situation et appeler toutes les personnes de gauche qui ne veulent pas de cette dérive gouvernemental à l'exprimer clairement. Si il n'y a aucune critique alors chaque personne membre de cette majorité sera complice de ce qui se passe actuellement et devra en rendre des comptes devant les électeurs. Vous pouvez compter sur l'énergie d'Osons Ostaria pour rappeler à chaque instant que l'Union de la Gauche a trahit ses électeurs qui souhaitaient un renouveau mais pas un retour à Chastain.

Aux prochaines élections le renouveau de progrès et de solidarité devra renaitre et cette renaissance se fera pas un programme hérité, non pas du communiste autoritaire, mais des années Plassel qui sont sources d'inspiration pour notre formation politique.

[Guilhem Alloncle]

ARTICLE 2 - Maintenant il faut reconstruire l'État

Depuis plus d'un an le gouvernement de gauche radical réforme le pays avec des manière et des méthodes qui ne sont pas dignes d'une démocratie comme la notre. N'écoutant pas l'opposition, accumulant tout les postes et essayant de s'accaparer les prérogatives présidentielles cette majorité pose un véritable problème pour notre pays et sa stabilité politique interne. En agitant sans cesse le chiffon rouge les partis les plus extrêmes et les moins fréquentables gagnent des forces et finiront sans doute par obtenir des responsabilités importantes dans les années à venir.

Ainsi il faut, pour faire face à cette majorité et pour contrer la progression des partis extrémistes, présenter un projet allant dans le sens du renforcement de l'autorité de l'État sans tomber dans l'autoritarisme. Il faut un pouvoir présidentiel plus fort et plus éloigné des partis, une administration plus centralisé et des recours aux référendums plus faciles à mettre en place.

Bien sur il faut mettre en place des contre-pouvoirs pour ne pas sombrer dans l'autoritarisme. Ces contre-pouvoirs doivent s'incarner dans un parlement plus représentatif et dans une justice indépendante. Notre pays souffre d'une mauvaise image à l'international et nous ne pourront redorer son blason qu'en nous affirmant comme une démocratie moderne et efficace.

Reconstruire l'État est désormais nécessaire et nous devons travailler ensemble à cet objectif afin de présenter un projet complet et efficace pour les prochaines échéances démocratique.

[Guilhem Alloncle]

ARTICLE 3 - L'École est un sanctuaire public

L'éducation est le levier le plus important dont l'État dispose pour promouvoir l'égalité de tous face à la réussite. Comment accepter le séparatisme des plus riches, de cette bourgeoisie apatride, qui inscrivent leurs enfants dans des écoles privées si chers qu'elles excluent d'office des enfants issues des milieux les plus modestes ? La République se fonde sur un pacte fragile et chaque atteinte fragilise ce contrat et si nous poursuivons sur cette route les conséquences seront absolument dramatique. Déjà la division de la société à conduit en une victoire des communistes et en une percée de l’extrême-droite mais demain, quand les écarts de richesses seront trop forte et l’ascenseur sociale en panne, qui empêchera les prolétaires et les artisans, commerçants de se soulever ?

Le pouvoir doit redevenir populaire et pour qu'il le redevienne nous devons conduire une politique sociale, et non pas socialiste, et progressiste sans pour autant céder aux facilités du laxisme et de la démagogie. Le pouvoir doit être fort mais humain et proche du peuple ! Voila le projet d'Osons Ostaria et c'est cette ligne que nous défendrons !