Michelle Roux
@MichelleRoux
Ayant signé l’article de Plume Libre sur l’accord de la gauche, je pense judicieux de répondre aux interrogations sur la méthode et l’éventuelle partialité des calculs sur lesquels mon article est basé.
D’abord, il n’y a absolument aucun jugement de valeur, ni même de conclusion sur un parti plus favorisé dans cette coalition. J’entame d’ailleurs mon dernier paragraphe par ces mots : « ces accords placent LÉ et Kosmostaria sur un relatif plan d’égalité. Que ce soit à l’échelon national, régional ou municipal, chacune des deux formations peut espérer devenir le premier parti de gauche ». Et c’est quelque part bien normal, il n’y a une différence que de 6 candidats entre LÉ et Kosmostaria aux élections législatives.
Ensuite, nos calculs ne sont pas du tout basés sur l’hypothèse d’une victoire de seulement 50 sièges par la coalition de gauche. Au contraire, le chiffre des 50 sièges est justement l’hypothèse dans laquelle la coalition de gauche enregistrerait un lourd échec. En revanche, nous avons découpé les circonscriptions par tranche de 50 en les classant selon leur proportion à voter à gauche. L’objectif était de montrer, chiffres à l’appui, la différence dans les répartitions selon ces tranches (très légèrement favorables aux communistes dans les 50 premières, très largement favorables à LÉ dans les 50 suivantes, très largement favorables à Kosmostaria dans les 50 qui suivent, etc…).
La seule conclusion qui a été tirée est la suivante : si la gauche enregistre un score très décevant ou, au contraire, s’approche des 150 sièges, les communistes ont de bonnes chances d’être le premier groupe de gauche à l’Assemblée.
Voilà qui me semblait être une précision méthodologique nécessaire face aux questionnements (légitimes) de nos fidèles lecteurs.
D’abord, il n’y a absolument aucun jugement de valeur, ni même de conclusion sur un parti plus favorisé dans cette coalition. J’entame d’ailleurs mon dernier paragraphe par ces mots : « ces accords placent LÉ et Kosmostaria sur un relatif plan d’égalité. Que ce soit à l’échelon national, régional ou municipal, chacune des deux formations peut espérer devenir le premier parti de gauche ». Et c’est quelque part bien normal, il n’y a une différence que de 6 candidats entre LÉ et Kosmostaria aux élections législatives.
Ensuite, nos calculs ne sont pas du tout basés sur l’hypothèse d’une victoire de seulement 50 sièges par la coalition de gauche. Au contraire, le chiffre des 50 sièges est justement l’hypothèse dans laquelle la coalition de gauche enregistrerait un lourd échec. En revanche, nous avons découpé les circonscriptions par tranche de 50 en les classant selon leur proportion à voter à gauche. L’objectif était de montrer, chiffres à l’appui, la différence dans les répartitions selon ces tranches (très légèrement favorables aux communistes dans les 50 premières, très largement favorables à LÉ dans les 50 suivantes, très largement favorables à Kosmostaria dans les 50 qui suivent, etc…).
La seule conclusion qui a été tirée est la suivante : si la gauche enregistre un score très décevant ou, au contraire, s’approche des 150 sièges, les communistes ont de bonnes chances d’être le premier groupe de gauche à l’Assemblée.
Voilà qui me semblait être une précision méthodologique nécessaire face aux questionnements (légitimes) de nos fidèles lecteurs.