L’union de la gauche est donc connue et regroupera quatre partis sur la ligne de départ : LÉ, Kosmostaria, l’UTAC et l’URS. Ces formations politiques ont fait un choix qu’il convient de respecter, bien qu’il ne faille évidemment pas renoncer à un débat de fond sur leur projet et sur la vision politique de cette alliance. À cet égard, nous ne pouvons que demander que notre choix de ne pas nous joindre à cette coalition soit tout aussi respecté.
Le communiqué écosocialiste juge que nous aurions « préféré le renoncement au courage ». C’est en fait tout le contraire. Rejoindre cette union de la gauche aurait été synonyme de renoncement à de nombreuses de nos valeurs dont nous sommes fiers et que nous portons avec force. Avoir du courage, c’est accepter de prendre le risque de ne pas pouvoir être en capacité de maintenir un groupe parlementaire pour rester fidèle à ses idées. Nous aurions pu rejoindre cette union pour gagner des sièges. Mais ce qui compte avant tout chez nous, ce sont nos idées et nos valeurs.
Nous les défendrons donc avec ardeur et passion, même si c’est électoralement moins porteur. Les valeurs et les idées que nous défendons sont rejointes en de nombreux points par plusieurs formations politiques avec lesquelles l’UDSR va s’associer dans ces élections législatives, régionales et municipales. Cette alliance sera révélée très prochainement, tant concernant les partis qui la composent, que le projet qu’elle défend.
Alors contrairement aux caricatures, nous ne renonçons à rien. Nous décidons de mener avec force une bataille avec nos idées, afin de rester fidèles envers nos électeurs.
Caroline Jouvet a rechirpé
