Antoine Baudet

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Bonjour Chirper !

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Je tiens à dire à Mme. la députée Rossignol que "bonjour" est une interjection, donc invariable et qu'il ne convient donc pas de l'écrire "bonjour.e". Ça n'aurait par ailleurs aucun sens. Désolé, petit réflexe d'enseignant ^^

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Par contre, une personne est toujours un nom féminin, donc on dira bien « une personne bien moins qualifiéE ».

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Je réprouve évidemment les caricatures estampillées à l'arrache par quelque libéral en mal de notoriété. Les voilà répétant à qui mieux mieux que les communistes vont nous prendre nos usines, nos champs, nos libertés. Concrètement ce ne sont pas les communistes qui délocalisent ou qui importent des produits agricoles en ruinant nos agriculteurs.
Au quotidien, les ostariens et les ostariennes sont plus privés de liberté par le peu d'épaisseur de leur porte-monnaie que par un pouvoir totalitaire. Au contraire, les ostariens n'ont jamais été aussi libres d'accéder à des activités culturelles, à une alimentation de qualité ou au divertissement que sous les communistes.

Ostaria n'a jamais été aussi libre que sous le communisme, redonnons-nous cette liberté, nous l'avons bien méritée.

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Kosmostaria organisera sa première soupe populaire le 15 février.
Pourquoi est-ce si important ? Quelques rappels historiques :

Avec les communistes, nous avions les 32 heures payées 384 O$ta.
Avec les anticommunistes, c'est 38 heures payées 152 O$ta.

+ 6 heures de travail & -232 O$ta par semaine !
+ 24 heures de travail & - 928 O$ta par mois !

Une journée de travail en plus pour un salaire 2,5 fois plus bas !
Pour rappel : aucun député n'a voté contre ce projet de loi.

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Belle journée à Brignal et aux alentours !
J'ai rencontré des marchand.e.s, des enseignant.e.s, des médecins, des pharmacien.ne.s et des citoyen.ne.s. Que de belles rencontres mais dans toutes les bouches, des mots durs et dans tous les yeux un regard de souffrance. La précarité, et en particulier dans la ruralité est une peine insupportable pour notre humanité.

Quand ce sont les communistes au pouvoir, on dit "l'État ne va pas pouvoir payer", quand ce sont les libéraux, c'est le peuple qui ne peut pas et qui est jeté dans la pauvreté la plus abjecte.
Nous, nous voulons faire payer l'État. Car lui, ne souffre pas.

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Après de belles années passées à Lunont, je retourne dans une ville où j'ai passé de beaux moments dans ma jeunesse : à Menargues !

Ville de ma grand-mère maternelle, mais surtout ville rouge, fleurissante et heureuse !

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La sécurité, c'est aussi être sûr de l'avenir de sa commune et pour ça, il va falloir investir dans nos belles régions et faire confiance aux élus de terrain pour dispenser cet investissement dans la défense de nos territoires !

Mes propositions :
- Augmentation des moyens donnés aux maires des petites communes
- Planification des travaux intercommunaux au niveau régional
- Développement de voies ferroviaires intercommunales en zones rurales

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Marcel Piniolle a réarmé son fusil d'une lunette à migrants : désormais il ne voit plus que ça !

Mais qu'on ne soit pas dupe, si l'immigration est un sanglier, les droits sociaux, les libertés publiques et individuelles sont les cyclistes qui prendront les plombs !

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Arthur Klein et Isabelle Legendre sont bien mignons à parler d'augmenter la condition des militaires ou combattre la misère, mais la première de ces conditions aurait été de ne pas dévaloriser les salaires. Avant les pauvres étaient les privés d'emplois, aujourd'hui on peut travailler et vivre dans la pauvreté !

Le meilleur moyen de lutter contre la pauvreté et d'offrir à nos forces armées les meilleures conditions possibles, c'est d'abord de leur rendre une rémunération décente et investir. Pour investir, il va falloir réajuster l'impôt qui pèse aujourd'hui trop sur les classes moyennes et populaires, et plus assez sur les grandes fortunes à qui on a fait des cadeaux indécents.