ImageBienvenue en Ostaria !Image

Heure de Lunont : (GMT+1)
__________________

Dépêches - Articles - Constitution - Journal Officiel (ancienne version) - Commission Électorale

Mars 235 - Phoéciennes 235

Répondre
Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 614
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

lun. 10 mars 2025 19:19

Mars 235
Un soutien de poids : le Premier ministre rosvahinien adoube Yegor Igorevich pour les élections phoéciennes

Image
Le Premier Ministre de Rosvahina, Aleksandar Petrovič. - Images AIO

À quelques jours d’une nouvelle échéance électorale phoécienne, Yegor Igorevich reçoit un soutien de taille. Le Premier ministre rosvahinien, pourtant étant affilié au sein de l'Union Phoécienne au PCP, a fait le choix, au nom de la Phoécie des nations, d'apporter officiellement son soutien au chef de file pour les phoéciennes du Parti Populaire, le parti d'extrême droite.
« En tant qu'homme du peuple, je suis si heureux de soutenir une liste de candidat en Ostaria qui défend avec force l'identité de son pays. Yegor Igorevich est un patriote, un homme de courage et surtout un leader en matière de défense d'une UP plus juste. Face aux élites souvent déconnectées aux réalités populaires, il représente pour Ostaria l'avenir et la fierté nationale.

J’apporte mon soutien total à Yegor Igorevich et à son combat pour une UP forte, enracinée dans ses traditions et résolument tournée vers l’avenir ! »

Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 614
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

lun. 10 mars 2025 19:34

Mars 235
Maria Panayi apporte son soutien à Pauline Vrelette pour une Phoécie humaine et responsable

Image
L'ancienne Première Ministre de Sarande (193-208), Maria Panayi, alors en exercice. - Images AIO

Maria Panayi, ancienne Première ministre de la Sarande et figure emblématique de l’indépendance de la Sarande, décide de s'engager dans la campagne phoécienne. Alors que celle-ci ne faisait plus beaucoup l'actualité, elle a décidé de quitter sa retraite politique pour annoncer son soutien à Pauline Vrelette, tête de liste centriste.

Cette intervention sarandaise rappelle l'appartenance de ce même État au sein de la Communauté phoécienne, l'institution précédent l'Union Phoécienne, peu de temps après sa constitution entre 163 et 173, date à laquelle, l'État sarandais avait été exclu la Communauté suite au coup d'État ayant finalement conduit à l'instauration de la Ire République sarandaise.
« Tout au long de ma vie politique, j'ai œuvré pour que notre monde soit plus juste et permette aux peuples de décider de leur destin en toute dignité. Aujourd'hui encore, j'aimerais apporter mon soutien à une femme qui incarne cette vision humaniste.

Je crois sincèrement que Pauline Vrelette incarne cette Phoécie que nous voulons voir : une Phoécie qui protège, qui respecte les peuples et qui avance audacieusement face aux défis. Un engagement comme le sien est pour moi une nécessaire pour la Phoécie de demain.

C’est avec conviction que je lui apporte mon soutien et que j’encourage chacun à se mobiliser pour faire entendre une voix progressiste et courageuse au sein de l’Union Phoécienne. »

Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 614
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

lun. 10 mars 2025 20:07

Mars 235
Un soutien venu de Jaslandia : le Maréchal de la Diète apporte son appui à Henri Moreau

Image
Le Maréchal de la Diète jaslandaise, en pleine conférence de presse, Klemens Sokołowski. - Images AIO

Alors que la campagne électorale pour les phoéciennes bat son plein en Ostaria, Henri Moreau, chef de file de la droite conservatrice, reçoit un soutien notable venu de l’Est. Le Maréchal (président de la Diète) de Jaslandia, pays voisin monarchiste et non-membre de l'UP, a exprimé son appui au candidat. Cette déclaration intervient dans un contexte où Jaslandia vient d'entamer très récemment une réforme constitutionnelle renforçant le pouvoir monarchique.
« Dans un moment où la Phoécie est à la croisée des chemins entre les factions du monde, il est essentiel que des voix fortes puissent défendre cette Union Phoécienne qui est respectueuse des identités et des souverainetés nationales. Pour moi, Henri Moreau est l'homme qui incarne le mieux en Ostaria cette vision d'une Phoécie au service de ses racines.

En tant que Maréchal d'une merveilleuse institution au service de Sa Majesté Ladislas Ier, je suis attaché aux pays fiers de leurs traditions et de leur liberté. En ce sens, je ne peux que lui apporter mon soutien, et appeler tous ceux qui partagent nos valeurs à faire de même. »

Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 614
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

lun. 10 mars 2025 21:51

Mars 235
Depuis Hirana, un soutien social-démocrate à Jérôme Guillard

Image

Alors que la campagne pour les phoéciennes se poursuit, Jérôme Guillard, chef de file de la gauche écosocialiste du RDS, reçoit le soutien d'un allié insulaire voisin. Le président du groupe du Parti Socialiste et Démocratique de l'Assemblée nationale d'Hirana, Edouard Manoeuvre, a salué la candidature de Jérôme Guillard, qu'il considère comme la réelle alternative ostarienne pour l'Union Phoécienne.
« Notre Phoécie a besoin d'une gauche qui s'affirme, qui défend la justice sociale et l'écologie avec ambition. Notre groupe AGP, à la tête de l'UP depuis maintenant 10 ans doit continuer son action, et cela ne pourra pas se faire sans le soutien d'hommes et de femmes engagés comme Jérôme Guillard.

Incarnant cette vision d'avenir où les droits sociaux et la transition écologique ne sont pas des options mais des priorités. À l'heure où les inégalités ne cessent de creuser au sein de l'UP et où certains voudraient affaiblir le modèle social phoécien, Jérôme Guillard a mon soutien sans réserve. »

Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 614
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

lun. 10 mars 2025 22:09

Mars 235
Pour une Phoécie des nations souveraines, un soutien affirmé pour Laurent Barre depuis Barbenis

Image

À l'approche du scrutin des élections phoéciennes, la secrétaire générale de l'Union du Socialisme Démocratique de Barbenis, Alena Ivanoska, a pris position en faveur de Laurent Barre, l'USD étant un parti de Barbenis farouchement opposé à l'Union Phoécienne. Rejetant toute intégration supranationale excessive, elle défend une Phoécie fondée sur la souveraineté des États et d'une politique pour les peuples.

Par ce soutien, Laurent Barre se trouve une alliée de poids dans un pays historiquement lié à la République d'Ostaria.
« L'Union Phoécienne ne peut pas être une contrainte pour les nations, et qui a pour effet de voir les États perdre leur souveraineté et où les peuples sont contraints et enchaîner à des décisions prises par des technocrates, d'une gauche traître et d'un centre fédéraliste.

Laurent Barre porte une vision d'une Phoécie des États forts qui sont maîtres de leur destin et où la puissance publique est un pouvoir qui appartiet au peuple et non aux intérêts financiers. C'est une bataille que nous devons mener, et c'est pour cela que je lui apporte mon plein soutien. »

Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 614
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

mar. 11 mars 2025 09:00

11 Mars 235
Un équilibre fragile entre unité et diversité

Alors que la campagne des élections phoéciennes bat son plein dans l'ensemble des États membres de l'Union Phoécienne, un débat de fond s'installe depuis maintenant plusieurs jours, de quoi agiter les sphères intellectuelles et politiques : jusqu'où doit aller l'harmonisation des principes communs, et à partir de quand faut-il préserver les spécificités locales ou nationales ?

La question, pourtant simple, est loin d'être nouvelle. En effet, elle s'impose comme un sujet phoécien important cette année, et qui semble interroger les électeurs eux-mêmes. À un moment politique où la droite phoécienne est en phrase de reprendre la première place après une quizaine d'années d'une gouvernance à gauche, le sujet revient à la surface, puisque de nombreuses voix s'élèvent pour réclamer des garantis claires sur le respect des particularismes nationaux.

Dans les rues de la capitale ostarienne, les discours oscillent entre défense d'une vision commune, équilibre entre identité et vision commune, et rappel des identités distinctes. Une division naturelle quand on sait le clivage politique qui règne à Lunont. Certains estiment qu'une uniformisation serait nécessaire pour éviter les disparités et garantir un cadre stable pour tous, tandis que d'autres mettent en garde contre une approche qui risquerait d'éroder, voire de supprimer certaines traditions et sensibilités propres à chaque État membre. Profitant de ces divisions, l'extrême droite lysenienne profite du contexte pour dénoncer les dérives phoéciennes et demander le retrait de la Lysennie de ladite Union Phoécienne.

Si cette tension est bien souvent abordée sous l'angle des institutions et des principes juridiques, elle ne fait pas exception qu'en Lysennie, mais aussi dans l'ensemble des pays membres. N'oublions pas non plus que cette tension s'invite également dans des domaines encore plus variés comme avec l'économie, le social et la culture. Nous avons demandé à Claire, jeune employée du secteur médicale, de répondre sur le sujet : « Ce que je veux, c'est que mes enfants aient les mêmes chances qu'un gamin vivant en Edelweiss ou en Barbenis. Pourquoi devrait-il y avoir des écarts sur certains droits fondamentaux ? ».

Ce que Claire ressent, c'est la remarque que se font chaque jour de nombreux habitants des différents pays membres de l'UP. La question de l'unité, qui semble toutefois faire l'unanimité depuis maintenant plusieurs décennies, comme en Ostaria où 65% des Ostariens affirmaient vouloir rester dans l'Union Phoécienne en 232. Pourtant, cette question et celle de la diversité dépassent les simples considérations administratives : elles touchent au quotidien des citoyens. Sur le marché du travail, par exemple, certains plaident pour une convergence des droits et des protections sociales, garantissant des standards communs indépendemment du pays d'origine. D'autres, en revanche, insistent sur la nécessité de maintenir des marges nationales pour ne pas brusquer le marché et plus largement, le milieu économique.

Dans le domaine éducatif, même problème : la volonté de construire un socle commun se heurte parfois à des visions divergentes sur les valeurs à transmettre et l'identité à préserver. Mathieu, propriétaire d'un petit commerce en périphérie de Brignal, s'inquiète : « Et si on nous impose un modèle qui ne nous convient pas ? Arrêtons cinq minutes, ce sont nos modes de vie qui sont en jeu. Pourquoi nous devrions suivre des directives données par des élus supranationaux qui ne défendent qu'avec 92 sièges les intérêts ostariens ? Sont-ils les mieux qualifiés pour nous dire ce qui est bon pour notre école ? »

Ces divergences de conception se retrouvent également dans les débats sur la gouvernance. Pour certains, il est essentiel de renforcer les cadres communs afin d'éviter toute fragmentation et d'assurer une stabilité durable. Pour d'autres au contraire, une trop grande centralisation risquerait de creuser le fossé entre les institutions et les peuples, alimentant une fois de plus le sentiment anti-UP ou anti-élite qui est ressenti par 35% des électeurs. Luc, ouvrier dans la manufacture, se questionne : On nous parle d'unité et de convergence, pourquoi pas. Mais est-ce que ça ira en notre faveur ? Soyons honnête, j'ai l'impression que les décisions prises par l'Union Phoécienne est un prétexte pour notre classe politique de faire passer des décisions qui nuiraient à leur réputation si c'était eux qui l'avait proposé ».

Les forces politiques centristes de l'Union Phoécienne martèlent que ce clivage n'est pas à deux sens, car de nombreux citoyens semblent en effet partagés sur la question. D'un côté, ceux-ci ont la volonté d'appartenir à un ensemble cohérent et protecteur, garantissant à chacun les mêmes droits et opportunités. De l'autre, ils craignent qu'une standardisation imposée serait faite au détriment des spécifités locales et culturelles, et seraient de facto une menace sur le mode de vie. Cette balance fragile entre intégration et respect de l'identité sera sans aucun doute un des enjeux majeurs de cette campagne, et les candidats devront trouver les mots justes pour convaincre.

Nous avons demandé à Éléonore Vancrest, enseignante-chercheuse en sciences politiques à l'Université Nationale d'Ostaria, spécialisée en politique phoécienne de nous expliquer ce phénomène : « Le phénomène de compromis est au cœur de l'évolution politique de nombreux pays phoéciens, mais paticulièrement dans un contexte comme celui d'Ostaria, où la culture du centre et du compromis est largement cultivée, étant au pouvoir depuis plus de onze ans.
Historiquement au sein de l'Union Phoécienne, le centre a toujours joué ce rôle de créateur de majorité phoécienne entre l'ASSD, devenue AGP, et du PCP. Après 15 ans de majorité à gauche de l'hémicycle phoécien, le centre a toujours représenter une force conciliante pour la droite, et inversement lors des présidences à droite de l'UP. Le compromis n'est pas une simple conciliatiion, mais un processus où chaque acteur fait des concessions pour maintenir la viabilité du système. Et il ne vous aura pas échapper qu'il faut toujours avoir un pivot central pour garantir ce rapport gauche-droite.
L'enjeu pour le centre est de réussir à articuler ces différentes attentes tout en évitant la polarisation. Ce n'est pas une tâche facile, car l'équilibre entre l'intégration des valeurs communes et la préservation des identités locales est un exercice de haute voltige. Mais si l’histoire ostarienne nous a appris une chose, c’est bien que cette capacité à concilier les intérêts divergents reste la force vive de notre démocratie. »


Ainsi, derrière cette réflexion sur l’équilibre entre unité et diversité, c’est bien la vision même de l’avenir de l'Union Phoécienne qui se dessine. Un avenir où il faudra trancher entre convergence et flexibilité, entre règles communes et marges d’adaptation. Et si le débat n’est pas tranché aujourd’hui, il est certain qu’il résonnera jusqu’au jour du vote.

Avatar du membre
État d'Ostaria
Institution
Messages : 614
Enregistré le : dim. 10 mars 2019 18:14
Personnage : Principal

mer. 12 mars 2025 00:17

12 Mars 235
Financement illégal : le Parti Populaire dans la tourmante

Selon une enquête de La Phoécienne, le Parti Populaire aurait bénéficié de 8,5 millions d'o$tas de financements illégaux en provenance d'entreprises privées, en violation de l'article 500-5 du Code électoral.

La direction du Parti Populaire n'a, pour le moment, pas réagi à ladite enquête. Tandis que le Comité de Régulation Électorale en Phoécie (CREP) et la Commission électorale pourraient se saisir de ce dossier.

À quelques jours du scrutin, cette révélation pourraient lourdement peser sur la campagne.

Répondre

Retourner vers « Agence de l'Information Ostarienne »

  • Informations
  • Qui est en ligne

    Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité