[UTAC] Communiqués de presse

[Isabelle Toutain]

Communiqués de presse

L'ensemble des communiqués de presse officiels de l'organisation sera exposé ici même.

[Isabelle Toutain]

Manifestation unitaire pour le pouvoir d'achat
24 mars 199

L'Union des Travailleurs Anticapitalistes se joindra demain à la Manifestation unitaire pour le pouvoir d'achat et enjoint toutes et tous les militants révolutionnaires et anticapitalistes de battre le pavé à nos côtés.

Ce n'est pas par la prochaine échéance électorale mais bien par les luttes que nous parviendrons à imposer un renversement du capital en faveur des travailleurs. Manifester de manière massive pour nos droits est la première étape du processus révolutionnaire. Venez nombreux !

[Isabelle Toutain]

Investiture d'Isabelle Toutain pour les Présidentielles 200
29 mars 199

L'Union des Travailleurs Anticapitalistes annonce que ses militants, réunis en congrès ce week-end, ont fait le choix de désigner Isabelle Toutain comme leur candidate dans le cadre des élections présidentielles 200. Voici les résultats définitifs recueillis par les différentes motions présentées :

- Révolution Totale (Isabelle TOUTAIN) : 52,8%
- Fraction Cercle Rouge (Maurice POUPON) : 26,2%
- Alternative Anticapitaliste (Maria DOS REIS) : 12,5%
- Collectif pour un Rassemblement Révolutionnaire (Bastien MILLOT) : 8,5%

[Isabelle Toutain]

Fondation de la Seconde Internationale Communiste
1er avril 200

L'Union des Travailleurs Anticapitalistes est fière de fonder avec ses camarades du Front Révolutionnaire (Carlomania), du Parti des Travailleurs (Îles Arianes) et du Mouvement du Prolétariat (Taeyang) la Seconde Internationale Communiste, organisation internationale de partis politiques révolutionnaires.

La volonté partagée, par la création de cette organisation, est de prendre nos distances du communisme novgradois, que nous jugeons trop centralisé et fondé autoritariste, en proposant une avant-garde prolétarienne composée de partis révolutionnaires qui ne se retrouvent plus dans le communisme tel que défini par la Première Internationale.

Bien naturellement, tous les partis du monde entier qui se retrouveront dans notre combat sont invités à rejoindre l'avant-garde dès à présent.

Prolétaires de tous les pays, unissons-nous !

[Maria Dos Reis]

Appel à manifester contre l'extrême-droite et le capitalisme
17 avril 200

L'Union des Travailleurs Anticapitalistes s'associe à l'appel à manifester lancé par l'Action Syndicale Unitaire à manifester à Lunont le 24 avril 200 pour dire NON à l'extrême-droite et au capitalisme. Voici l'appel que nous signons :

Aya Leclerc, Présidente de la République sortante, véritable barde du capitalisme sauvage et de l'austérité qui l'accompagne, a été réélue le week-end passé dans l'indifférence absolue. Et pour cause : les résultats de ces élections étaient connus d'avance, tant le système politique ostarien est injuste et non-représentatif.

Malgré la percée des deux candidats révolutionnaires, c'est face à une gauche divisée qu'elle a eu à faire face, ce qui a permis à l'extrême-droite la plus réactionnaire de cumuler plus de 30% des suffrages exprimés au premier tour via ses deux candidats. Dans le duel extrême-capitalisme/extrême-droite du second tour, Leclerc a balayé Boulanger, un candidat des plus réactionnaires qui s'est également distingué par la bêtise crasse de ses discours. Toutefois, ce dernier a réalisé près de 40% et c'est ce qui nous inquiète : l'extrême-droite est de plus en plus banalisée dans ce pays, au même titre que l'extrême-libéralisme.

L'Action Syndicale Unitaire appelle toutes les organisations, syndicales comme politiques, à participer dès maintenant la riposte sociale dans la rue face à la montée de l'extrême-droite et l'hégémonie de l'extrême-capitalisme en signant notre appel à manifester à Lunont le 23 avril 200. Il faut que nous fassions comprendre à Boulanger, Piniolle et leurs bandes que l'extrême-droite ne sera jamais la bienvenue à Ostaria, tandis que Leclerc doit intégrer que sa réélection face à un adversaire extrêmement faible est un trompe l'œil et ne vaut pas un chèque en blanc. Face aux injustices sociales, à la baisse de notre pouvoir d'achat, à l'austérité et à la montée croissante de la haine raciale, prenons la rue dès maintenant pour dire NON !

[Maria Dos Reis]

L'extrême-droite bat le pavé, ne lui laissons pas la rue !
1er mai 201

Ce Vendredi, toute la fine fleur de l'extrême-droite a manifesté dans les rues de Lunont à l'appel du parti fasciste, le Parti Populaire. Au menu des écœurantes revendications de ce défilé : l'expulsion de tous les immigrés, la fin du droit à l'avortement ou encore le retour sur l'union civile LGBT. Le nombre de manifestants décompté dans le cadre de cette manifestation démontre que malgré le faible poids électoral du Parti Populaire, nous ne devons pas pour autant masquer la progression de ses idées, qui constitue un véritable leitmotiv pour les individus et les groupuscules d’extrême droite, anti-ouvriers et racistes.

Face à ce rouleau compresseur fasciste et bourgeois, aucune réaction digne de ce nom du reste de la classe politique. Du côté des Capitalistes bourgeois de Leclerc et Boulanger, on se féliciterait même en coulisses de ce coup de diversion que lui offre l'extrême-droite, tandis que le gouvernement est certainement en train de préparer la continuité de la casse sociale qu'il a initiée. Quand on parle des uns, on ne parle pas des autres, dira-t-on.

Ce climat social pestilentiel montre aussi que dans le monde ouvrier, la désorientation politique mène les uns à l’indifférence et les autres vers le piège des illusions que leur vendent les formations politiques électoralistes. Au premier rang d'entre elles, Kosmostaria. Ce parti, qui se revendique du "socialisme révolutionnaire", n'a pas daigné apporter une réponse proportionnelle à la menace fasciste engendrée par le parti de Zimmerman, se contentant de se fendre d'un message ridicule sur Chirper pour répondre à une invective puérile. Les cadres de ce parti montrent que leur volonté première n'est que de diviser le monde ouvrier en tentant de faire croire aux plus malléables que les luttes sociales peuvent se traduire par les urnes. Mais ne nous y trompons pas : tout ce qui compte pour Baudet et ses amis, c'est de réaliser des scores électoraux. Kosmostaria est un parti de Vakéministes de plateaux TV qui s'avère inexistant en dehors des périodes de campagnes. En agissant ainsi, il fait le jeu de la bourgeoisie.

Qu'on ne se méprenne pas : il ne s’agit là ni de rire, ni de pleurer, mais de comprendre : tant qu’on en reste à chercher un représentant dans le personnel politique respectueux du système bourgeois, on ne peut qu’être perdant. C'est en ce sens que l'UTAC prend ses responsabilités en rappelant que le système capitaliste bourgeois ne pourra être renversé que dans le terrain qu'il ne maîtrise pas, c'est à dire la rue. Pour dégager les fascistes du Parti Populaire, les néocapitalistes du gouvernement et leurs idiots utiles de la gauche dite "de gouvernement", une seule chose à faire donc : se mobiliser, organiser les luttes populaires partout et tout le temps pour initier une guerre d'usure. Il n'y a qu'ainsi que nous vaincrons.

[Maria Dos Reis]

Ils veulent "moraliser" la politique dans un système en lui-même immoral !
07 mai 201

Il y a quelques jours a été votée à l'Assemblée Nationale une loi portant à "démocratisation" et "moralisation" des institutions. Une fantaisie de plus de la part de ces éparques bourgeois pour tenter de nous faire accorder nos violons avec ceux de leur système politique qui, par essence, sera toujours le garde-fou d'une domination de classe au détriment du prolétariat. Le néo-parti social-libéral nommé "UDSR" a vite compris comment se faire accepter des potentats : en jouant avec les mêmes pions que ces derniers !

Qu'ils ne se leurrent pas, il n'y aura jamais d'état de grâce pour les politiciens bourgeois tant que les classes laborieuses seront en mesure d'organiser le procédé révolutionnaire par l'intermédiaire des luttes, dans la rue et dans les esprits. Nous ne croyons pas une seconde à leur pseudo "moralisation" ; il ne nous semble pas que le mal soit en mesure de fournir le bien.

Voyons coup double dans ce subterfuge parlementaire initié par l'UDSR : le but est patemment de nous faire croire que les élites travaillent pour nous tandis que nous travaillons pour eux. Seule la seconde option est une réalité. Nous continuons à subir la violence sociale du schéma économique capitaliste que défend le gouvernement Boulanger, tandis qu'eux, les bourgeois, continuent à puiser de part et d'autres dans des sources intarissables d'enrichissement personnel. Pour le monde du travail, chaque enrichissement de la bourgeoisie est prétexte à de nouveaux sacrifices pour les travailleurs : la précarité du travail et des salaires, le chômage, l'âge tardif de départ à la retraite ou encore le faible pouvoir d’achat.

Pour ne pas être sacrifiés sur l’autel des profiteurs qui nous préparent très certainement de mauvais tours en coulisses tandis qu'ils feignent de défendre la "démocratisation" des institutions, les travailleurs doivent se préparer à se battre. À se battre non seulement contre les attaques du Capital mais aussi contre les reculs que le grand patronat imposera dans les entreprises. Si individuellement nous n’avons pas la force de nous défendre, collectivement, nous le pouvons. C’est une question d’organisation et de confiance dans la force du monde du travail. Ce qui sera décisif, c’est que les travailleurs renouent avec ce qui a toujours fait leur force : les grèves et les manifestations. Ce ne sont pas les députés qui vont protéger les travailleurs de l’exploitation et de la rapacité du patronat, ce sont les luttes des travailleurs !

Laissons-les s'affairer à la préparation du pire et à leur pathétique théâtre parlementaire. Il nous faut préparer une opposition ouvrière basée sur nos intérêts de classe, à l’opposé des démagogues d'extrême-droite comme Zimmerman et des réactionnaires comme Boulanger. Ces derniers dissimulent les responsabilités du grand patronat en pointant du doigt, notamment, les immigrés. Ce faisant, ils divisent le monde ouvrier et l’affaiblissent. Contre Boulanger et l’extrême droite et face aux marchands de rêves tels que l'UDSR, l'UTAC sera de toutes les luttes, dans les entreprises, dans la rue et partout où ce sera possible.

[Maria Dos Reis]

Non-participation aux élections générales de juillet 203
21 juin 202

L'Union des Travailleurs Anticapitalistes ne prendra pas part aux élections générales de juillet 203. Effectivement, les difficultés financières que nous rencontrons ne nous permettront pas de mener une campagne politique en bonne et due forme. Nous regrettons de devoir prendre cette décision mais, à l'heure où politiquement, tout dépend beaucoup de la capacité financière des partis, nous n'avons pas d'autre choix.

Malgré cela, l'UTAC restera vigilante quant à l'action et aux promesses de l'ensemble des partis qui concourront à ce scrutin. Pour les camarades qui souhaiteront quand-même se rendre aux urnes, nous appelons à voter en faveur des candidatures présentées par Kosmostaria. Nous ne demandons rien en échange de ce soutien et espérons surtout qu'il saura donner à la gauche la possibilité de l'emporter face à la droite et au danger de l'extrême droite.

[François Léon]

Réaction à la suite des élections générales
18 juillet 203

L'Union des Travailleurs Anticapitalistes est heureux de constater la victoire de l'Union de la Gauche aux élections générales de 203 !

Réalisant 46,75% des suffrages dans sa circonscription, François Léon se montre aujourd'hui parfaitement légitime pour reprendre le flambeau de la lutte ! Il a indiqué en interne et au coté des 4 autres députés de l'UTAC sa volonté de mener la lutte des classes au sein du parlement et d'être une force de proposition ! Si nous serons en soutient du Premier Ministre nous resterons une force critique et nous nous opposerons à toutes trahison des promesses et du prolétariat.

[François Léon]

Opposition au projet référendaire délétère du Président Edouard
29 janvier 209

Devant la proposition de référendum présenté devant le parlement par le Président Edouard et de sa Première ministre, l'Union des Travailleurs Anticapitalistes a décidé d'affirmer pleinement son opposition. Malgré des bons cotés, ce projet de réforme renforce le rôle de cette superstructure étrangère qu'est l'Union Phoécienne dirigée directement par la grande bourgeoisie apatride. Si l'UTAC défend l'internationalisme et combat le souverainisme, autre terme pour définir le nationalisme, cette lutte internationaliste ne peut se faire que par la révolution, elle ne doit émaner que du peuple et non des élites bourgeoise. Il y a une différence entre la mondialisation et l'internationalisme.

Alors, nous ferons campagne contre ce projet et l'UTAC appel les groupes de gauche à se ressaisir sur cette question et à ne pas laisser la droite et l'extrême droite diffuser leurs idées réactionnaires dans ce débat.