Qui sommes-nous ?
Nous sommes un parti vakéministe, anticapitaliste, révolutionnaire et internationaliste.
L'Union des Travailleurs Anticapitalistes n'est pas une caricature de l'orthodoxie idéologique du vakéminisme, et ne se revendique ainsi certainement pas de l'autoritarisme et de la violence du régime de Novgrad. Être vakéministe aujourd'hui signifie défendre l'idée d'un renversement révolutionnaire de la société capitaliste par le prolétariat, pour bâtir un monde dirigé par la population elle-même.
Toutes les problématiques qui font que les plus faibles de ce monde souffrent terriblement - pauvreté, famine, exploitation des travailleurs, chômage, racismes, confiscation des ressources naturelles - ne sont pas issues d'une impossibilité technologiques de les traiter mais de la volonté d'une infime minorité détentrice de la quasi totalité des richesses, d'entretenir une organisation économique injuste fondée sur la recherche constante du profit au détriment du genre humain.
Cette minuscule caste de caciques mondiaux ne se soucie d'aucune manière du bien-être et de l'épanouissement des travailleurs, puisqu'elle spécule sur une exploitation toujours plus forte de ces derniers pour s'enrichir tant et plus. Les capitalistes n'ont qu'un seul but : s'enrichir, faire croître leurs profits année après année et tant pis si pour cela, il faut affamer les plus pauvres, pousser à bout les travailleurs, déclencher des guerres ou confisquer les ressources !
L'état catastrophique de la société humaine ne repose pas sur une mauvaise application du modèle capitaliste mais sur l'existence du capitalisme lui-même. Ce dernier implique forcément une société inégalitaire qui se nourrit de la surexploitation des personnes et des ressources de la planète. Comment y mettre fin ? En arrachant le pouvoir économique à ceux qui le possèdent aujourd'hui. Toute autre solution est vouée à l'échec - notamment celles qui passent par la volonté de convaincre les maîtres du monde, par de lentes réformes, de se transformer en philanthropes.
Seule une révolution pourra guérir notre société des maux qui la rongent : une révolution, avec ce qu'elle recèle d'élan, d'énergie, d'enthousiasme, de générosité, sera capable de briser la propriété privée des moyens de production et d'arracher des mains des capitalistes la gestion des usines, des banques, des mines, des terres, de l'énergie et des transports. Et de faire en sorte qu'ils appartiennent à la collectivité et soient gérés par elle !