Administration WB [Privé]

[James Wenceslas]

Cette partie est réservée aux réunions privées entre Marie Bonneau et James Wenceslas et toutes autres personnes conviées par ces derniers.

[James Wenceslas]

James Wenceslas invita Marie Bonneau à la suite du décès de son client Flowd Winter Jr.
Wenceslas eu connaissance des dernières volontés de son client.

Bonsoir Marie, alors ! Je suis moi-même surpris de la démarche que nous allons être obligé de faire. En effet, mon client Winter avait tout prévu. J’ai reçu du notaire, deux lettres, une adressée à ce qu’il lègue à sa famille et ses proches. Concernant, cette première lettre, il souhaite clairement que cela reste privé, et une autre lettre, un peu plus politique. Cette lettre, il souhaite que son avocat, donc moi, fasse sa lecture lors d’une conférence de presse pour annoncer ce qu’il compte léguer à des personnalités autres que ses proches.
Je te l’annonce, il est vraiment fou mais courageux de faire cela. À la lecture, c’est vraiment fort et osé symboliquement.

Rire

Tu veux la voir avant ou découvrir la surprise en même temps que le monde entier ? Tu aimes les surprises, je le sais.

[Marie Bonneau]

Après avoir appris le décès de Flowd Winter, Marie Bonneau en avait presque oublié que son cabinet le représentait. Le procès remontait à tellement de temps… Elle se disait même que le rappeler à tout le monde ne pouvait que nuire à l’image du cabinet. Mais elle écouta avec attention ce que son associé avait à lui apprendre sur le décès de son client.

Je crains le pire. Honnêtement, je préfère savoir tout de suite. Si ça se trouve, on pourrait en appeler certains qui sont sur la liste pour leur proposer d’organiser leur exil, ils en auront bien besoin après ça !

Le rire de Marie Bonneau cachait sa franche crainte d'être sur cette liste.

[James Wenceslas]

James transmis la lettre à Marie. À la fin de la lecture, tout les deux prirent côte à côte, le chemin d’une salle aménagée pour -des rarissimes - conférences de presse.

[Marie Bonneau]

En lisant la lettre, Marie Bonneau ne put s’empêcher d’avoir un sourire malgré tous ses efforts pour comprimer le rire que lui inspirait ce testament. Elle accompagna son associé à la porte de la salle aménagée pour la conférence de presse, lui souhaita bonne chance et resta à la porte pour suivre son intervention.