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Evan Andrews
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jeu. 15 août 2019 16:15

La Plume Libre est un journal en ligne destinée à l’investigation, à l’actualité internationale et à l’actualité politique.

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Evan Andrews
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jeu. 15 août 2019 19:45

Présidentielle de 169 : bal des ambitions

Après des municipales remportées haut-la-main par la droite, chacun avance ses pions en vue de l’élection présidentielle de l’année prochaine. Tour d’horizon.

Commençons ce tour d‘horizon par la gauche. Hier, Laurent Lavaud a annoncé négocier avec le RSE pour une candidature unique entre le RSE et les écologistes. Cette annonce a officiellement lancé la pré-campagne présidentielle. Façon pour le député écologiste de réclamer plus de place pour lui et ses collègues au sein de la gauche après le départ de Marie Bonneau. Car ce départ a littéralement détruit l’ordre de bataille qu’elle avait elle-même construit en vue de sa candidature. En partant précipitamment, elle a juste eu le temps de s’assurer qu’un de ses proches restait aux manettes du parti.

Le départ de Bonneau rebat clairement les cartes à gauche. Sa ligne d’union de la gauche, contestée en interne, a peu de chances d’être maintenue et de déboucher sur une candidature commune. Bien qu’encore en campagne à Ménargues, on imagine bien Julien Chastain repartir après sa troisième place aux dernières présidentielles.

Mais au RSE, personne ne semble vraiment se presser pour se faire abattre par le MUR. Un député RSE confie d’ailleurs : « Pendra ira sûrement si personne n’y va, c’est sa fonction. Mais le poste de chef de parti était un cadeau empoisonné ». Alors Erope Pendra, sonné par une lourde défaite à Lunont, peut-il rebondir? Un élu sorti de nulle part pourrait-il se présenter? L’union de la gauche peut-elle perdurer? Autant de questions auxquelles la gauche devra répondre dans les semaines à venir.

Au centre, deux formations présenteront vraisemblablement des candidats. Les monarchistes devraient se ranger derrière Pierre de Courçon pour leur premier test électoral depuis la création de leur mouvement. Quant aux Démocrates, ils devraient présenter un candidat, reste à savoir qui. Car après une présidentielle convaincante, le parti a fondu comme neige au soleil aux législatives, avant de renoncer à présenter des candidats aux municipales. Le parti dicksoniste se pose seulement la question de l’eventuelle candidature d’Hector Johnson, ou si ce dernier passe le flambeau à un cadre de son parti.

À droite maintenant, la véritable inconnue à la candidature éventuelle du Président Plassel à sa réélection. Favori de l’élection qu’il pourrait de nouveau remporter dès le premier tour, le MUR devrait définir un nouveau leader en cas de renoncement du président, dont l’état de santé inquiète depuis quelques jours. Le président du parti et premier ministre serait alors sur les rangs, à moins qu’il ne soit contesté par le Président de l’assemblée, Christian Duroux, le seul à sa hauteur au sein du parti.

Toujours dans la majorité, le PLC pourrait choisir, comme aux derniers scrutins nationaux, de faire cavalier seul dans cette élection. Le cas échéant, la candidature de Pierre Jourdan serait une évidence.

Enfin, au Mouvement National, l’élection interne pour la présidence du parti ressemblait fort à une primaire interne pour désigner son candidat. Remportée par forfait par Marie Saez, cette dernière devrait se porter candidate à la fonction suprême.


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jeu. 5 sept. 2019 06:48

Présidentielle de 169 : un duel Brétigny-Chastain?

Le sondage commandé pour TV3-Plume Libre permet de dessiner un potentiel duel entre le leader de la gauche et le candidat de la majorité.

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Largement en tête, on retrouverait le Premier Ministre qui, avec 39,4% des voix, est quasiment certain d'être parmi les qualifiés pour le second tour dans quelques semaines. Le ralliement du PLC lui assure un score convenable, bien que moins en deça du score de Jérôme Plassel au premier tour en 165.

Son principal challenger serait le candidat de l'Union de la gauche, Julien Chastain qui trusterait le deuxième place avec plus de 20% des voix. En cas de second tour, il est très probable qu'il soit désigné pour défier le Premier Ministre.

On note le retour politique de LD. Aidé par un espace politique ouvert après le retrait de Laurent Lavaud, le candidat Albert Riccardo reccueillerait 13,8%, soit presque aussi bien que Hector Johnson en 165.

À droite, c'est très serré entre Gaëlle Moreau (8,2%) et Andres Berg (7,7%) qui se disputent tou deux un électorat proche. Ils pourraient bien priver le premier ministre d'une victoire au premier tour en le coupant de l'aile droite de sa base électorale.

Enfin, le candidat royaliste réalise une grosse performance dans ce premier sondage, il arrive en effet à 5,9%. Pour conclure, l'écologiste Gaëtan Coquelin réaliserait 2,9% et le chômeur Thomas Ftantchet ferait 1,7%.


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jeu. 19 sept. 2019 22:15

Présidentielle 169 : second tour difficile en vue pour le Premier Ministre

Au coude à coude avec le candidat de gauche Julien Chastain, le premier Ministre espérait un vaste front anti-Chastain. Aucun candidat ne lui a finalement apporté son soutien.

L'annonce a pris tout le monde de court. Bien que les récents sondages annonçaient un premier tour serré entre le Premier Ministre et le candidat de la gauche, l'annonce a fait effet d'une bombe au QG d'Alexandre de Brétigny. Le Premier Ministre est en deuxième position du premier tour, derrière un communiste. Très vite, sur Chirper, le chef du gouvernement n'a pas tardé à hurler à la fin de la démocratie et a rapidement appelé à un front-républicain.

Quelques minutes plus tard, c'était le candidat centriste, potentiel allié de gouvernement, qui refusait d'appeler ses électeurs à se reporter sur le Premier Ministre, symbole d'une soirée très compliquée qui s'annonçait. En effet, en coulisses, ça s'active. Le MN entre en négociations en vue d'un soutien à Brétigny. Andreas Berg, candidat dissident, entre en piste, lui qui avait répété toute la campagne qu'il rallierait le Premier Ministre le soir du premier tour. Voilà donc le MUR face à ces deux partis qui menacent de partir sans soutenir la majorité sauf en cas d'alliance gouvernementale. Gaëlle Moreau n'est déjà plus la maitresse du jeu, écartée par la présidente du parti Marie Saez qui reprend la main sur sa famille politique. Berg et Saez tombent sur un accord, une listes commune aux législatives si chacun appelle à voter blanc.

Andreas Berg l'annonce donc dans son discours de défaite, un petit peu moins d'heure après l'appel rassembleur du chef du gouvernement. Le front-républicain, que les cadres du MUR semblaient sûrs d'obtenir quelques minutes après le premier tour, est tué dans l'oeuf par les nationalistes et les souverainistes, qui ne supportent pas que le gouvernement regarde au centre, d'autant que les mêmes centristes ont déjà fermer la porte quelques dizaines de minutes auparavant.


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dim. 20 oct. 2019 13:36

Bras de fer institutionnel

Alors qu'un bras de fer institutionnel semblait encore évitable, la rencontre entre le chef de file de la gauche Laurent Lavaud et le Président de la République a anéanti les derniers espoirs de cohabitation.

Depuis les résultats jeudi soir des élections législatives, tout les regards se tournaient vers la décision du Président Brétigny. Allait-il accorder à la gauche la possibilité de gouverner en cohabitation ou allait-il faire jouer son droit constitutionnel de jouer un bras de fer périlleux avec l'opposition? Depuis jeudi soir, la gauche et la présidence ont tenté de trouver un accord, en vain. Le principal point de blocage étant la présence de communistes au gouvernement.

Officiellement, le pays retenait son souffle, rien ne filtrant des négociations. L'éclairage devait donc arriver ce matin avec la rencontre entre les deux principaux protagonistes ce matin au palais présidentiel. Très attendu par les journalistes à la sortie de son entretien, Laurent Lavaud a pourtant accouru vers sa voiture, alimentant la rumeur de négociations toujours non achevées. Il aura pourtant fallu attendre quelques minutes et un chirp assassin du leader de gauche pour comprendre qu'un bras de fer était officiellement lancé.

En plus d'une réplique sur le réseau social du Président lui-même - rompant ainsi avec le style discret et retiré du Président Plassel - c'est à l'Assemblée que s'est jouée la seconde partie de cette déclaration de guerre. Hier soir, Julien Chastain et les 56 députés communistes lançaient officiellement une procédure de révision constitutionnelle exigeant ainsi un référendum. Cependant, le texte fut rapidement retoqué par Christian Duroux, puisqu'il faut 76 élus pour déclencher une telle procédure. En signe de riposte à la décision présidentielle de refuser la cohabitation, Marie Bonneau et 24 collègues socialistes apportèrent leur soutien au texte, permettant ainsi le lancement de la procédure.

Alors que beaucoup pensaient pouvoir l'éviter, le bras de fer a bel et bien commencé ce matin, tout s'étant accéléré en seulement quelques heures. Et il est peu probable que la situation s'arrange d'ici les prochaines présidentielles.


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jeu. 19 déc. 2019 19:22

La gauche ou le déni démocratique

Après avoir voté en ordre dispersé une loi pour imposer un nombre d'élus pour candidature à la présidentielle, les cadres de l'UdG refuseraient de parrainer Thomas Ftanchet.

Les socialistes en ont pourtant fait un argument phare de leur campagne municipale. Des vies politiques locales plus démocratiques, c'est ce que les candidats RSE proposaient partout, avec une batterie de mesures destinées à rendre la vie politique plus locale plus transparente.

Pourtant, les cadres de l'UdG modèrent leur ambition démocratique. Alors qu'il avait la majorité, Laurent Lavaud, encore député, avait proposé de faire voter une loi instaurant un parrainage de 5 députés ou de maires pour pouvoir candidate à la présidentielle. Malgré l'opposition des communistes, le texte était passé, voté par les socialistes et le reste de l'Assemblée.

Dès lors, les plus petites mouvances ont été mises sur la touche. Et aujourd'hui, certaines réclament un soutien à de plus grandes forces politiques. Rapproché de l'UdG dans l'entre deux tours des municipales, Thomas Ftanchet aurait donc demandé à l'UdG le soutien de 5 élus socialistes et communistes.

Le problème, c'est que l'UdG a refusé de soutenir ce candidat, estimant qu'il rognait sur ses plates-bandes. Alors comment concilier projet politique et calcul politicien, telle est la question posée aux cadres de l'UdG.


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ven. 5 juin 2020 15:45

Christian Duroux personnalité politique préférée des Ostariens

Le sondage SOEP pour TV3-Plume Libre permet de voir quelles personnalités politiques ont la côté, alors que la menace de législatives anticipées plane sur le pays.

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D’après ce sondage, c’est le plasseliste libéral Christian Duroux qui est en tête avec 35% d’opinions favorables. Rassembleur et républicain, il dirige officieusement la FRO, bien que le titre revienne à Ursulin Lafrance. À un an de l’élection présidentielle, il pourrait bien porter l’étendard de sa famille politique.

En deuxième place, on retrouve la leader du plus grand groupe parlementaire, Marie Bonneau, avec 33% d’opinions favorables. Peu contestée dans son propre parti, elle apparaît clairement comme la plus présidentiable de son camp.

Juste derrière elle, avec 32% d’opinions favorables, on retrouve l’ancien ministre communiste Grégoire Constant. Ministre respecté et leader des communistes à l’Assemblée, il pourrait mener une campagne législative et pourrait devenir le véritable leader des communistes en cas de fin de règne brutal de Julien Chastain. Le Président justement qui se situe dans ce sondage à la quatrième place avec 31% d’opinions favorables. À un an de la présidentielle, il reste presque aussi populaires que ses deux principaux rivaux annoncés, laissant augurer une bataille âpre pour la présidence.

Le Président est toutefois ex-aequo avec la députée FRO Lucie Calenbek-Sothriopositi. Anciennement très engagée sur les questions de transport ferroviaire et récemment leader du non lors du référendum institutionnel, elle pourrait être une alternative sérieuse à Christian Duroux pour l’élection présidentielle en cas d’abandon de ce dernier. 

Deux personnalités sont quant à elles à 28% d’opinion favorables : le socialiste Erope Pendra, ancien ministre et député-maire de Lunont et le Président libéral de l’Assemblée Nationale Louis de Lyset. Ce score est très encourageant pour Louis de Lyset dans le cas d’une candidature présidentielle.

Enfin, des personnalités comme Jean-Marc Wexler (26%), Pierre Jourdan (24%), Andreas Berg (20%), Charles Endros (15%) et Julien Boulanger (8%) ferment ce classement.


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dim. 14 juin 2020 09:33

Publication exclusive des lois Constant

Plume Libre s’est procuré les textes proposés par Grégoire Constant en Conseil des Ministres, évoqués hier par son ancienne supérieure Marie Bonneau.

Après plusieurs jours d’attaques communistes sur la trahison par les cadres du RSÉ des idées socialistes, Marie Bonneau a décidé hier de contre-attaquer en révélant une des deux lois proposées par le Ministre Grégoire Constant.

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mer. 12 août 2020 19:16

Ouverture du procès Winter

L’ancien ministre, en détention provisoire, est jugé pour une tentative de séquestration et un abus de pouvoir sur la personne de Tommen Delfrous.

Le retour de Tommen Delfrous, exilé au Saphyr depuis des années, avait été suivi par la demande d’arrestation lancée par le Président de la région cavouroise, l’ancien ministre Flowd Winter. Les avocats de Tommen Delfrous avaient finalement fait annuler l’ordre et avaient obtenu le placement en détention provisoire de l’élu, destitué, pour séquestration et abus de pouvoir.

Son procès s’ouvre aujourd’hui avec la juge Anne Wagner. L’avocat de l’accusé se refuse d’ailleurs à des commentaires sur le procès en lui-même, sinon que son client est dans un état d’esprit combatif.

L’avocat est en revanche bien plus loquace quand il s’agit d’évoquer la situation politique de son client, affirmant que ce dernier regrette son exclusion de la FRO et attend à ce sujet des explications du parti républicain. L’avocat a d’ailleurs confirmé à notre rédaction que le prévenu serait candidat DVD à la mairie d’Illonlieu, avec l’intention ferme de revenir au Conseil Régional.


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mer. 1 sept. 2021 09:22

Quelle appartenance politique pour les ostariens ?

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Sondage SOEP sur l'appartenance politique des ostariens réalisé du 25 au 29 août 193.

51% des électeurs se revendiquent de la droite mais leur répartition est beaucoup plus hétérogène qu'à gauche, dont se réclament 39% des électeurs.

Comme les résultats des dernières élections législatives l’indiquaient, les ostariens sont majoritairement à droite. 23% se revendiquent de la droite classique, 18% du centre-droit et 10% de l’extrême-droite. Car même si la droite est un bloc majoritaire dans l’opinion, il est extrêmement divisé en grandes tendances qui ont chacune un poids non négligeable. Ces tendances se retrouvent d’ailleurs dans les candidatures probables de la droite pour l’élection présidentielle.

Et c’est tout le contraire de la gauche. 39% des électeurs s’en réclament (43% si on ajoute les écologistes) mais avec un bloc naturel clair : 30% des électeurs se disent de la gauche classique, 5% de l’extrême-gauche et 4% du centre-gauche. 4% des électeurs se revendiquent écologistes, donc plutôt proche de la gauche en règle générale même si ils pourraient bien faire défaut au candidat socialiste à la prochaine présidentielle.

Enfin, 4% des électeurs se revendiquent du centre et 2% ne se reconnaissent pas dans les huit précédentes catégories. Ces chiffres pourraient bien éclairer les candidats à la prochaine élection présidentielle, dont le début de campagne est imminent.


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