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Interviews politiques

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Evan Andrews
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ven. 23 août 2019 17:08

EA : Bonsoir à toutes et à tous, je reçois aujourd'hui un invité de marque, j'ai nommé le président de la République Jérôme Plassel. Bonsoir M. Plassel.

JP : Bonsoir monsieur Andrews.

EA : Vous avez pris la décision de ne pas vous représenter, est-ce que vous pensez que votre âge aurait été un sujet de débat pendant la campagne en cas de candidature?

JP : Monsieur Andrews, j'espère que cette campagne présidentielle se fondera sur des faits et des projets, et non pas sur des attaques basses à propos de l'âge, par exemple. Si cela aurait été un sujet de débat, je n'en ai pas la moindre idée, mais j'ose espérer que non.

EA : Vous avez plus ou moins imposé Alexandre de Brétigny comme candidat du MUR. Ne pensez-vous pas que d'autres cadres du parti auraient également pu mener cette bataille?

JP : Après de nombreuses années à travailler aux côtés de monsieur de Brétigny, j'ai pu voir son admirable talent pour diriger la Nation. Je vous ai communiqué mon choix personnel, et j'ai assuré que je serai derrière lui aussi longtemps qu'il sera candidat. Cependant, la décision de l'investiture revient aux cadres du Mouvement Uni pour la République, et les membres du MUR restent libres de candidater jusqu'à la décision du congrès qui aura lieu prochainement.

EA : Votre mandat prendra donc fin dans un an, ce sera la fin définitive de votre carrière politique?

JP : En effet, je n'exercerai plus aucun mandat électif à compter de ce moment, et je me tiendrai en retrait des activités politiques. Je me réserverai évidemment le droit de donner mon opinion publiquement sur certains sujets importants, et de participer à des événements tels que les congrès du parti. Mais, vous savez, après tout ce temps au pouvoir, je vois cela comme une retraite bien méritée.

EA : Cette élection va voir arriver un grand nombre de candidats puisqu'on en attend entre 6 et 7. La considérez-vous comme plus indécise que les précédentes?

JP : Je ne peux que me réjouir du fait que des opinions politiques différentes puissent être entendues lors d'un scrutin aussi important que celui-ci. En revanche, aucune élection n'est jamais jouée d'avance. Aucune. C'est aux électeurs que revient la décision, au dernier moment.

EA : Pouvez-vous nous livrer votre pronostic sur cette élection vue les tendances qui se dégagent?

JP : Comme je viens de vous le dire, je n'ai pas à livrer de pronostic sur un choix qui revient aux Ostariens. Je souhaite bonne chance à l'ensemble des candidats, quels qu'ils soient.

EA : Une dernière question M. le Président, la participation a été très élevée lors des municipales. Pensez-vous qu'il est possible que ce scénario se répète l'an prochain?

JP : Je l'espère de tout cœur. Cette participation extraordinaire montre à quel point les Ostariens sont attachés à leur démocratie et à leurs libertés. C'est une période dorée qui nous est ouverte par le peuple lui-même, et qui rend la République plus forte qu'elle ne l'a jamais été.

EA : Merci M. le Président de nous avoir accordé cet entretien.

JP : Merci à vous

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Evan Andrews
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sam. 31 août 2019 22:48

EA : J'accueille ce soir un jeune nouveau venu sur la scène politique, j'ai nommé Thomas Ftanchet. Bonsoir Thomas Ftantchet et bienvenue sur TV3. Vous avez 18 ans, vous êtes sans emploi. Pensez-vous pouvoir percer dans le monde politique?

TF : Bonsoir à vous cher monsieur. Alors je pense que en politique tout est possible. Alors je pense que oui j'ai une chance et une carte à jouer.

EA : Quelle est votre ambition? Allez-vous monter une liste en vue des prochaines élections législatives?

TF : Je souhaite être président de la République évidement. Pour répondre à votre question je crois bien que la prochaine élections sera la présidentielle à laquelle je compte bien participer.

EA : Vous défendez une ligne marquée à gauche, quelles sont vos trois propositions phares?

TF : Punir plus sévèrement les actes LGBTphobe, rendre l'opération qui permet de changer de sexe totalement légal et également faciliter les démarches pour changer de sexe. Et souhaite également plus d'aide pout les personne en difficulté et un meilleur accompagnement des demandeurs d'emplois. Sans oublier l'écologie grand combat international.

EA : Pourquoi vous ne portez pas cette voix derrière la bannière de l'union de la gauche?

TF : Je le ferais si l'occasion ce présente mais je préfère resté indépendant pour le moment. Je ne suis cependant pas fermer à toute propositions de la coalition.

EA : La gauche est très attendue sur la relance économique, quelles seront vos principales mesures en la matière?

TF : Je souhaiterais augmenter les taxes sur l'import et export ainsi que créer un impôt pour les plus grosses richesse.

EA : Et ne craignez vous pas que ces mesures ralentissent l'économie?

TF : Absolument pas je suis un grand mathématicien. J'étais premier de ma classe en primaire dans les math donc je m'y connais...

EA : Merci de cette participation à notre émission.


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Evan Andrews
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mer. 18 sept. 2019 18:04

EA : Bienvenue dans Interviews Politiques, je reçois ce soir un candidat à l'élection présidentielle, le centriste Albert Riccardo. Bonjour M. Riccardo.

AR : Bonjour M. Andrews.

EA : Vous avez remporté haut-la-main la primaire interne des démocrates pour cette élection. Pourtant, un député centriste a déclaré sa candidature. Que pensez-vous de cette fronde?

AR : Charles Endros est coutumier de la défiance envers notre parti et sa ligne politique. Nous sommes un mouvement politique d'opposition mais Charles Endros est un membre de la majorité. Il a fait le choix de voter la confiance au gouvernement Brétigny et il s'est allié localement à la majorité présidentielle dès le premier tour. De fait, il a renié la ligne politique que Les Démocrates portent et son exclusion du parti n'est que la suite logique de ces manquements à répétition aux valeurs de notre mouvement. Concernant sa candidature, la division est regrettable mais bon, s'il veut se présenter et être largement battu, c'est son choix.

EA : La candidature d'un monarchiste a obligé chaque candidat à se positionner clairement sur le clivage République/Monarchie. Quelle est votre position sur le sujet.

AR : Définitivement, je suis un républicain. Je suis aujourd'hui le candidat du parti de François Dickson, l'un des plus grands républicains que ce pays ait jamais connu. Pour être très honnête, je pense être le candidat le plus républicain de cette élection. Car être républicain, c'est une conception particulière de l'exercice du pouvoir. Contrairement au Premier Ministre, candidat à cette élection, j'ai une certaine vision de la démocratie parlementaire. Pour lui, reprendre un texte de l'opposition, pour le transformer en texte de la majorité est parfaitement normal. Pas pour moi. Je ne partageai pas chaque point de ce que les communistes ont proposé dans leur code du travail mais je n'ai pas du tout partagé avec le Premier Ministre sa vision du débat parlementaire. Donc j'ai une vision très républicaine de l'exercice du pouvoir et de la démocratie alors si il y a un candidat républicain dans cette élection, ce n'est peut-être pas celui à qui on pense.

EA : Vous vous êtes beaucoup attaqué ces derniers jours au candidat Ftantchet. Pourquoi?

AR : Parce ce que la politique, c’est sérieux. On ne sort pas du lycée sans ni expérience professionnelle ni diplôme pour se présenter à la présidentielle sans vraiment de programme clair et cohérent. Les citoyennes et citoyens de gauche ne méritent pas Thomas Ftantchet pour les représenter dans les différentes institutions.

EA : L’hypothèse d’un second tour Chastain-Brétigny se profile. Quelle serait alors votre position?

AR : J’ai trop de respect pour celles et ceux qui m’apporteront leur suffrage pour déjà renoncer alors que le premier tour n’a pas encore eu lieu. Je continuerai de me battre pour mes idéaux jusqu’à la fin de cette campagne. Les ontariens méritent d’avoir une candidature qui propose une véritable alternative sociale-libérale qui permettra à notre pays d’avancer.

EA : Si vous ne parvenez pas au second tour, envisagez vous de mener une liste aux législatives?

AR : Il est trop tôt pour le dire. Nous verrons d’abord si je suis demain soir qualifié au second tour, auquel cas, répondre maintenant à votre question n’aurait aucun sens.

EA : Merci Albert Riccardo d’avoir répondu à nos questions.


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Evan Andrews
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mer. 23 oct. 2019 18:12

EA : Bonsoir à toutes et à tous et bienvenue sur TV3. Nous recevons ce soir un entrepreneur qui a décidé de se lancer en politique, Louis de Lyset. Bonsoir à vous.

LdL : Bonsoir Evan, merci de me recevoir !

EA : Vous avez lancé aujourd'hui l'Union Libérale, votre parti politique qui rencontre déjà un certain succès puisque vous avez été rejoint par un ancien ministre et la Première Ministre démissionnaire, sans parler de la foule considérable présente pour cet évènement. Que vous inspire ce succès rapide?

LdL : Et bien, je suis heureux de voir que nos idées suscitent l'intérêt des foules, tout autant que celui de vétérans de la politique, c'est un réel atout pour un parti aussi jeune que le nôtre de pouvoir compter sur des hommes et des femmes d'expérience tels que Marlène Tardieu ou Albert Riccardo, qui ont déjà fait partie des plus hautes sphères de l'Etat et qui en connaissent les rouages. À vrai dire, je ne pouvais rêver meilleur départ pour l'Union Libérale.

EA : Vous parlez des rouages du pouvoir, ces derniers sont appelés à être modifiés par deux réformes constitutionnelles soumises au référendum. Quelle sera la position de l'UL sur ces scrutins?

LdL : Comme je l'ai exprimé ce soir sur mon compte Chirper, je n'en appellerai ni à voter pour, ni à voter contre ces deux réformes constitutionnelles. En effet, j'ai l'intime conviction que le libre-arbitre est la chose la plus importante au sein de notre société actuelle, je suis persuadé que mes concitoyens sauront faire leur propre choix lors de ces référendums. Malgré cela, j'affirme que je suis fermement opposé à chacune des réformes proposés. En effet, la réforme proposée par l'Union de la Gauche relègue bien trop la Présidence à un rôle honorifique, tandis que celle proposée par le Mouvement Uni pour la République ne prend pas assez compte du vote de nos concitoyens à mes yeux. Je voterais donc personnellement contre chacun de ces référendums, après c'est la liberté de tout un chacun de se faire son propre avis, et par la même, de faire son choix.
J'en appelle simplement mes concitoyens à ne pas faire abstention, tant ces référendums sont d'une importance capitale pour notre Nation et pour son avenir.

EA : Le MUR est un parti sur le déclin, imaginez-vous que l'UL puisse devenir le nouveau MUR, le parti fort du libéralisme?

LdL : Pour cela, faudrait-il déjà que le MUR soit un parti libéral, ce qu'il n'est pas. En effet, chaque élu du MUR vous répondra qu'il est favorable à une certaine planification économique, incompatible avec les idées du libéralisme économique. Et non, l'Union Libérale n'a pas pour vocation de devenir ou de remplacer le MUR tout au contraire, l'UL existe pour donner un nouveau choix aux ostariens et non pas pour en remplacer un. Malgré cela, oui, je ne peux qu'espérer que l'Union Libérale deviendra dans les mois et les prochaines années, le parti fort du libéralisme dans notre belle nation.

EA : Vous avez annoncé votre candidature à la mairie de Lunont dans deux ans. Ce n'est pas prématuré?

LdL : Je ne pense pas, en effet, cela me laisse le temps, en temps que nouveau venu dans le monde politique, de me faire connaître et de rencontrer mes concitoyens, y compris à Lunont. Et à vrai dire cette candidature se voulait être une évidence, je suis né à Lunont, j'y ai grandi, et j'y vis actuellement, mon arrivée dans la sphère politique ostarienne se devait de passer par une candidature à la mairie de la Capitale. C'est donc tout naturellement que j'ai décidé de l'annoncer lors du Ier Congrès de l'Union, qui était pour moi, le moment et l'endroit le plus parfaitement choisi pour annoncer ma candidature.

EA : Lunont a jadis été dirigé par des centristes, estimez-vous pouvoir réimposer le centre à Ostaria alors qu'il est en déclin depuis plusieurs années?

LdL : Bien évidemment, c'est d'ailleurs l'une des principales raisons de la création de l'Union Libérale, pouvoir proposer le choix du centre en Ostaria, un choix qui, comme vous le dites vous-même, était sur le déclin depuis la disparition de François Dickson. Alors oui, j'espère pouvoir réimposer les idées centristes et libérales au sein de la République d'Ostaria de par des propositions simples, efficaces et proches des citoyens. Ce, dès les élections municipales et par la suite aux présidentielles et aux législatives.

EA : Il existe des interrogations sur d'éventuels conflits d'intérêts entre votre activité économique et votre activité politique. Que répondez-vous à ces questionnements?

LdL : Je répondrais à ceux qui pensent que, parce-que je suis un multimilliardaire qui gère un groupe de luxe, je ne peux être proche du peuple, qu'ils se sont rarement autant trompés, et qu'ils n'ont rien compris à mon action. En effet, je suis moi-même né dans une famille dans le besoin, j'ai eu la chance de bénéficier d'une bourse d'études qui m'a permis de devenir qui je suis aujourd'hui à force de travail et d'acharnement. Qui plus est, j'ai créée il y a de cela deux ans, une association "L'Aide du Coeur" qui vise à venir en aide à ceux qui sont le plus dans le besoin. Tout ceci pour dire, que je n'ai jamais renié et que je ne renierais jamais celui que j'étais, et j'ai connaissance des inquiétudes et des besoins des nécessiteux. J'ai, et je continuerais, durant toute ma vie, à lutter pour aider les désespérés à sortir de leur désespoir. Et j'espère, que de par mes actions, ces gens-là puissent un jour, enfin, retrouver l'espérance !

EA : Merci Louis de Lyset d'être venu sur TV3 répondre à nos questions.


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