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Dépêches - Articles - Constitution - Journal Officiel - Commission Électorale

L'Œil

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Nathanaël Ledoux
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mar. 28 nov. 2023 16:10

(EL : C'est un évènement de campagne. Les candidats sont fortement incités à le commenter d'une manière ou d'une autre, soit directement (en mentionnant explicitement l'évènement), soit indirectement (en discutant du thème abordé).)
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La FOPI s'alarme sur la faible protection des données des Ostariens

28 novembre 220, Gérard Lemalin.

La Fédération ostarienne pour la protection des internautes (FOPI), association à but non lucratif créée il y a 5 ans par le regroupement de plus petites initiatives visant à défendre les droits des utilisateurs d'Internet, a épinglé, hier, dans un rapport, le peu de considération de l'État ostarien pour l'ensemble des enjeux liés à la protection des données personnelles de ses citoyens.

Dans son viseur, un grand nombre de services en ligne, et, en particulier, les grandes entreprises du numérique, généralement étrangères, souvent fédérées, qui auraient régulièrement, selon elle, une "utilisation abusive des données de leurs utilisateurs", en particulier de leurs utilisateurs ostariens, le cadre légal et règlementaire étant pauvre en la matière. Cette collecte massive d'informations se fait souvent sans même que les utilisateurs en soient avertis, et sans qu'il soit possible de connaître avec certitude l'étendue de leur utilisation.

La FOPI remarque cependant que de nombreuses données critiques de particuliers, d'entreprises, voire de services de l'État, sont hébergées et traitées à l'étranger, posant la question de la souveraineté numérique ostarienne et de la capacité pour l'État de protéger les droits de ses propres concitoyens.


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Nathanaël Ledoux
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lun. 4 déc. 2023 09:05

(EL : C'est un évènement de campagne. Les candidats sont fortement incités à le commenter d'une manière ou d'une autre, soit directement (en mentionnant explicitement l'évènement), soit indirectement (en discutant du thème abordé).)
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Il y a 60 ans, la République triomphait

4 décembre 220, Géraldine Lamaligne.

Le 20 septembre 157, trois jours après la mort de Jacques II, son fils Tommen Ier promulgue une constitution ouvrant la voie à une parlementarisation du régime issu de la guerre civile ostarienne. Le gouvernement républicain en exil est dissous, et ses responsables, au premier chef le Président de la République Jérôme Plassel, reviennent en Ostaria.

Mais il n'est pas question de se satisfaire de la situation, et, pour Jérôme Plassel, sa tâche, si elle continue par d'autres moyens, ne s'achèvera pas tant que les Delfrous n'auront pas été détrônés et que la République ne sera pas proclamée. C'est ainsi qu'il fonde le Mouvement Uni pour la République, dont il conduit la campagne jusqu'à arriver en tête de la première élection législative, puis de la deuxième qui a immédiatement suivi, en raison de la dissolution de l'Assemblée nationale par Tommen Ier. Celui-ci, alors forcé de nommer Jérôme Plassel Premier Ministre, n'aura plus longtemps à attendre pour se voir pris au piège lorsque les Ostariens approuveront largement, par référendum, la fin de la monarchie, le 8 novembre 158.

Commence alors un travail d'écriture d'une nouvelle constitution, en concertation avec les autres forces politiques. Cette entreprise s'achèvera par son adoption par référendum, puis sa promulgation le 4 décembre 160, il y a exactement 60 ans. Jérôme Plassel retrouvera alors ses fonctions de président de la République, tandis qu'arrivera à la primature l'un des ténors de la campagne référendaire de 160 : Alexandre de Brétigny.

La constitution de Plassel, bien que modifiée, ne sera définitivement remplacée que 30 ans après sa promulgation, ce qui en fait le régime le plus long qu'ait connu Ostaria depuis la révolution de 137, juste devant la IVème République, qui devrait justement dépasser ce record dans un peu plus d'un mois.


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Nathanaël Ledoux
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sam. 23 déc. 2023 20:10

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Une Vague d'Empathie

23 décembre 220, Géraldine Lamaligne.

La République d'Ostaria connaît actuellement un mouvement sans précédent de défense des droits des animaux, alors qu'une pétition en ligne en faveur de la création d'un statut juridique spécifique pour les animaux a dépassé les 30 000 signatures. Cette pétition, qui gagne rapidement en popularité, soulève des questions cruciales sur la reconnaissance des droits et du bien-être des animaux dans le cadre juridique ostarien.

Lancée il y a moins de deux mois par un groupe d'activistes engagés pour la protection des animaux, la pétition intitulée "Pour un Statut Juridique des Animaux" a rapidement captivé l'attention du public ostarien. Avec plus de 30 000 signatures recueillies à ce jour, elle résonne comme un appel pressant en faveur de l'évolution de la législation afin de refléter une compréhension croissante de la sensibilité et de la conscience des animaux.

Le texte de la pétition souligne la nécessité de reconnaître les animaux comme des êtres dotés de droits spécifiques, allant au-delà de leur simple statut de propriété. Les organisateurs de la pétition mettent en avant l'idée que les animaux ont une capacité à ressentir la douleur, la joie, et la détresse, et que le droit devrait refléter ces réalités en leur accordant une protection juridique accrue.

Des personnalités influentes de la scène ostarienne ont exprimé leur soutien à cette initiative. La célèbre actrice et militante des droits des animaux, Isabella Ravioli, a partagé sur ses réseaux sociaux un appel à ses fans pour qu'ils soutiennent la pétition. Dans une déclaration, elle a souligné l'importance de repenser la relation entre les humains et les animaux dans le contexte de l'éthique et du respect.

Des juristes et experts en droit animalier ont également rejoint la conversation, soulignant que l'absence actuelle d'un statut juridique spécifique pour les animaux peut entraîner des lacunes dans la protection de leurs droits fondamentaux. Certains évoquent même la possibilité d'établir des tribunaux spécialisés pour traiter les cas de maltraitance animale et d'infractions connexes.

Néanmoins, cette pétition n'est pas sans susciter le débat. Certains critiques soutiennent que le système juridique actuel, en considérant les animaux comme des biens, offre déjà une protection adéquate. D'autres s'inquiètent des implications pratiques d'un tel changement, notamment en termes de responsabilité des propriétaires d'animaux de compagnie et des conséquences économiques sur les industries liées aux animaux.

La République d'Ostaria se retrouve donc confrontée à la question complexe de la reconnaissance des droits des animaux. Alors que la pétition continue de gagner des signatures à un rythme rapide, le pays se trouve à l'aube d'un débat public sur l'avenir des relations entre les humains et les animaux dans la nation ostarienne.


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