Monsieur le Député Barnier,
Je ne sais pas si vous faites preuve de mauvaise foi ou si vous avez simplement choisi de ne pas ouvrir le programme du FLC. J’ai été élue dans cet hémicycle par les habitants de Cavour. Je suis là pour défendre leurs intérêts. A travers mon amendement, je donne à Cavour la possibilité de réguler davantage le marché du travail ainsi que la qualité de vie des travailleurs.
L’ADN n’a eu de cesse de nous diaboliser et force est de constater que vous avez lamentablement échoué. Nous avons atteint de nouveaux record et cela ne va pas s’arrêter. Alors je vous recommande ranger dans votre tiroir vos remarques sarcastiques qui ne font rire personne.
Dans le programme que vous n’avez pas lu, le FLC s’engage résolument en faveur de la décentralisation de l’état notamment si cela permet à Cavour de disposer davantage et d’une plus grande liberté d’action. A travers l’amendement que je propose Cavour bénéficie de cette liberté mais également toutes les autres régions. Je suis surprise de vous voir lutter avec ardeur contre un amendement visant à décentraliser l’état quand vous étiez lors de la précédente législature membre d’une coalition menée par VLR…
Vous soulevez néanmoins au milieu de cet océan de sarcasme une chose intéressante. Certains territoires pourraient payer davantage d’impôts que d’autres en raison de cet amendement. Mais au FLC nous militons également pour une refonte du système fiscal en Ostaria basé une fois de plus sur la décentralisation.
Alors Monsieur Barnier, cessez de nous diaboliser car vous en devenez tout aussi pathétique que votre carrière politique. Ma voix dans cet hémicycle ne vaux pas plus et certainement pas moins que la vôtre. Il est temps de l’entendre et de l’accepter.
Je vous remercie.
Amendement 8 - Elia Orsini
L'article 3 est modifié.Le montant du revenu minimal de subsistance est fixé à 600 O$tas par mois à sa mise en place et est réévalué chaque année par un arrêté du Ministère en charge de l’organisation des prestations sociales selon les conditions définies par la présente loi. Les conseils régionaux peuvent fixer en collaboration avec l'agence régionale de santé un montant pouvant excéder cette somme d'un maximum de 20%.
Les conseils régionaux peuvent revaloriser en fonction des nécessités territoriales ce montant maximal, dans les conditions fixées par la présente loi.