Monsieur le Président de l'Assemblée nationale, mesdames et messieurs les députés, Madame Leclerc,
Vous êtes aujourd'hui la preuve que le gouvernement dont vous faites partie ne souhaite pas discuter de la réalité, mais ce cacher honteusement derrière des textes de lois qui datent de je ne sais quel siècle. De plus, vous venez nous faire la morale sur le sujet des discriminations, car vous êtes vous-même une immigrée. Mais Madame Leclerc, je vais, vous rappelez une chose essentielle et qui dérange en politique, car cela est l'illustration de votre échec madame. Vous êtes la seule sur un groupe de centaines de milliers d'étrangers à avoir tenté de faire quelque chose de votre vie au lieu de profiter telle une larve les aides provenant de l'argent des Ostariens et Ostariennes qui se sont tués au travail pour mériter leur argent. Alors oui madame, vous n'êtes qu'une minorité qui pense avoir la science infuse, mais qui n'est pas mieux qu'un rapace qui ne va pas hésiter une seule seconde à agresser, voir tuer quelqu'un d'autre pour améliorer son confort. Nous sommes submergées par un tsunami migratoire que les Ostariens ne veulent plus il serait temps dans ce pays d'écouté ce qui vous payent chaque mois à la sueur de leur front. Le travail, une chose que vous ne connaissez pas...
Mais pour en venir au texte de loi que je porte avec une grande fierté aujourd'hui. La remise en place de la peine de mort permettra d'offrir à nouveau à notre système judiciaire défaillant et d'abandonner par les gens comme Madame Leclerc et son gouvernement d'incapable. Notre République est en échec dans bien des domaines. Mais avant de vouloir résoudre les problèmes dans nos colonies de façons illégales, vous feriez mieux de protéger les Ostariens qui meurt chaque jour à cause de l'immigration.
Alors mes chers collègues, vous avez le choix de voter en faveur d'un texte qui donnera les moyens à notre justice de dissuader et de faire disparaître les personnes dangereuses pour notre société. Mais vous avez également le choix de voter contre est dans ce cas, je vous laisserais le soin d'expliquer aux familles des victimes pourquoi ils doivent pleurer la mort d'un ami, d'un père ou même d'un fils.